Fedcon (NAAAAAN !) : le panel d’Edward James Olmos

Juste après la cérémonie d’ouverture, hop, on enchaîne avec not’ vieux.
En fait, on a déliré parce qu’il s’est produit un truc très très mignon. Un tout petit gamin qui s’est approché près de la scène pour regarder parler le monsieur, fasciné. A noter que pépé lui a fait un petit coucou, parce que bon. C’était adorable.

Tiens, il nous a dit qu’il avait six enfants, le vieux ! Ptain, dites donc, six mouflets ! Deux biologiques (dont le chien chaud) et quatre adoptés. Sacrée famille !

Bon, je ne me souviens plus de la teneur de tous ses propos, mais je peux vous dire que quand il s’exprime, ben vous en profitez pas pour aller faire votre petit pissou, hein. Vous l’écoutez religieusement, et en silence. Il a vraiment une présence incroyable, je crois que personne ne dira le contraire. C’est vraiment une personnalité incroyable, un grand monsieur.

Et d’ailleurs, ce qu’il y a de bien, c’est qu’il vous renvoie la politesse.

Donc parmi les sujets abordés : les Nations Unies, le fait de tourner avec son fils, ce genre de trucs. Comme ses réponses sont très longues et qu’il a toujours beaucoup de choses à dire, il n’y a pas eu beaucoup de questions.

En tout cas, il nous a bien expliqué pourquoi BSG devait une partie de sa qualité à nous, les fans. Selon lui, c’est grâce aux réactions des gens sur internet, grâce aux nombreux blogs et forums du monde entier (très lus par les scénaristes et les créateurs !) que Ron Moore et les autres ont pu aller toujours plus loin, élever le débat, et que sans nos théories, nos discussions, nos réponses largement exprimées, nos critiques, aussi, et tout le brassage qui a été fait au sujet de BSG sur internet, eh bien ce ne se serait pas passé comme ça.

C’est chouette, d’entendre ça, vous imaginez bien. Qu’un type comme lui nous remercie, nous, petits rien-du-tout. C’est une chose qu’il a d’ailleurs répétée à la cérémonie de fermeture : que tous ceux qui ont parlé de la série, qui ont écrit sur la série, qui ont râlé, même, ben ils ont énormément contribué à son succès et surtout à sa qualité. Alors je vous transmets le message.

On a fini par un énorme SO SAY WE ALL où qu’on se dit : « Oh mon Dieu, l’amiral crie SO SAY WE ALL et nous on répète derrière lui ! Truc de malade ! »

Voilà !
Si les gens qui y étaient se souviennent de plus de choses que moi, n’hésitez pas à me souffler parce que je n’ai pas pensé à prendre de notes, bête que je suis. J’éditerai, si nécessaire.

Ah, oui, j’ai adoré aussi les couvertures de journaux dédiés aux personnages. Celle d’Adama est vraiment excellente.

Joli travail de la part des fans, et les vieux ont apprécié. J’adorerais mettre la main là-dessus !