The face of the enemy : webisode nine
Wow. Comment qu’ils sont futés, quand même. Il y a quelques jours je lisais une interview de notre Dieu à tous, Ron D. Moore, qui confiait qu’écrire une série telle que BSG, c’est beaucoup, beaucoup d’improvisation.
On ne peut qu’applaudir le talent des gens qui font cette série parce qu’il y a quand même du raccrochage aux branches qui frôle la haute-voltige. Dans la mesure où quand on revoit la série, tout ça finit toujours par avoir un sens, comme si ça avait été prévu depuis le début.
Savoir laisser des portes ouvertes mais pas trop, juste assez pour qu’on puisse revenir sur certains passages et les approfondir, voire boucler la boucle, ça fait partie des méthodes de Mr Moore et de ses scribes.
Wow. Comment qu’ils sont futés, quand même. Il y a quelques jours je lisais une interview de notre Dieu à tous, Ron D. Moore, qui confiait qu’écrire une série telle que BSG, c’est beaucoup, beaucoup d’improvisation. On ne peut qu’applaudir le talent des gens qui font cette série parce qu’il y a quand même du raccrochage aux branches qui frôle la haute-voltige. Dans la mesure où quand on revoit la série, tout ça finit toujours par avoir un sens, comme si ça avait été prévu depuis le début. Savoir laisser des portes ouvertes mais pas trop, juste assez pour qu’on puisse revenir sur certains passages et les approfondir, voire boucler la boucle, ça fait partie des méthodes de Mr Moore et de ses...
La Suite