222 : All hell breaks loose (2)
Je vous avoue que j’avais envie de voir et de reviewer cet épisode comme de me pendre… Mais bon, je ne me suis pas (re)tapé toute cette saison pour zapper la dernière pièce du puzzle, ce serait ridicule. D’autant que c’est là qu’elle prend tout son sens, cette saison. Et qu’on comprend soudain pourquoi Dean ne fait pas revenir Daddy grâce au démon du carrefour dans Crossroads. Parce qu’inconsciemment, il sait que ça peut encore servir. Et que s’il doit faire l’ultime sacrifice, ce n’est pas pour John Winchester mais bien pour Sam.
D’ailleurs, aussitôt que celui-ci rend l’âme dans l’épisode précédent, on sait ce qu’il va se passer. C’est pour ça qu’on attend avec tellement d’appréhension le début du suivant. Outre bien sûr la détresse immense de Dean qui nous est catapultée en pleine poire. Aaaappppffffff…
Heureusement, osé-je dire, il y a l’épatant « The Road So Far » avec la chanson de Kansas. Rah, ça c’est bonnard.
Par contre, le rafraîchissement est immédiat, avec un Sam tout glacé que je trouve tout à fait terrifiant.
D’autant plus quand le grand frangin est planté devant comme un santon, bras ballants, lui-même presque aussi gris que le cadavre.
Et Bobby qui rapplique avec du poulet, genre il a vachement faim, Dean, là.
Bien sûr, il parle déjà de mettre Sam en terre. Woulah, juste mauvaise idée, mon pote.
Deuxième erreur, se mettre à évoquer direct le fait que quelque chose de big se prépare. Grave le truc à pas dire face à un gars qui vient de perdre son dernier repère.
Bobby : Something big is going down. End of the world big.
Dean : Well, then let it end.
Bobby : You don’t mean that.
Dean : You don’t think so ? You don’t think I’ve given enough ? You don’t think I’ve paid enough ? I’m done with it. All of it. If you know what’s good for you, you’ll turn around and get the hell out of here.
Dean : I’m sorry. I’m sorry. Please just go.
Bobby : You know where I’ll be.
Pauvre Bobby. Ca lui brise le coeur de voir ça. Mais il a sa guerre à mener, ce brave. Limite je lui en voudrais presque de ne pas comprendre tout de suite ce qui va se passer et de se casser aussi simplement.
Et puis Dean, quoi. Dean qui échoue à sa plus grande mission, celle que son père lui a confiée alors qu’il n’était encore qu’un bambin et qui était devenue sa raison de vivre, de continuer. Le couronnement d’une magnifique vie de merde.
Dean : When you were little, couldn’t have been more than five, you just started asking questions. How come we didn’t have a mom. Why did we always have to move around. Where’s Dad. I remember I begged you. « Quit asking, Sammy. You don’t want to know. » I just wanted you to be a kid. Just for a little while longer. Always tried to protect you. Keep you safe. Dad didn’t even have to tell me. It’s just always my responsibility, you know ? It’s like I had one job. I had one job, and I screwed it up. I blew it, and for that, I’m sorry. I guess that?EUR(TM)s what I do. I let down the people I love. You know, I let Dad down, and now I guess I?EUR(TM)m just supposed to let you down, too. How can I ? How am I supposed to live with that ? What am I supposed to do ? Sammy ? What am I supposed to do ?
On voudrait tant que Sam entende ça, putain. Et voie Dean pleurer comme un bébé parce qu’il a été assez bête pour ne pas se débarrasser de Jake quand il en avait l’occasion. Pauvre chat. Comme si c’était sa faute…
Bref. Ce qu’il est supposé faire ? Ben ça, bien sûr.
Enterrer sa petite boîte pour invoquer le démon du carrefour. Et se faire entuber royalement.
Dean, Dean, Dean. Ca s’annonce pas simple, ton affaire. Souvenons-nous que la dernière fois que Dean a croisé la bête, il lui a un peu fait un plan de bâtard. L’ardoise est chargée entre les deux. Du coup, là où pour les autres, c’est dix ans de sursis, pour Dean, hmmmm… Sept ans ? Nope. Cinq ? Niet. Trois ? Point. La salope sait qu’elle peut descendre plus bas, qu’il ferait n’importe quoi pour ramener Sam.
