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410 : Midnight

Oh wow.

Ca partait pourtant mal. En général, je ne suis pas fan de cette époque de la saison. C’est vrai, le pauvre loner, entre le deuxième arc de deux et l’épisode « Doctor-Lite », et aujourd’hui en plus une Donna inexistante (sans doute trop occupée à tourner l’épisode suivant). Pas facile.
Et pourtant, cette enflure de RTD nous a encore écrit un machin pas possible.
Je vous le dis, cet épisode avait tout pour être à chier. D’autant qu’une intrigue à huis-clos, c’est très très périlleux, comme choix.

Là, le goret nous monte petit à petit un malaise monstrueux qui nous laisse tout morveux à la fin, presque coupables.
Tout commençait si bien. Par une adorable querelle téléphonique entre Mr and Mrs Doctor.

Donna : I said no.
The Doctor : Saphire waterfall. It’s a saphire waterfall made of saphires. There’s an enormous jewel the size of a glacier. Reaches the cliffs of Oblivion and then shatters into sapphires at the edge and falls a hundred thousand feet to a crystal ravine.
Donna : I bet you say that to all the girls.
The Doctor : Oh come on, they’re boarding now. It’s no fun if I see it in on my own.

Il n’y a pas de mais. Mrs Doctor a décidé de zapper l’excursion et de se faire papouiller la couenne au spa. Gnan. Il a qu’à y aller tout seul à ses chutes pourries.

(Cela dit, on la comprend. Raaaah, veuuuuux ! Et double ananas dans le cocktail, merci !)

Donna : And you be careful. All right ?

Comme c’est trop meugnon, tout de même. Ah, ma Donna. Elle me manquera. Oui, je dis ça parce qu’on sait tous que la Tate ne reste qu’une saison, pas par le pouvoir du crâne ancestral qui me souffle les spoilers. Gnapas spoilers fin saison 4. Enfin si, quelques uns épars, mais pas concernant Donna. Ni Rose. Ou presque pas. Bref.

Notre Docteur s’en va donc en célibataire prendre l’autocar du futur pour visiter la belle planète Midnight/Email Diamant. Super commode. Faut pas sortir sinon tu te fais azimuter les gencives. Ptain, ça donne envie. Malheureusement, il se trouve que c’est très beau. Et décidément, cette saison ils ont fait un travail remarquable sur les décors en CGI. Franchement, entre la planète des Oods, la Bibliothèque et ça, chapeau, les gars.

Par contre, non, le Docteur ne s’en va pas à la recherche du Magicien d’Oz (ben quoi, un peu de peinture verte et on aurait pu y croire, non ?), il fait son touriste de base. Et je vais vous dire, moi, voir le Docteur emprunter les transports en commun comme n’importe quel rampant, le nez frisant d’anticipation, ça m’a fait glousser pendant quelques longues minutes.

J’avoue que le coup des trois divertissements diffusés en même temps m’a fait honteusement penser à mes deux ordis et à ma télé, parfois tous allumés en même temps, et quel soulagement lorsque Ten nous coupe tout ça histoire de faire connaissance avec les autres passagers.

Que des braves gens. Un gentil couple un peu beauf sur les bords et leur fils emo-ado. Une lesbienne célib’ (RTD et sa manière ô combien subtile de nous rappeler que tout le monde n’est pas hétéro), un professeur et son assistante… Bref, tous transparents, bien sympas, pas des flèches, mais on fait avec.

On notera aussi que Rose cherche toujours à contacter cette TANCHE de Docteur mais qu’il a décidé d’être aux abonnés absents chaque fois qu’elle veut faire coucou.

Ce qui se passe ensuite ? La simplicité même. La cabine se retrouve paumée entre son point de départ et son point d’arrivée, sans pilotes, et nos passagers sont bloqués, puis traqués par une entité qui envahit d’abord la lesbienne.

(Qu’elle est flippante, cte conne. Sérieux, je n’ai jamais aimé la tronche de cette actrice, mais là, elle est vraiment terrifiante, avec ses horribles yeux violet.)

Je ne vais pas revenir sur l’extraordinaire synchronisation des dialogues. Je ne sais pas comment ils ont fait mais c’est prodigieux. Les intonations, les accents, tout est d’une précision redoutable.

Et qui aurait pu croire que quelqu’un qui répète la moindre de vos paroles puisse faire aussi peur.

Mais voilà, lorsqu’on est coincé dans un lieu clos, avec quelque chose qui cogne contre la carrosserie, sans moyen de joindre l’extérieur ni de sortir, le moindre pet de travers prend des proportions titanesques. Et c’est ainsi que quelques personnes pourtant si agréables quelques minutes plus tôt peuvent se transformer en une véritable meute en colère.
Mue par la peur, celle-ci n’a de cesse de trouver un responsable, un coupable, à exécuter le plus vite possible. D’abord la blonde Sky Silvestry. (Les noms, dans cte série, c’est du délire.)
Blonde que notre Docteur va bien entendu défendre bec et ongles. Au point de s’attirer la méfiance générale.

