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The face of the enemy : webisode four

Ouh là ! Ca devient bien glauque, leur affaire !
Déjà, un cadavre à bord. Youpi, c’est la fête du slibard, dans notre joyeux raptor.
Devant le corps encore chaud de la pauvre Eight, ça commence à se regarder de travers. Mais comment ça se fait donc que la pince n’avait plus d’isolant ?
Réponse : a parti tout seul.

Sweet Eight : Or someone didn’t like the idea of a machine breathing their air.

Voilà, merci d’être venue.
Ca se met à gueuler comme des putois alors que deux minutes avant, on leur demandait justement de ne pas parler trop fort. Ah bravo.

Felix : Shut the frak up ! It was an accident ! What are we gonna do with her ?

Ben bouffez-la, votre morte !
Enfin, sauf que non. Ils ne sont pas perdus quelque part dans les Andes et ils ont vingt heures d’air. Alors il va falloir se débarrasser du cadavre avant que celui-ci ne… enfin ne… bref ne commence à dégager du méthane. Hem. Avant qu’elle POURRISSE, quoi !!

Pendant ce temps, on continue à nous raconter, en parallèle, l’histoire de notre Oskar Schindler de New Caprica. Bien soigneusement en train de dresser la liste de ceux qui pourraient se trouver dans les geôles des cylons.

Et vous savez quoi ? Il a quand même un sacré problème de programmation, ce modèle Huit. Bien trop humain pour être honnête. Au point de vouloir trahir les siens sur New Caprica ? Etonnant.

Bref, cette double narration, c’est vraiment un classique de BSG. On raconte deux histoires, deux époques pour un même groupe de personnages, comme dans Unfinished business. Une recette qui fonctionne à tous les coups.

Alors, quel est le plan de Sweet Eight pour les sortir tous les deux de ce guêpier ? Balancer les trois autres par l’airlock quand ils se débarrasseront de sa collègue ? Brrrr… elle me fait froid dans le dos, cette petite.

Heureusement que pendant ce temps-là, Monsieur Hoshi part chercher son aimé. Mais pourquoi j’ai l’impression que ça va trop mal se finir, cette affaire ?

2 Comments

  1. J’ai surtout l’impression que ça va finir en partie à trois !!!! Tiens, moi aussi, j’ai pensé, ‘ils ont qu’à la bouffer" !

  2. de la tension comme il faut pour foutre le bordel à bord du raptor. Du bon BSG. Ca promet, vivement la suite.

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