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202 : Automatic for the people

Boooon. Etant donné que j’ai été prise d’une frénésie de TSCC, voilà que je suis obligée de tous me les refaire pour les reviews !

(Plus vite, épisode 215, come to mommy !!!)

Heeem. Ben quoi ?

Ce qu’il y a de bien, c’est que du coup, les trucs que je capte pas tout de suite, hop, ça paraît (enfin, le plus souvent, on va dire) beaucoup plus simple. Blame it on my attention-deficit.
Bref. On se retrouve avec un John Connor tondu, rabattu, la cigale l’a mordu. Mais comme il est jeune et encore relativement innocent, il dort du sommeil du juste tandis que sa mère se fait juste un souci monstre et que son tonton nous rabâche la même rengaine pour la soixante millième fois que c’est trop la faute aux machines, blablabla.

Et elle se demande encore d’où il lui vient, son cancer ? Hein ? Tsss.

M’enfin en attendant, le jeune John, il s’est pris un fameux pèt’ au casque avec cette petite histoire. Et évidemment, on peut toujours compter sur le tas de ferraille de service pour faire preuve du tact nécessaire face à ce genre de situation.

Cameron : You can’t be trusted anymore.
John : Me ? I can’t be trusted ?
Cameron : You risked your life to fix me. That was a very dangerous thing to do. That could upset people.

Sympa. Et « merci » ? Non ? Bon.

Trop fort la mother derrière, exactement la même position et tout.
D’ailleurs, dans cette saison, j’ai été soufflée de la ressemblance entre Lena et Thomas, c’est impressionnant. Maintenant qu’on arrive à voir ses yeux, au gamin, c’est spectaculaire.
Effectivement, il y a une certaine base de traits à peu près commun, mais c’est surtout qu’on sent que les deux acteurs ont fait un gros boulot sur cette filiation. Chapeau bas.

Enfin toujours est-il qu’on nous renvoie le petit prince à l’école, et autant dans la saison 1 j’étais super curieuse de le voir évoluer en milieu scolaire, autant là, on sent que c’est cuit, quoi.
D’ailleurs, lui, c’est bon, autant il a envie d’être normal, autant là, le caquètement permanent de la marmaille surexcitée, c’est plus possible. D’entrée de jeu.

Du coup, c’est le moment idéal pour que débarque… l’envahisseur.

Et le laisser respirer dix secondes ? Non ? Bon.
Non mais franchement, dans le genre je m’impose !

Mais bon, c’est blond, ça porte un t-shirt moulant et ça sourit avec plein de fossettes. C’est comme qui dirait dans la popoche, quoi.
Tellement dans la popoche que vlan, John… j’ose à peine l’écrire… John nous gratifie d’une… d’une EBAUCHE de sourire.

Ptain, faut dire qu’elle se donne du mal, la connasse de Boucle d’Or, là. Et vas-y que j’en fais des caisses, et vas-y que je tourne du cul et que j’en peux plus d’être subliiiiime, et drôôôôle, avec ce soupçoooon d’impertineeeence qui me rend irrésistiiiible.

Hmmpf !
Bref, c’est tellement in ze pocket que John ramène la grognasse à la maison, pour le plus grand plaisir de maman.

(Et de Cameron qui flaire la nouvelle venue d’un air parfaitement dédaigneux. )

Forcément, comment que ça pète du côté de l’ado.

Sarah : Now is not the time.
John : Now is not the time ? Well, when is the time ? For me, I mean, to live my life ?

Ué. Parce qu’on se demande un peu jusqu’à quel point, Sarah, elle ne tente pas de casser le coup de son fiston juste pour se le garder pour elle toute seule, hein ? Déjà qu’une maman normale, elle a envie de se pendre quand elle voit son bébé lui ramener de la grognasse à la maison, alors une maman comme Sarah Connor… enfin, ce qu’il y a de bien, c’est que si jamais la chose appelée Riley fait trop chier Johnny Boy, elle pourra toujours lui péter les dents de devant en moins de trois secondes.
Sans parler du Cerbère de la porte, là, qui n’attend qu’un mot pour lui broyer les rotules, à la blondasse.

Bref, en attendant, John a décidé que son nouveau joujou s’appelait Riley, et vlan, direct au pieu.

Bienbienbien, le futur sauveur de l’humanité est un rapide.

Faut dire qu’elle est douée, elle, aussi.

Bref, l’amour brille sous les étoiles, blablabla.

Bon, maintenant que j’ai craché ma bile, on va pouvoir parler des vrais problèmes des Connor.

Nouvelle maison : check. Et elle m’éclate trop, la voisine, là, avec son bide grand comme le Nouveau-Mexique. Jesus, mais combien sont-ils, là-dedans ???

Et la gueule de Cameron qui a l’air moitié fascinée, moitié dégoûtée !

Woh putain, Kacy, si j’étais toi, j’insisterais pas, moi !

Kacy : Once upon a time, you were inside her.

Eeeeeer, not really !

Bref, home sweet home pendant quoi ? Allez, douze secondes. Jusqu’à ce qu’un (nouveau) combattant du futur dont la date de péremption est sur le point d’expirer ne fasse irruption dans la baraque pour indiquer à la famille Darling où aller défendre le terrain de la futur résistance.

Trop sympa, le cas du jour. Une centrale nucléaire. Déjà, rien que ça, ça donne super envie.

A première vue, donc, ne surtout pas qu’elle ferme vu que c’est un endroit stratégique pour la résistance et une source d’énergie cruciale pour le futur. L’ennui, c’est que ça ratatouille un tout petit peu là-dedans, et que si on la maintient en fonctionnement en dépit des alertes de sécurité, ça pourrait un tout petit peu pourrir la Californie.