Démon : Because I’m such a saint, I’ll give you one year. And one year only. But here’s the thing. If you try and welch or weasel your way out, then the deal is off. Sam drops dead. He’s back to rotten meat in no time. So… it’s a better deal than your dad ever got. What do you say ?
(Non mais !!! )
Mais vous savez quoi ? Dean fait encore une affaire. Sans Sam, il n’aurait pas tenu un mois, il se serait flingué avant.
Et que celui qui n’a pas lâché un « Oh putain » au moment où la grande tige ouvre les yeux me jette la première poignée de gros sel.
Comme souvent, les retrouvailles ne vont que dans un sens, Sam n’étant pas tout à fait conscient qu’il revient de l’au-delà. Et même si Dean n’a pas l’intention de le lui expliquer, son comportement parle pourtant de lui-même.
(Ah non, ne vous tou… Oh et puis si, merde, pour une fois. )
C’est assez incroyable de voir à quel point Dean se met alors à ignorer le compte à rebours qui a déjà commencé pour lui. Imaginez-vous dix secondes savoir précisément quand vous allez casser votre pipe… Brrr…
Evidemment, tout ceci est bien plus intéressant lorsqu’il y a un témoin. Et Sam n’a pas du tout l’intention de se mettre à la retraite, lui est prêt à remettre le couvert pour empêcher Yellow-Eyes de faire un carnage, et surtout, surtout, à botter le cul à Jake qui l’a poignardé dans le dos, dans tous les sens du terme.
Direction chez Bobby, donc… Et alors là… wouhouh.
Les yeux qui lancent des éclairs, la mine piteuse de Dean, grillé. Et Sam, tout content, lui.
Mais aussitôt que le grand truc a le dos tourné, mazette comment que ça chie. Je m’attendais presque à ce que Bobby lui foute une trempe et il n’en est pas loin, mais le pauvre vieux est tellement triste et son discours transpire tellement le désespoir et l’impuissance que j’ai bien failli verser une larme.
Bobby : You stupid ass ! What did you do ? What did you do ?! You made a deal… for Sam, didn’t you ? How long did they give you ?
Dean : Bobby…
Bobby : How long ?!
Dean : One year.
Bobby : Damn it, Dean !
Dean : Which is why we gotta find this yellow-eyed son of a bitch. That’s why I’m gonna kill him myself. I got nothing to lose now, right ?
Bobby : I could throttle you !
Dean : And send me downstairs ahead of schedule ?
Bobby : What is it with you Winchesters, huh ? You, your dad. You’re both just itching to throw yourselfs down the pit.
Dean : That’s my point. Dad brought me back, Bobby. I’m not even supposed to be here. At least this way, something good could come out of it, you know ? It’s like my life could mean something.
Bobby : What ? And it didn’t before ?! Have you got that low of an opinion of yourself ? Are you that screwed in the head ?!
Dean : I couldn’t let him die, Bobby. I couldn’t. He’s my brother.
Bobby : How’s your brother gonna feel when he knows your going to hell ? How’d you feel when you knew your dad went for you ?
Dean : You can’t tell him. You can take a shot at me. Whatever you got to do, but please don’t tell him.
Pauvre Bobby, il en chiale, dites donc… C’est quand même bon de voir qu’il y en a qui se soucient d’eux, tout de même. Et surtout, merci à Bobby de nous rappeler l’ironie de la situation. John se sacrifie pour Dean qui se sacrifie pour Sam. Décidément, tout finit toujours par converger vers le grand truc.
Et puis là, paf, débarque l’autre moitié de la famille d’adoption qu’on n’espérait plus voir. Ellen !
Enfin une bonne nouvelle.
Du coup, l’enquête repart, et oh… my… god. Ce que découvre notre quatuor est juste hallucinant. Outre son petit flingue magique, Samuel Colt avait également installé des supers rails qui tuent, genre clé de Salomon géante, le tout dans le Wyoming, autant dire le trou du cul du monde.
