412 : A disquiet follows my soul
Aaaaaaw… Un épisode centré sur les personnages, sur la vie dans la Flotte, ptain, même plus j’osais espérer ce genre de truc après l’épisode de la semaine dernière.
C’est vraiment futé de nous jeter ça maintenant. D’une part parce qu’on ne s’y attend pas, d’autre part parce qu’on a tellement besoin de respirer un coup après la Terre, de savoir où en sont les individus qu’on suit depuis le début.
C’est aussi l’occasion de revoir des têtes oubliées depuis longtemps. Ishay, par exemple, qui nous avait sauvé Adama au début de la saison 2. Playa qui se tapait Gaius dans les chiottes du regretté Cloud 9. Hot Dog, en passant, qu’on a guère vu depuis le Demetrius.
Tous ces braves gens nagent dans une détresse qui prend à la gorge… dans un épisode écrit et réalisé par Ronald D. Moore, mesdames et messieurs, inclinons-nous bien bas. Pour la première fois, l’homme passe derrière la caméra. Et c’est une réussite.
Aaaaaaw… Un épisode centré sur les personnages, sur la vie dans la Flotte, ptain, même plus j’osais espérer ce genre de truc après l’épisode de la semaine dernière. C’est vraiment futé de nous jeter ça maintenant. D’une part parce qu’on ne s’y attend pas, d’autre part parce qu’on a tellement besoin de respirer un coup après la Terre, de savoir où en sont les individus qu’on suit depuis le début. C’est aussi l’occasion de revoir des têtes oubliées depuis longtemps. Ishay, par exemple, qui nous avait sauvé Adama au début de la saison 2. Playa qui se tapait Gaius dans les chiottes du regretté Cloud 9. Hot Dog, en passant, qu’on a guère vu depuis le Demetrius. Tous ces braves gens nagent dans une détresse qui prend à la gorge… dans un épisode écrit et réalisé par Ronald D. Moore, mesdames et messieurs, inclinons-nous bien bas. Pour la première fois, l’homme passe derrière la caméra. Et c’est une...
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