401 : Scylla
Il y a quelque chose de réconfortant dans le fait de regarder Prison Break. De constater qu’une saison et demie plus tard, rien n’a changé. Les scénaristes nous pondent toujours des rebondissements hautement improbables, Wenty Miller jongle toujours (péniblement) entre ses deux expressions de rechange, et autour de lui, toute une bande de joyeux rigolards s’agitent toujours en tous sens… bien vainement. Dans un monde qui change aussi vite que le nôtre, c’est un repère précieux. Hem.
Il y a quelque chose de réconfortant dans le fait de regarder Prison Break. De constater qu’une saison et demie plus tard, rien n’a changé. Les scénaristes nous pondent toujours des rebondissements hautement improbables, Wenty Miller jongle toujours (péniblement) entre ses deux expressions de rechange, et autour de lui, toute une bande de joyeux rigolards s’agitent toujours en tous sens… bien vainement. Dans un monde qui change aussi vite que le nôtre, c’est un repère précieux....
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