The face of the enemy : webisode three
Ah, tiens. On n’avait jamais eu droit à « dix petits nègres dans un raptor ». C’est amusant, comme concept.
Bon, évidemment, en deux minutes 36, pas grand-chose à se mettre sous la dent. Et pourtant, ça m’a retourné comme une chaussette quand Felix, se penchant vers Sweet Eight, murmure « You’re her »…
Et que…
Bite me.
Le fantôme de New Caprica, encore et toujours. On a beau croire à chaque fois qu’on s’est débarrassé pour toujours de ces mauvais souvenirs, on finit toujours par y revenir tant il reste à explorer.
Et là, en l’occurrence, il reste des zones d’ombre dans les activités de Felix. Que Sweet Eight a l’air de beaucoup apprécier.
Alors, en deux minutes 36, on apprend peut-être pas grand-chose, mais c’est assez pour apprendre qu’il se pourrait bien que Felix soit à voiles et à vapeur.
Bon, pendant ce temps, ce brave peuple tente de bricoler vaguement un truc que je n’ai pas très bien compris quoi. « Scrubbers », je ne me souviens plus du tout ce que ça veut dire, il me semble qu’on avait eu droit à ce terme lorsque Kara et Lee manquent de s’asphyxier en se draguant outrageusement dans Final Cut mais je peux me tromper.
Toujours est-il qu’en jouant les Bricol’Girls, Pilot!Eight s’électrocute comme une bourrine et qu’on se rend compte que quelqu’un lui a un petit peu enlevé l’isolant de son outil. Ca, c’est pas très très joli.
Felix : Who did this ?
Elémentaire, mon cher Felix !
Vui, c’est même "carbon dioxide air scrubber" : le petit bitonio qui enlève le CO2 du vaisseau. Parce que sinon au bout de quelque temps y’aurait que du CO2 à respirer, et forcément, c’est pas une très bonne idée.