108 : The equation
Pas mal, pas mal. Complètement tiré par les couettes, mais pas mal. De toute façon, du moment qu’il y a un piano, forcément…
Bon, le fait qu’il y ait des maths aurait pu me perdre en route, mais même pas.
La scène d’entrée était assez prenante, le gamin assez mignon et la kidnappeuse assez flippante pour que ça m’emporte direct, et le coup des visions pour foutre la pression au mouflet, bien sympa, bien sympa.
Avec ça qu’on ressent bien le désespoir du père et que je sais pas pourquoi, je me dis que c’est pas anodin, cette histoire de père qui paume son fils. Uh uh.
C’est certainement la raison pour laquelle Walter accepte de retourner à l’endroit qui lui fait le plus peur au monde : l’asile.
Evidemment, le grand moment de cet épisode, c’est justement le retour de Walter entre les murs de cet asile, et c’est justement pour cette scène que j’ai décidé de publier une mini-review de cet épisode. Je ne l’avais pas vu venir, j’avoue, et mon Dieu que John Noble déchire dans les moments de vulnérabilité que traverse Walter. Il pense venir interroger un ancien co-détenu, et le voilà qui se retrouve en cellule, comme au bon vieux temps. On imagine aisément l’horreur que ça peut représenter alors qu’il a retrouvé la liberté depuis quelques mois à peine.
Et bien sûr, c’est l’occasion pour lui de renouer avec ses vieux démons.
Je n’en dirai pas plus pour ceux qui n’ont pas vu la suite, mais c’est une des quelques scènes qui m’ont fait tilter. Ca, l’Observateur, et une ou deux autres à venir.
En tout cas, même si on ne comprend pas vraiment ce qui se passe, c’est terriblement flippant.
Beaucoup aimé également la rage que mettent Olivia et Peter à sortir Walter de là.
Bref, un bon épisode. Et évidemment, j’ai plus qu’aimé la scène où Peter joue la mélodie au piano. Forcément, ça touche une corde (!) sensible chez moi.
(Apparemment, je ne suis pas la seule à qui ça ait plu. )
Sinon, l’indice de l’épisode suivant, je l’ai trouvé : c’est un papillon sur une poubelle, juste avant qu’Olivia ne comprenne ce qu’est le château rouge où le gamin est emprisonné.
(Merci les captures d’écran.)
Et oui, j’ai bien vu l’Observateur derrière Olivia, quand elle parle au téléphone avec Peter.
Ha !! cet épisode est certainement celui qui m’a le plus marquée. Terrible. Jusque là on a vu des choses horribles mais la torture psychologique sur un enfant, faut oser.
Et Walter est époustouflant en effet.
Désole pour le double com mais j’ai oublié : ça m’a rappelé un épisode de Meidum, cette vision d’un château et la déformation qu’on en fait en tant qu’adulte.
C’était vraiment sympa… j’ai vachement aimé le pauvre petit pépère de l’asile. Et le gamin était très bon, pour une fois qu’on ne l’a pas vu dans toutes les séries. (Oui, Molly de Heroes, je parle bien de toi, là !)
loool non mais tu te rends compte ?
"Sympa", qu’elle dit mdrr Comment peut-on, au sujet de Fringe, dire "sympa". C’était atroce, stressant, affreux, osé, énervant (le type de l’asile punaise grmmbbl) mais sympa ??
Espèce de sorcière, tiens ! mdr
Sur ce, je m’en vais écouter un peu de zik. Merci pour le fou rire. Et le reste :p
Brrrr… Bien flippante la cap du Walter en face de l’asile psychiatrique… Et comment, comment as-tu fait pour voir qu’il y avait dans chaque épisode un indice pour le suivant ? Tu as un sens de l’observation hors du commun ? ^^
Ben oui ! LOL Nan, en fait, je fais vraiment beaucoup de captures de chaque épisode, et je les trie en général après avoir vu deux ou trois épisodes supplémentaires… en jouant comme ça sur trois épisodes de suite, j’ai remarqué une combinaison de mots qu’on retrouvait dans un épisode suivant, et directement dans le suivant, le nom d’une firme qu’on retrouve dans celui d’après ! Là j’ai tilté. Après, j’ai cherché sur internet et j’ai découvert que c’était comme ça dans chaque épisode. Des fois, avec les captures, je me retrouve avec l’indice sous le nez. Là, j’avais regardé les deux épisodes d’affilée donc les papillons étaient encore très présents dans ma mémoire. Et en repassant les captures, pof, le papillon sur la poubelle. Magic ! Mais ça marche pas à tous les coups. Autant l’Observateur, ça va, autant les indices, c’est quand même vachement plus dur.
Azalyne : oui, je sais… j’ai un seuil de tolérance très élevé. Bon, là, devant le 113, j’avoue que le coup de l’avion, ça m’a un peu fait vaciller. Mais j’ai eu un méga fou-rire devant la toute première scène. Je raconterai ça. 😉
Je découvre par ton blog qu’il y avait des indices des épisodes suivants à découvrir!
C’est génial, je sers presque à quelque chose ! 😀