407 : It’s the great pumpkin, Sam Winchester
Oui, alors euh, c’est vrai que les titres sont de plus en plus barrés, en cette saison 4 !
Quatre saisons… quatre saisons pour que Supernatural ait ENFIN son épisode Halloween. On croit rêver. Et l’an prochain, qu’est-ce qu’il nous manque ? La Saint Patrick et ses Leprechauns ? (Oh ouiiii !) « Those little dudes are scary. Small hands. »
Ah, que j’aime le vendredi. Dès mon petit lever (6h22, merci le réveil des voisins du dessus), penser que j’ai un nouvel épisode à me mettre sous la gencive, quel bonheur.
Surtout que là, y a du lourd ! Et du moins lourd. De l’humour, de l’angoisse, du dégeu… tout ce qu’il faut, quoi.
A commencer par une bonne légende urbaine bien sympatoche : des lames de rasoirs dans les bonbons que subtilise malicieusement un gentil père de famille.
Allez hop, rectifié.
Après ça, c’est une gentille jeune fille qui finit façon tête de veau au vinaigre de cidre après avoir voulu, gentiment toujours, pêcher une petite pomme avec les dents.
Trop sympa.
Bien vite, mes Weuh, toujours sur la brèche, concluent qu’il s’agit des méfaits d’une sorcière. (Tout de suite, là !)
Et donc c’est Halloween. Avec son lot de gosses qui réclament des bonbecs. Des bonbecs et une sorcière, mmmmh. C’est la Saint Dean !
Ah, qu’il m’a fait marrer, ce nigaud, à dévorer des bonbons à s’en faire péter la sous-ventrière.
Du coup, lorsque Sam et lui croisent un gosse qui réclame son dû…
Astronaute : Trick or treat !
Dean : This is a motel.
Astronaute : So ?
Dean : So we don’t have any candy.
Sam : No we have ton in the uh…
Dean : We did but it’s gone !
Et pourquoi, Dean ? Tu peux nous expliquer vite fait ? Parce que tu as tout boulotté, espèce de gros glouton ! Et ça ose traiter le gamin de petit gros ? Ben il est pas gêné, le bellâtre.
Du coup, faut pas s’étonner s’il a droit à son « trick ». Encore une scène à pleurer de rire. Ah, Jensen, que tu es bon, que tu es beau, hihihi, ahahah.
Dean : ASTRONAUT !
Ah, bref. Ca, c’était pour la rigolade. Là où on rigole plus du tout, c’est que notre amie sorcière qui est une sale blondasse de 16 ans, 90/60/90, tente de réveiller un démon que c’est pas de la tarte à la citrouille, un certain Samhain qui est la raison pour laquelle Halloween ça fait un peu peur.
Pire encore, et cette fois, on l’apprend de la bouche même de notre ange de service, libérer Samhain, ça fait partie des fameux sceaux que Lilith tente de briser pour libérer Lulucifer. Aïe, aïe, aïe.
Donc Castiel est de retour. Et ma foi, je commence à le trouver sacrément bisouillable, ce Castiel. Même si j’ai été super mal à l’aise lorsque Sam le rencontre enfin. On l’attendait avec anxiété, cette rencontre, et… oh pauvre Sam qui tend si bravement sa big paluche à Cas’, tout estranciné de rencontrer enfin un ange en vrai, genre m’sieur, chuis votre plus grand fan.
Je crois qu’il ne s’en serait jamais remis si Castiel la lui avait refusée. Enfin il garde la main tendue bien longtemps, le pauv’ mamour. Au final, la manière qu’a Castiel de lui serrer la main, c’est très bizarre.
A deux mains, comme ça. Un peu inquiétant mais pas dénué d’émotion. Et… oooh, Sammy. Quand il dit « Oh my God », tout chamboulé, et qu’il se reprend honteusement, j’ai ri à gorge déployée. C’était adorable.
Pauvre biquet, quand même. Ca m’a vraiment fait de la peine qu’il soit aussi déçu par les anges, lui qui y croyait si fort. Il faut dire que Castiel, c’est déjà pas de la tarte. Mais alors son copain Uriel, bonjour la purge.