Un gigantesque piège à démons ? Pas tout à fait. Certes, les démons ne peuvent pas y entrer, mais ils ne peuvent pas en sortir non plus. Et c’est surtout ça, le but du jeu. Parce qu’au coeur de ce réseau se trouve un vieux cimetière (indien radioactif ?) et que ce cimetière abrite… tadaaaaa ! La porte de l’Enfer ! Youpi, tralala, tout s’explique comme par miracle. Yellow-Eyes va se servir de son super-survivor pour y entrer et libérer son armée. Et il est futé, ce fumier de sa race. A la base, Jake n’est pas super chaud, mais voilà, en face, il y a comme qui dirait de l’argument. Et l’argument number one, comme toujours, c’est bien entendu la famille.
Yellow-Eyes : I?EUR(TM)ll make certain that they both live long enough to know the chewy taste of their own intestines.
Yummy !
Yellow-Eyes : If you’re gonna open that crypt for me, you’re gonna need a key.
Jake : A gun ?
Yellow-Eyes : Oh, this isn’t just any gun, Jake. This is the only gun in the whole universe that can shoot me dead.
Et de filer tranquille le truc à Jake.
Evidemment, ça sent son arnaque à plein nez, et il vous retourne la situation en moins de dix secondes, avec quelques belles paroles promettant richesse, succès, alcool et petites pépées, bref, toute la panoplie qui permet de retourner un brave petit soldat pourtant honnête. Et puis de toute façon, Jake est déjà allé trop loin et il le sait. Est-il encore vraiment à ça près ?
Non bien sûr. Et il faut que ce soit Galaad le pur qui l’arrête. Big shock d’ailleurs, puisqu’après avoir échangé quelques torgnoles avec Jake, Sam finit par l’abattre comme un chien sous le regard complètement hébété de Dean.
(Bel effet miroir. On se souvient de la réaction de Sam lorsque Dean nous découpe un vampire à la scie. Tout pareil.)
En attendant, Jake a eu le temps de s’étonner de voir le grand truc alive and kicking. Normal, il l’avait un tout petit peu buté. Et surtout, il a eu le temps d’ouvrir la gentille poporte des enfers. Et ça, hem, c’est un peu grave la merde.
Emerge de cette charmante poporte une armée de machins complètement déchaînés. D’autant que les rails ayant été coupés, cette armée se répand comme la vérole sur le bas-clergé.
Et pendant qu’Ellen et Bobby tentent de refermer cette affaire pour limiter les dégâts (joli symbole de chasseur), Yellow-Eyes débarque royalement pour faire un petit coucou empoisonné aux Weuh. Et surtout, remercier chaleureusement Dean de lui avoir rendu son petit chouchou.
Yellow-Eyes : So, Dean. I gotta thank you. You see, demons can’t resurrect people unless a deal is made. I know, red tape, it’ll make you nuts. But thanks to you, Sammy’s back in rotation. I wasn’t counting on that, but I’m glad. I liked him better than Jake anyhow.
Avant d’ajouter un truc qui va certainement nous poursuivre pendant toute la saison 3…
Yellow-Eyes : Well, it’s a better shake than your dad ever got. And you never wondered why ? I’m surprised at you. I mean… you saw what your brother just did to Jake, right ? That was pretty cold, wasn’t it ? How certain are you that what you brought back, is 100% pure Sam ? You of all people should know, that’s what’s dead, should stay dead. Anyway… thanks a bunch. I knew I kept you alive for some reason. Until now, anyway. I couldn’t have done it without your pathetic, self-loathing, self-destructive desire to sacrifice yourself for your family.
Et là, alors qu’il s’apprête à descendre Dean avec le colt…
… le plus gros hurlement de ma carrière de fan de Supernatural…
DADDY WINCHESTER HIMSELF ! Lui aussi était en enfer, lui aussi a profité de l’ouverture de la porte pour se faire la malle, et nom d’un chien, il n’est pas très très content ! Le voilà qui empoigne le fumier de sa race, juste le temps pour Dean de choper le colt…
… et de tirer l’ultime balle sur l’enfoiré. Le tuant instantanément. Exit Yellow-Eyes. Il nous aura bien emmerdé, ce furoncle.
