104 : The arrival
Après avoir assisté au tournage de la deuxième saison de Fringe, forcément, vous imaginez bien qu’il m’a pris une fameuse envie de continuer la série. C’était déjà à l’étude, mais forcément, de temps en temps, les journées n’étant toujours pas à rallonge, il faut revoir ses priorités.
Ben j’ai pas été déçue de la manoeuvre. Enfin si, justement. Josh (oui, on s’appelle par nos diminutifs, désormais) a beau être croquignolet comme c’est pas permis, j’ai eu une envie monumentale d’écraser la tête de Peter Bishop contre l’os bien durde mon genou à plusieurs reprises.
Clairement, celui-là, il souffre un peu du syndrome Lee Adama de la minisérie aussi appelé syndrome du Papa-m’aime-pas. Du coup, la bonne élève Olivia Dunham devient presque sympathique, dites donc !
Bon, en tout cas, on prend les mêmes et on recommence :
1) Le mystère mystérieux auquel je bite toujours que dalle. (C’est quoi, le Pattern ? *bonnet d’âne*)
2) La folle folie de Walter qui est toujours complètement ravageos.
3) Les fantômes fantômatiques qui hantent Olivia.
On ajoute à cette sympathique popote un ingrédient en revanche tout à fait intéressant : le guetteur qui guette. Et qui a laissé ses sourcils et ses cheveux sur la planète d’où il vient. Et qui met une pâtée terrible au ptit Bishop qui ne veut pas finir son assiette.
Et qui écrit dans un langage abscons.
Et qui est doté d’un solide (et étrange) appétit.
Un peu de napalm sur votre purée ?
En plus, there are many copies, donc.
Avec ça, le coup du suppositoire géant qui fait hop. Ou pas. J’avoue que j’ai un peu de mal à suivre !
Heureusement, Walter est toujours très amusant avec ses bizarreries, et je gage qu’elles vont finir par lui attirer quelques ennuis, comme c’est déjà le cas avec Astrid qu’il balade un tout petit peu trop dans cet épisode et qui fait proprement la tronche sur la fin.
Walter : If it would help you feel a sense of retribution, I would tell you to inject me too. But I’d most likely enjoy it.
C’est c’la, oui.
Au passage, j’étais bien contente de la conversation finale entre le père, le fils et le saint-esprit. Ca nous lui a cloué le bec, au pied-tendre qui croit tout savoir et qui veut tout planter parce que bon. C’était tout à fait correct.
Il croit quoi, le petit pète-couilles ? Que son père, trop ça l’a amusé de se faire enfermer et d’abandonner son mouflet pour aller compter les barreaux de sa cellule à l’asile ? Heing ? Non. Bon.
Entre nous, je pense que s’il décide de rester, c’est pas tant parce qu’il s’est fait démonter la tête comme un petit branleur et qu’il est vexé comme un pou, c’est surtout qu’il a trop envie de bricoler avec le reste des copains dans le petit labo de Walter. Allez, avoue, chéri, promis, on t’en voudra pas si c’est le cas.
Et fameuse, la fin WTF. Même si je me doutais bien qu’on n’en avais pas fini avec le copain de Liv.
Vivement que ce soit le cas, cela dit, parce que j’ai un peu de mal avec les personnages féminins moyennement sympathiques qui n’arrivent pas à faire leur deuil.
Si le ptit Bishop se décidait à lui pincer un peu les fesses, sûr que ça la dériderait instantanément !
Et dans la foulée, j’ai même regardé le suivant, dites donc !
(Pour la petite histoire, le Joshounet, il s’est retrouvé à l’hosto après la séance de torture. Ils auraient mieux fait d’utiliser un coton-tige cylon. )
Ha !! Cool tu t’y remets 🙂
Quand Olivia percute pour l’observateur, la réaction de Broyles me fait penser à Stargate, le film. Depuis j’aime bien le repérer le gonze. A chaque fois qu’il y une scène bizarre il est là ; il traverse ou bien il est dans un coin.. Bref.
Je crois qu’il ne faut pas trop se poser de questions sur cette espèce d’organisation qu’ils cherchent. En fait, même eux ils savent pas ce qu’ils cherchent mais ensuite ça devient plus clair même si franchement ce n’est pas siii important.
Moi aussi ça m’a un peu gonflée la relation papa/fiston mais finalement, on la voit différemment à la fin de la série. Et faut reconnaître quand même que Walter a vraiment fait des horreurs alors s’il ne méritait pas l’asile, il méritait bien au moins la prison pour certaines.
J’aime beaucoup l’Observateur, c’est un très chouette élément viral de la série !
Avec ça, le coup du suppositoire géant qui fait hop. Ou pas. J’avoue que j’ai un peu de mal à suivre !
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C’est le reproche principal que je ferais à Fringe : les éléments de l’enquête arrivent parfois tu sais pas trop d’où et ne se retrouvent pas forcément liés à la fin. Ce que faisait X-Files avec beaucoup d’élégance et que je trouve ici maladroit parfois !
Et la ptite Olivia, je sais pas pour les autres mais j’ai fini par l’aimer. Son côté hitchcockien a aidé je pense !
Et merci d’aimer nos blagues vaseuses ! 😉
J’ai ri. LOL
Pour Olivia, le fait d’avoir vu l’actrice en vrai, et d’avoir découvert à quel point elle est jolie et elle a l’air sympa, ça m’a donné un petit coup de pouce, j’avoue.
Bien moi je vais m’y mettre aussi alors. Vous me donnez tous envie du coup. J’ai vu les 4 premiers épisodes. Je suis en retard lool.
Votre manque d’enthousiasme à ce moment de la série me surprend, moi j’aime bien. Elle se suit sans problème je trouve. Là, j’en viens à me demander si j’ai pigé quelque chose ^^
En même temps, je trouve qu’on peut se permettre d’être exigeants, sur ce genre de production.
C’est vrai.