Comme j’ai été contente que Dean leur fassent honte comme ça quand ils parlent d’anéantir toute la ville pour se débarrasser de la sorcière. Franchement faut se calmer, les gars. Et se faire faire la morale par un petit mortel comme ça ? Ah ah ah, je me gausse ! Certes, la petite réplique de Castiel concernant John W. fait quelque effet, mais rah, Dean, superbe, quoi. Ok, traiter d’entrée de jeu Uriel de ptite bite, c’est pas forcément super judicieux, mais il y va, le garçon et c’est tout à son honneur.
Dean : I mean, come on, you’re gonna wipe out a whole town for one little witch. Sounds to me like you’re compensating for something.
(*tire Dean par la manche* Euh, chéri, on y va, là, chuis garée en double file.)
Il faut dire qu’ils ont tendance à se la péter un peu, les angelots du ptit Jésus, là.
L’intransigeance d’Uriel, néanmoins, apporte un éclairage tout à fait intéressant sur Castiel qui vu d’ici semble être le « good cop ». A confirmer.
Castiel : The decision’s been made.
Uriel : By a mud monkey.
Castiel : You shouldn’t call them that.
Uriel : Oh, that’s what they are… savages. Just plumbing on two legs.
Castiel : You’re close to blasphemy.
Méfiance, je commence à bien l’aimer. Ca m’a l’air d’être un type droit, ce Castiel.
(Et smouacky au passage, parce qu’il est vraiment très mimi.)
Mais enfin, le choc est quand même rude pour le pauvre Sammy qui d’un seul coup n’a plus du tout envie de croire aux petits anges.
Sam : This is God and heaven, this is what I’ve been praying to ?
J’ai trouvé ça incroyablement émouvant que Dean l’encourage dans sa foi, c’était adorable et ça en dit long sur le chemin parcouru par les deux frères qui ont pratiquement échangé leurs rôles depuis le début.
D’ailleurs, je ne sais pas mais… avec ce qu’on sait aujourd’hui sur Mary Winchester, le coup des anges qui veillaient sur eux ou je ne sais plus ce qu’elle racontait à Dean petit, ça sonne un peu bizarre, aujourd’hui. Mais c’est peut-être moi qui surinterprète. En tout cas, une chose est sûre : ces anges-là s’intéressent beaucoup beaucoup à nos deux frères et je ne sais pas s’il faut s’en réjouir. Car là, en gros, ils viennent d’obéir à un ordre que leur a donné Dean. Celui de les laisser faire.
En parlant de Dean, une scène extraordinaire un peu plus tôt. En entrant dans l’atelier du prof super chelou dont je ne peux pas blairer la tronche, Dean lève les yeux pour observer les masques que fabriquent ce monsieur et ses étudiant.es et…
Là, j’ai voulu mettre sur pause. D’abord pour admirer la beauté sans pareille de ce visage…
Puis pour me délecter de la subtilité du jeu d’acteur de Jensen…
Et enfin parce que je sens qu’on touche à un truc très important et que c’est ça, le secret de Dean.
Alors, qu’est-ce que ce masque lui évoque, exactement ? Qu’est-ce qu’il s’est passé en enfer ? S’en souvient-il ou pas ?
Que nous cache biquounet, hein ?!
Quoi que ce soit, cette scène était très forte, très crispante, très bien filmée, avec les hurlements en fond sonore. Et Dean, tellement beau, en gros plan.
Difficile de croire qu’il s’agit du même gaillard qui me fait rire aux larmes lorsqu’il sort un sublime « Bring it on, stinky ! » à un zombie.
Nan parce que la scène où ils se font truander par la sorcière et par Samhain est sympa, mais Dean contre les zombies, ça vaut quand même son pesant de Michokos.
Et alors encore mieux quand les fantômes s’y mettent eux aussi.
Dean : Zombie-ghost orgy, huh ? Well, that’s it. I’m torching everybody.