Et là, évidemment, impossible de ne pas pleurer devant le sourire super fier de papa Weuh, si content que son grand garçon ait enfin accompli le geste libérateur.
Pas un mot rien… Et là j’ai pleuré…
Eux aussi d’ailleurs.
(Surtout le grand truc. Quelle tafiole… zyva, sors-nous le mouchoir de dentelle, tant que t’y es, Gladys !)
J’imagine que maintenant, John Winchester peut enfin reposer en paix. Tant mieux. Je crois que ça le tuerait une deuxième fois s’il savait que Dean vient de se payer un aller simple pour l’enfer d’où lui-même a enfin pu sortir…
Bref. Je suis quand même plus que ravie que ce soit Dino qui nous ait débarrassé du gros enfoiré. Il fallait que ce soit lui. Et passé le choc de cette scène complètement inattendue et surréaliste, tout le monde percute que ça y est, Yellow-Eyes est hors circuit. Ca fait vraiment très bizarre.
Sam : I kinda can’t believe it, Dean. I mean our whole lives, everything has been prepping for this and now I… I kinda don’t know what to say.
Dean : I do.
Dean : That was for our mom, you son of a bitch.
La dernière chose qui m’a prise de court, c’est le fait que le dernier dossier en souffrance soit aussi vite expédié. Je pensais qu’on ferait traîner la chose, un peu comme le message de papa au début de la saison 2. Mais non. Sammy a bien compris qu’il avait passé l’arme à gauche, et connaissant son frère comme il le connaît, il sait qu’il a vendu son âme pour lui.
Sam : Did I die ?
Dean : Oh, come on !
Sam : Did you sell your soul for me, like Dad did for you ?
Dean : Oh, come on ! No !
Sam : Tell me the truth. Dean, tell me the truth.
Dean : Sam…
Sam : How long do you get ?
Dean : One year. I got one year.
Sam : You shouldn’t have done that. How could you do that !?
Dean : Don’t get mad at me. Don’t you do that. I had to. I had to look out for you. That’s my job.
Sam : And what do you think my job is ? (Ah ben ça on se le demande !)
Dean : What ?
Sam : You’ve saved my life over and over. I mean, you sacrifice everything for me. Don’t you think I’d do the same for you ? You’re my big brother. There’s nothing I wouldn’t do for you. (Ooooh, enfin !) And I don’t care what it takes, I’m gonna get you out of this. Guess I gotta save your ass for a change.
Sniffy.
Eh ben ils vont en avoir du pain sur la planche, les Weuh. Entre Dean à sauver et une armée de démons dans la nature… dont Sam est un peu supposé être le chef, en tant que sole-survivor non ? Heeeem !
Le smile de Dean lorsqu’Ellen parle du combat qui s’annonce m’a à la fois fait sourire… et frissonner. Dites, il est vraiment complètement allumé, ce type !
Et pourtant… ben ouais. Il a son frère, il a tué celui qui a réduit sa famille en miettes, il a libéré son père, il a mis les choses au clair avec le grand truc qui l’a enfin assuré de son amour et de son dévouement fraternels, et il a l’assurance de pouvoir casser du démon pendant une bonne année. Evidemment qu’il est content !
Bon, vous excuserez cette review à la fois trop pleine et pleine de vide, mais ce genre de zode, c’est hyper compliqué à condenser. Surtout qu’on a juste envie de poster les 12 000 captures d’écran, et de caser les 7000 dialogues qui font transpirer des yeux.
Par contre je suis légèrement vexée de l’absence de cliffhanger. Alors je pense que je vais directement entamer la saison 3. Non mais oh.
(Et juste pour dire que définitivement, Jensen Ackles… oh dear god. Mais il est fabuleux, ce garçon. Let’s marry him !!! Bamber, méfie-toi, la concurrence est très très rude !)
