Doctor Who Confidential 311 : ‘Ello, ‘Ello, ‘Ello

Roh, qu’est-ce que je me suis éclatée devant ce Confidential ! Tellement que la version courte des DVD anglais m’a foutu une haine pas possible ! Ben oui, dix minutes sur 45, c’est révoltant ! En plus, je voulais vraiment voir la tête de la nana qui joue Chantho. Du coup, j’ai lancé Bill à l’assaut de la version longue. Hé hé hé, et j’ai bien eu raison.

Donc, il y a du matos, dans ce Confidential. D’abord, John Barrowman. Ce type est in-gé-rable ! Avec Tennant, ça fait vraiment la paire.

En plus, il semblerait qu’ils soient très copains et qu’ils aient beaucoup de… choses… en commun.

Freema : Him and David are very… flatulent…

Et pour foutre l’ambiance sur le tournage à quatre heures (!!!) du matin sous une pluie battante, apparemment, vous pouvez toujours compter sur John.

Ah, Captain Jack sous son petit parapluie, c’est trop trop mignon.

De l’inconvénient de tourner au Pays de Galles.

John : Welcome to the welsh spa !

Je vous fais grâce de ses pitreries, mais en tout cas, il m’a fait mourir de rire. Surtout quand il demande avec sa petite voix précieuse le massage aux pierres chaudes.

Sacré John, donc.

Ensuite, j’ai été proprement explosée de rire quand David raconte que les sauvages à grandes dents avaient été recrutés dans des bandes de bikers et qu’en fait, ils étaient presque aussi terrifiants hors tournage !

Graeme Harper, mon grand copain que j’A-DORE, plussoie vigoureusement.

D’ailleurs, le truc le plus hilarant de ce Confidential, c’est bien quand David et Freema avouent que lors de la poursuite des grandes dents, ils flippaient pour de vrai. Même que Freema hurle et qu’elle n’a pas besoin de jouer, elle est VRAIMENT terrorisée d’avoir cette horde à ses trousses !

Et vous savez quoi ? Il suffit de voir la gueule de Graeme Harper en train de superviser la scène, et celle de Phil Collinson qui suit le tout sur les moniteurs.

Je vous jure, c’est fabuleux !

Avec ça, on a aussi droit, donc, à Chantho. Et ça m’a fait trop plaisir de voir la bouille de cette demoiselle qui s’appelle Chipo Chung et qui est toute charmante.

Evidemment, les garçons se marrent à cause de ses « chan » et ses « tho », et David souligne qu’elle ne s’est jamais plantée dans son texte et que ça devait pourtant être assez difficile. D’ailleurs, John s’y essaye, raconte une anecdote avec « chan » au début et « tho » à la fin de chaque phrase. Autant dire qu’il se plante dès la deuxième.

John : Ah ! I messed it up ! I was going so good there !

Ensuite, un peu comme dans l’épisode avec les chats, David raconte qu’il n’a vu le visage de Chipo que lorsqu’elle est venue le voir le dernier jour du tournage en lui disant « This is what I look like ! »

David : When you get to know somebody, in that make up, that’s what you… even if they are blue with mandibles, that’s what you start to assume they look like.

En tout cas, Chipo semble s’être éclatée comme une malade. Elle explique que c’est vraiment le pied total, dans une carrière d’actrice, de se retrouver face à Derek Jacobi qui vous menace avec des fils électriques.

En parlant de Derek Jacobi, on apprend que ce brave monsieur rêvait de jouer dans Doctor Who depuis les années soixante. Et Freema raconte à quel point il était excité comme une puce en arrivant pour tourner.

David, lui, est ravi, bien entendu. Apprenti acteur, il était allé attendre Master Jacobi à la sortie d’un théâtre pour lui demander un autographe. Comme c’est mignon.

Et puis John Simm, quoi. Je vais vous dire aussi pourquoi je voulais le Confidential dans sa durée totale. Parce que dans la version courte, lorsque John tourne la scène où le Master se régénère, on aperçoit ceci.

Deuxième plan. Et je me suis dit qu’avec une bouille pareille, ça ne peut qu’être un mini-Simm. Meaning John amène sa famille sur le plateau. Meaning fan en culottes courtes. Et c’est bien le cas.

John Simm nous explique donc qu’il ne pouvait pas refuser le rôle du Maître parce que son fils, complètement fou de la série, ne le lui aurait jamais pardonné. Et aussi parce qu’il avait trop envie de lui faire plaisir, à son petit bout de chou, en faisant partie de la légende Doctor Who. Eh ben, c’est absolument irrésistible, les fiiiiiilles, j’en aurais presque larmoyé !

Adorable, en tout cas.

Et très intéressant, aussi, de voir comment ils ont filmé la scène où Derek Jacobi devient John Simm.

C’est là qu’on se redit pour la millième fois qu’avoir ces deux acteurs pour incarner un tel personnage, c’est extraordinaire. Limite moi aussi j’ai besoin de me pincer pour y croire, à chaque fois.

Voilà, j’espère que ça vous a un petit peu plu. Je vais m’attaquer au Confidential de Noël, très prochainement.