Je sais pas comment il fait pour être si drôle. Il sort ces répliques avec un tel naturel, c’est irrésistible. Je lui en veux presque de me faire autant rire alors que je me fais un souci monstre pour Sam. Parce que… rah Sam… Je me doutais que Castiel n’aurait pas dû le féliciter de ne plus user de ses pouvoirs. Dès la scène où Samhain apparaît, j’ai eu peur de le voir s’en servir. Quand il barbouille le visage de Dean et le sien de sang pour ne pas se faire repérer par le démon, ça m’a fait froid dans le dos même si c’était brillant, comme stratagème.
Malheureusement, Samhain a bel et bien été invoqué, ce qui veut donc dire que le sceau a été brisé. Et Sam sait très bien que c’est à lui de s’en occuper, laissant Dean traiter avec les petites (mais nombreuses) frappes. Avait-il vraiment d’autre choix lorsque l’autre lui fait le coup de la lumière blanche, en vain ?
Dommage, a marche pas sur Sammy.
Je ne sais pas. En tout cas, il a pas l’air commode à exorciser, Samhain.
Je jure que ça m’a tuée quand Dean débarque à l’instant précis où on voit Sam galérer pour dégommer le gus.
Oh, Dean…
D’autant que… ça n’a pas pu vous échapper mais… l’espace d’une seconde, lorsque le nez de Sammy se met à pisser le sang… ses yeux deviennent tout noirs, comme ceux d’un démon.
C’est super-flippant. J’en étais malade.
Et le regard.
Terrible. Indescriptible, ce regard. Surprise, dégoût, déception. Et la réaction de Sam, obligé de détourner les yeux tellement il ne peut pas supporter le regard de son frère.
La fin, chacun avec « son » ange, est très bien. Je crois que je n’aurais pas supporté que les frères soient ensemble pour la dernière scène.
Uriel : Tomorrow, the second. It’s an anniversary for you right ?
Sam : What are you doing here ?
Uriel : It’s the day Azazel killed your mother and 22 years later your girlfriend too. Must be difficult to bear. Yet you brazenly use the power he gave you. His profane blood, pumping through your veins..
Sam : Excuse me?
Uriel : You were told not to use your abilities.
Sam : And what was I supposed to do ? That demon, would have killed me AND my brother and everyone.
Uriel : You were TOLD not to.
Sam : If Samhein had gotten loose in this town…
Uriel : You have been warned, twice now.
Sam : You know, my brother was right about you. You are dicks.
Uriel : The only reason you’re still alive, Sam Winchester, is because you’ve been useful. The moment that ceases to be true, the second you become more trouble than you’re worth, one word, ONE, and I will turn you into dust. As for your brother, tell him that maybe he should climb off that high horse of his. Ask Dean what he remembers from hell.
3615 Jefousmamerde.
Par chance, Castiel, lui, se montre moins sévère. Oui, c’est un échec. Mais c’était aussi un test. Et ça, il ne le cache pas. J’aime le fait qu’il exprime ses doutes, qu’un ange puisse lui aussi se poser les questions que se posent les Winchester.
Castiel : I have doubts. I don’t now what is right and what is wrong anymore. Wether you passed or failed, here. But in the coming months you’ll have more decisions to make. I don’t envy the weight that’s on your shoulders, Dean. I truly don’t.
Ouais, ben ça, canard, personne ne l’envie, Dean Winchester. Et je n’envie pas plus Sammy qui glisse malgré lui de plus en plus du côté obscur de la Force, si séduisant, si commode même quand on veut faire le bien.
En tout cas, really cool episode. Rien à jeter, tout était génial. J’apprécie vraiment qu’on parvienne à garder la régularité d’un « monster of the week », qu’on y ajoute une pincée d’épisode spécial et qu’on parvienne à ajouter du gros dossier tout en rigolant un max. C’est fou comme ces épisodes me paraissent courts… Quoiqu’il en soit, cette saison 4 est bien partie pour être la meilleure à ce jour.
Aaah trop cool, la revue juste quand je viens de finir de zieuter le zode…
La branlée verbale que Dean met aux gars à plumes, un grand moment, du grand Dean et du grand Jensen! J’aime beaucoup la dernière scène aussi, ce parallèle fort qu’il y a entre Dean et Castiel!