Non mais, nous faire, comme tu dis " transpirer des yeux" autant, ça devrait pas être permis !
Rien que le début, Dean face à Sam plus gris que gris, c’est trop triste. Le dialogue entre Dean et Bobby, l’un résigné et l’autre en colère, parce que nom d’un chien, il les aime ces gamins ! Heureusement, Ellen est en vie, vive Ellen !
Le retour de John, après bien évidemment que Dean en est pris, littéralement, plein la tête ( mais les coups lui vont bien au teint, donc… ), et nous débarasse de YE. Pfiou, j’étais limite agrippée au canapé.
Et évidemment la fin. Tellement chouette de voir Sam réagir de cette façon, et Dean tout fier.
Sont doués dans cette série !
Mais le pur truc de malade, c’est que JAMAIS je n’avais pensé que John allait se pointer ! Je me suis levée et j’ai hurlé, mais comment une démente ! Franchement, je ne me souviens pas avoir été surprise à ce point par un rebondissement dans une série depuis très très longtemps ! Complètement hallucinant. Montagnes russes, cet épisode, vraiment. Très contente aussi que Sam ne se mette pas en colère, j’étais limite là, les mains jointes, à supplier mentalement qu’il ne se mette pas en colère… J’aurais pas supporté, après tout ça, et Dean non plus…
Je crois avoir été un peu moins surprise par l’apparition de John, parce que le nom de Jeffrey Dean Morgan apparaît au générique, mais comme entre-temps j’avais oublié, rapport à tout ce qui arrive aux frangins, j’ai quand même eu la mâchoire inférieure qui est tombée, avant de couiner, cela va de soi^^
Et pour Sam, ravie aussi. Comme s’il venait de murir d’un coup, et prenait les choses en main.
Je crois que j’étais tellement obnubilée par le chagrin de Dean que je ne l’avais même pas vu, son nom…
Cette Ayiana, what a bitch !
Oh my god, c’était elle ??? Jamais je l’aurais reconnue !
Yep, c’est la démone du carrefour… Néanmoins, c’est la prochaine la plus marrante, mais chuut pour l’instant…
Je sais, j’ai vu jusqu’à cet épisode. Et je sais aussi qui c’est… 😉
J’ai pas arrêté de hurler devant cet épisode, j’en ai réveillé les voisins j’pense.
Le pire, c’est John qui fait son retour j’ai cru sérieusement que j’allais pas m’en remettre.
Tain, bravo, maintenant j’ai ressorti le zode… ;-(
Ils peuvent remercier Jake, finalement, les deux frangins : c’est quand même grâce à lui que pôpa n’est plus en enfer ! 😀
A part ça, je n’émettrai qu’un commentaire profond : han la la, comment que c’était trop bien !
Ouais, hein ? 🙂 Et c’est rieeeeeen à côté de la suiiiiiite !
Oh puis j’ai fondu devant le sourire de Dean à la fin ! Il pleure certes très bien, mais c’est fatigant pour le c? »ur à la longue, alors un joli sourire comme ça de temps en temps, ça fait du bien. Maintenant qu’il a retrouvé l’appétit, vivement qu’il re-drague quelque accorte serveuse de passage et nous sorte le festival n? »n? »uils-fossettes !
Oh ben en plus, avec l’épée de Damoclès qu’il a au dessus de la tête, il va se gêner, tiens ! LOL
12. La Sorcière :: mardi 16 juin 2009 à 09:38
Ouais, hein ? Et c’est rieeeeeen à côté de la suiiiiiite !
…
*part se pendre quelque part*
Deeeeeaaaaaan, pourquooooooi ? :'(
Malgré l’heure qui commence à être légèrement indécente, impossible d’aller me coucher là dessus. Saison 3, j’arrive !
Les saisons deux et trois… mes préférées, en fait, je crois. Je garde un souvenir impérissable de ce final de saison 2… c’était magistral. Je crois que je compare inconsciemment toutes les fins de saison à celui-ci.
Accroche-toi pour la suite ! Et enjoy bien. 😉