205 : Never let me go

Encore un très bon épisode ! Plein de révélations majeures et de chouettes explorations des personnages… j’ai beaucoup aimé, une fois de plus. Je ne m’attendais pas du tout à ce que Sam rencontre un autre métamorphe et encore moins à ce que ce soit Daphne !

Déjà, ça, vlan par terre !

Pauvre Toutou. Il est tellement surpris, tellement ému, tellement content d’avoir trouvé une compagne d’infortune. Sauf que celle-là, elle est super contente d’être une métamorphe !

Joli parallèle, d’ailleurs, avec Sookie qui maîtrise désormais son don et qui tombe sur un collègue, Barry, totalement terrifié, honteux et qui, comme Sam, a l’impression d’être un paria, une bête de foire.
Le pauvre garçon en arrive même à venir bosser dans un hôtel à pas… euh, dans un hôtel à vampires parce qu’au moins, avec eux, il a la paix.
N’empêche, découvrir un autre télépathe, ça nous montre bien à quel point Sookie a progressé depuis le début de la première saison. A quel point sa relation avec Bill l’a épanouie, quoi qu’on en dise. (Même si elle est devenue super lourdingue, au passage.)

D’ailleurs, dans cet épisode, je les ai tous trouvé très mignons, nos garçons. Notamment la Viande Froide qui est bien charmant à ne penser à rien d’autre qu’au bien-être de Crucruche et qui se montre galant comme jamais, sur la fin, en lui disant qu’il serait déjà bien heureux de seulement la serrer dans ses bras. Comme c’est cucul et meugnon.

(Tu parles, Crucruche, elle veut se faire sauter en règle, elle. )

Bref, il m’a bien plu, le Billou, dans cet épisode, je l’ai trouvé très buvable. Très humain. Limite trop, d’ailleurs.

Et puis Toutou, donc… ptain, j’espère vraiment qu’elle lui prépare pas un sale coup, Bibiche, parce que franchement, trop contente de le voir un tout petit peu heureux. J’ai trop pas envie qu’on lui brise son petit coeur, à mon bichon frisé.

Il mérite le meilleur. Des susucres à gogo et des tas de bons nonosses !
Du côté des autres garçons… rah, le PIED total de découvrir enfin l’histoire d’Eric ! Juste au moment où il commence à VRAIMENT m’intéresser, PAF ! Le flashback qui tue. Et je suis bien contente qu’on ne fasse pas durer le suspense autour de sa relation avec Godric, c’eût été d’un vulgaire…
Bref, il est touchant, le Viking, quand il parle de son cher disparu.

Et il devient très beau.
Il y a des siècles de ça, donc, Eric était un guerrier. Voui, un guerrier vêtu de peau de bêtes et enduit de graisse d’ours, crotté, fumant, puant. Un guerrier vrai de vrai. Un guerrier un peu loser, tout de même, puisque de toute évidence, il était sur le point de passer l’arme à gauche lorsque…

Ce très mignon spécimen s’est mis à s’intéresser à son cas.

How ya doin’ ?!

Et lui promettant d’être son brother, son captain, son king (ah, merde, non, c’est pas ça), paf, le vampirise.

Eric : Godric is my maker.

YAY !

Et à ce stade de l’épisode, je me dis que c’est vraiment un thème récurrent, cette saison, les créateurs. Oh que voui !
D’ailleurs, on se demande bien si Eric est si catastrophé parce qu’il aime Godric comme un père, un fils, un frère… ou si en tant que création, il y est obligé.

(En gros, s’il lui sert de gonzesse, quoi.)

Une chose est sûre, du côté de Jessica, y a pas trop le choix. Quand Bill dit : « File dans ta chambre, Jessica, et pas de dessert », elle a intérêt à s’exécuter.

Jessica : You’re gonna be so sorry when I get eating disorder !

Je l’adore, cette petite !

C’était mimi, d’ailleurs, le coup de fil à Hoyt, séquestré par sa mère. (Ptain, il a quel âge, ce grand con, vingt-cinq ans ? Il peut pas l’envoyer péter, la vieille ?)

Keuquinette, va.

Bon, sinon, j’ai bien rigolé en voyant le chaif de Global Dynamics et Mrs Miguel Prado pigner devant Eric et la Viande Froide.

Tain, y a vraiment des rebuts chez les vampires aussi.
Bon, on continue la tournée des boys… avec mon Jason. Mon Jason est bon. Oui, ce garçon est bon. Clairement il a pas la lumière dans toutes les pièces, mais c’est vraiment un bon gars. Qui supporte pas de voir les gens souffrir. Comme sa bête noire des boy-scouts de Jésus, Jésus reviens, là qui chiale comme une femelle contre le grillage.

Ca, mon Jason, bon comme il est, il peut pas.

Chaque fois, il arrive à m’étonner, d’ailleurs. Je suis bien certaine qu’aussitôt qu’il pourra lui refaire une crasse, Luke la fera, mais bon. Jason est juste trop bon.
Par contre, il est bon, mais il est un peu con. Sérieux, le révérend, là, il me ferait entrer dans son petit arsenal, mais comment que je me ferais la malle en moins de dix secondes !

L’ennui avec Jason, c’est qu’il suffit que le révérend, il prenne un ton bien réconfortant et fasse « hihihi, c’est drôle, hein ? » pour que Jason, ça le fasse riiiire, lui aussi !

Non mais vous avez vu le lance-patates, quoi ???
Enfin, ça valait le coup de rester vu que la Lorie parfumée à l’eau bénite qui a bien du mal à se retenir de baver chaque fois qu’il mouille son t-shirt vient lui faire un petit traitement de faveur dans la baignoire.

Amen.

Sinon, qu’est-ce qu’il nous reste en magasin, côté beaux mâles mystérieux… Ah oui !

L’objet sexuel.
Non, donc on va reparler un peu de Maryann Forrester. Qui nous fait une jolie petite fixette, là ! La voilà qui s’invite chez Sookie (ben voyons). Et comme Tara tire un peu le nez, elle va foutre le dawa chez Merlotte histoire que Tara se sente bien comme une merde.

Ah ben ça marche aussi dans ce sens-là, donc. Et drôlement bien !

Hop, reste plus qu’à enfiler une bonne vieille robe à fleurs bien défraichie, à se faire un modeste chignon, à mettre le tablier de la vieille et à faire son plus beau sourire de faux-derche rassurante pour accueillir la petite malheureuse et se faire adopter.

J’espère vraiment que la Cruche va mettre tout ce petit monde dehors parce que bon.
Et donc, le super cliff qui m’énerve parce que je sais vraiment pas si j’aurai l’occasion de regarder le suivant à Vancouver :

Youpiiii, la créatrice de Bill est de retour pour lui faire faire des choses horriiiiiibles !!!

Je me demande bien ce que j’aurais fait cet été s’il n’y avait pas eu cette série. Vraiment je l’adore. Elle éclaire mes lundis.

Par contre, on n’a pas vu Andy.
Le frangin se roule dans les fourrés avec Arlene, mais Andy était aux abonnés absents. Après avoir manqué de me faire chouiner la semaine dernière, c’est pas cool, ça, je suis fâchée…