Les yeux noirs de Sam j’ai pas remarqué, vais re-regarder ça!!
Merci pour la revue, drôle et palpitante comme d’hab!!
Les yeux noirs de Sammy, j’ai dû me pincer, j’ai cru l’avoir rêvé, mais non. Poor Dean. Son pire cauchemar est en train de se produire sous ses yeux.
Je viens de regarder, je suis pas 100% convaincue… Il plisse tellement les yeux qu’il y a un moment où on ne voit pas le blanc… Tu vois ça vers la fin, quand le gros vilain pas beau commence à cracher sa suie?
Nan mais regarde la capture, y a aucun doute possible, même s’il plisse beaucoup les yeux…
On voit un minuscule bout de blanc… On ne le voit peut-être pas à cause de l’éclairage dans ta caps, mais en live, il y est. Ca me semble trop subtil pour le spectateur lambda, surtout après les excuses de Kripke la semaine dernière.
L’ennui c’est que je ne suis vraiment pas la seule à l’avoir vu, ce truc-là.
Ca prête à confusion c’est vrai… D’ailleurs…
community.livejournal.com…
Mais je pense qu’ils seraient plutôt partis pour des yeux jaunes si cela aurait vraiment été voulu, non ?
Mon avis pour les yeux noirs ? Temporaire. Les yeux jaunes, c’est quand il aura vraiment la classe internationale en tant que démon. Et franchement, je suis sûre qu’il y a un effet là-dessus, Jared n’a pas pas les yeux comme ça… et puis le gros plan et tout. C’est peut-être juste fait pour nous flanquer le doute, mais il y a quelque chose.
*la minute chieuse* ha! Je l’avais dit que c’était pour ça qu’il fermait les yeux en plein exorcisme!
A mon avis, les yeux noir c’est quand il peine, donc au début il les avait tout le temps et c’est pour ça qu’il fermait les yeux, ensuite c’est devenu plus facile: exorcisme yeux clean et ouverts, et là re yeux noirs vu le gars.
Bon je m’arrête là, j’ai pas encore vu l’épisode mais il me tarde!!
Quoi qu’il en soit, pour moi, c’est super chelou de voir la petite gueule choute de Jared se transformer ça. Beuuhhhaaah, je pourrais en faire des cauchemars !
Hier soir, pour fêter Halloween, on s’est fait une bonne dose de bêtisier made in SPN et dans ceux de la saison 2, on voit Ava en train de hurler. Ben… ça m’a calmée nette. Quand je pense à la gentille Ava bouffée toute crue par ses pouvoirs, ça me fait très peur pour Sammy. :-/
Ah ça, ils sont fort à SPN pour nous faire hurler de rire, flipper et réfléchir à beaucoup de choses !
Dean qui fait la morale aux anges, j’ai adoré. Surtout qu’il n’hésite pas à y aller, quelques puissent être les conséquences. D’ailleurs, en passant, j’aime de plus en plus Castiel moi aussi, non seulement charmant, mais aussi intéressant !
La rencontre entre Sam et Castiel, on se demande comment l’ange va au final réagir…
Et bien évidemment, Dean qui arrive pendant l’exorcisme…
Bon, c’est pas tout ça, mais il va bien falloir commencer à savoir ce qu’il lui ai arrivé à Dean en Enfer, non parce que son arrêt devant les masques…
J’imagine que ça va faire partie du cliff de mi-saison, comme le coup de ce que Papa Weuh lui murmure avant de partir dans la saison 2. Gnmmmmh.
Eh ! Oh ! Castiel est à MOI ! JE l’ai vu en premier. Dégages de là démone!
Bien sûr qu’il a les yeux tout noirs, Sam, c’est évident ! 😉 Et c’est pas la première fois que je le remarque, alors qu’avec le temps que je perds à lire les sous-titres, il peut y avoir plein de choses qui m’échappent.
"Uriel, bonjour la purge", LOL faut avouer !