Mais malgré le côté super fun de la centrale nucléaire, j’ai adoré les petits détails, comme le dessin animé avec Atomic-Al et les deux filles plantées devant…

Et surtout, surtout, Cameron qui fait sa gentille avec son petit air de ne pas y toucher. Arf, elle est trop douée.

« Hi hi, regardez, je suis l’employée idéale ! »

Je ne parle même pas de la scène du billard, du bustier léopard ni de la minijupe. Quant au petit numéro de la jeune fille innocente qui n’y connaît rien aux boules et aux, euh… queues…

Alors que…

Exceptionnel !

Pendant ce temps, Sarah se coltine le fameux Greenway dont le nom lui a été fourni par le cadavre sur pattes venu du futur. Trop sympa la conversation du gus qui tourne autour de ses quatre chimios.
Alors forcément, quand Sarah se retrouve à faire bip-bip devant le détecteur de radiations, on se dit que c’est plié. Enfin non, moi je n’y ai pas cru parce que c’est trop con.

Enfin bref, toujours est-il que Derek ne sert pas à grand-chose, dans cet épisode, et qu’il a beau râler après Cameron, c’est encore elle qui fait tout le sale boulot. En flanquant un poil les miquettes à Sarah au passage. Je la soupçonne d’ailleurs de le faire un tout petit peu exprès pour la faire chier.

Enfin, elle fait le ménage, c’est déjà ça. Et hop, encore une boîte de conserves rectifiée.

Franchement, j’ai adoré la dynamique entre les filles, dans cet épisode. La filiation un peu forcée évoquée par Kacy peut prêter à sourire, mais en fait, elles se ressemblent vachement plus qu’elles ne le croient toutes les deux. D’ailleurs, elles sont super convaincantes avec leur « car accident » répété deux fois et en même temps. Et elles font une équipe du tonnerre. J’ai été contente quand j’ai entendu Sarah dire que Cameron n’irait plus au lycée.

Par contre… rah, John, il m’agace trop quand il prend son ton supérieur pour s’adresser à elle. C’est très subtil, mais on jurerait que ça la blesse, quand il lui parle comme ça. Et clairement, l’arrivée d’une nouvelle girl dans cette famille déjà fortement féminine, ça ne va pas arranger les choses. (Family drama, YAY !)

John : When you talk to people, don’t stand so close.
Cameron : I was assessing her threat level.
John : Well ? Am I safe ?
Cameron : I don’t know. Girls are complicated.
John : About what you said before, about not being able to trust me.
Cameron : Yes.
John : I don’t have to prove anything to anyone. Anyone… including you.

(En même temps, ce petit côté commandeur est plutôt mimi, et sans ça, j’imagine qu’il aurait tout de la parfaite couille molle.)

Bon, évidemment, c’est bien, les gars, vous avez réussi à sauver la centrale mais… j’imagine que vous n’aviez pas tout à fait compté sur la Weaver qui fout son nez partout.

Oh, un gentil pépé qui fait un discours plein de confiance en l’avenir !

Ahimè ! C’est plié, la centrale est déjà aux mains de Skynet ! Ou presque !

Et pendant ce temps, nouvel emploi du temps pour les Connor-Reese !

On n’a pas fini d’en entendre parler, de ce mur.

(Vous m’excuserez, j’ai complètement foiré/paumé la moitié de mes caps, du coup, l’intrigue de la centrale est réduite à sa plus simple expression.)

Posted by on Avr 18, 2009 in Terminator : TSCC | 4 comments

4 Comments

  1. Petite note : la chanson que Cameron met sur le juke box du bar, elle est chantée par Brendan McCreary, aka mister "all along the watchtower", aka un autre Ours, aka comment qu’ils sont trop doués dans c’te fraterie 😀

    (Et sinon je suis ultra content de lire des reviews, je l’ai déjà dit, j’apprécie d’autant plus cette saison maintenant que j’ai vu la suite, JE COMPRENDS TOUT, ENFIN ! LOL )

  2. Vi, je sais pour Brendan, j’ai lu le blog de Bear. 😉 C’est peut-être pas si con, du coup, que je me les enfile et que je les revois après ! 😀

  3. Ah oui, sinon, dans les épisodes qui viennent, j’ai vu passer deux guests immeeeeeeenses que j’en ai presque pleurééééééé de les voir là, mais j’en parlerai en temps voulu. Surtout y en a un que j’aurais préféré ne pas voir à quinze jours de le voir en vrai à Bonn que ça m’a fait une pure piqûre de rappel, pas merci ! Uh uh uh ah ah ah.

  4. Tiens je ne me rappelais pas que c’était la constellation d’Orion qu’on voit au plafond de la chambre de John. Bon je sais, c’est un détail insignifiant, mais ça m’a frappé en regardant tes caps !

    Au sujet du petit film projeté à la centrale, ça m’a fait beaucoup penser à un épisode des Simpsons. (la première saison je crois) On y voit les gamins de l’école de Bart aller visiter la centrale nucléaire d’Homer. Et on leur passe un dessin animé tout aussi idiot au début de la visite ! A l’époque j’avais cru que c’était juste dans le ton de la série. Mais maintenant que je l’ai vu dans une série plus sérieuse, je me dis que ça doit être vrai, le lobby du nucléaire aux USA doit vraiment prendre les gens pour des cons ! (et ils ont peut-être raison d’ailleurs…)

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