Au point que cette fois, c’est lui qu’on veut flanquer par l’airlock. A se demander si Laura Roslin n’est pas dans le coup.
Pauvre Docteur. Si impuissant lorsqu’il se fait à son tour envahir, répétant comme un idiot tout ce qui se dit pendant que l’affreuse qu’on devine toujours aussi maléfique joue les innocentes délivrées.

Est-ce qu’on n’a pas un tout petit peu honte d’être humains lorsqu’on voit ces abrutis, tellement apeurés qu’ils n’ont plus un neurone en état de marche, se déchirer entre eux pour savoir ce qu’il faut faire, et enfin traîner notre pauvre rat musqué pour le flanquer par-dessus bord ?

Heureusement, une étincelle de bon sens parvient à faire percuter l’assistante et l’hôtesse. Cette dernière se sacrifie pour tuer le démon.

Et notre Ten est sauvé.

Mais pauvre choupi… qu’est-ce qu’il a morflé. Nul doute que son amour-propre en a pris un bon coup, mais plus que tout, c’est certainement cette fenêtre brièvement ouverte sur ce que l’âme humaine peut comporter de plus sombre qui l’a blessé.

Le fait que ces petits singes qu’il affectionne tant puissent, en quelques minutes, se transformer en véritables bêtes sauvages… Lui qui a une telle foi en nous. Ca fait vraiment mal au coeur.

(Et par Zeus, qu’est-ce que David Tennant est bon, dans ces scènes-là. Autant il peut me gonfler quand il fait celui qui a mis les doigts dans la prise de courant, autant là… )

Et est-ce qu’on n’est pas soulagés de le voir retrouver sa Donna ? Qui comprend tout de suite que ça ne va pas fort, d’ailleurs.

Pauvre Docteur. Sérieux, j’en ai honte.

Quoiqu’il en soit, on se fout totalement de savoir qu’est-ce qui a attaqué l’autocar. C’est ça, le plus dingue.
On est bien trop occupés à être catastrophés, pétrifiés de consternation, et à se dire que c’est trop vrai, ce qui se passe, là-dedans, que limite, ça pourrait être nous.
Et bien sûr, le fait que les passagers focalisent sur le vrai nom du Docteur, ça fait tiquer, une fois de plus, de même que l’allusion à Medusa Cascade. Je ne sais pas ce qu’on essaye de nous teaser, mais on peut croire que ce nom va jouer un rôle important à la fin de cette saison.
Probablement tout aussi important que…

Que j’ai hâte d’être à la semaine prochaine…

Posted by on Juin 15, 2008 in Doctor Who Episodes | 32 comments

32 Comments

  1. « Allons-y ! »

    « Molta Bene ! »

    « Perhaps you could tell us your name.
    Your real name ! »

    On n’aura peut-être pas le révélation phonétique de ce nom dans les épisodes suivants, mais ce qui est maintenant certain à 150%, c’est qu’il aura une importance prominente dans ceux-ci.
    (ou pas. ahem.)

    Je n’ai pas bien appréhendé le trailer de Turn Left, mal monté, un poil trop mou, et surtout un travail de chef-op’ bâclé, du moins j’espère que l’épisode final sera mieux travaillé. Oui, je sais, je peux rêver.

    Mais la véritable question que pose cette épisode, c’est celle-ci : L’acteur qui joue le Professeur, David Toughton, étant le fils du Second Docteur, Tennant réitèrera-t-il ce qu’il a fait avec Georgia Moffet, en sortant avec ?

  2. Ca démarre lentement avec humour et quelques petits passages sympas et d’un coup on plonge dans l’angoisse. On ne sait pas ce qui se passe et en plus on ne saura jamais ce qui les a attaqué. J’ai vraiment pas vu le temps passer, j’ai cru que l’épisode avait duré 20 minutes quand on est arrivé à la fin !

    C’est quand même un épisode affreux pour Ten. Tout le monde se retourne contre lui, il est impuissant et fini par être la victime de cette chose. Le voir complétement tétanisé, les yeux grand ouverts (et humides, il pleure presque tellement il est dépassé) à répéter les paroles de Sky, c’était horrible, on sentait une vraie tension. Tennant est quand même fabuleux. Mais là, le pire c’est l’attitude des passagers qui sont prêt à jeter Ten sans ménagement. Inimaginable.

    La fin n’est ni optimiste, ni pessimiste, on voit Ten vraiment marqué par cette histoire quand il ne veut pas que Donna répète ses paroles.

    C’est quand même un épisode vraiment particulier, d’ailleurs la saison 4 est vraiment différente des autres pour moi.

  3. Brillant. Terrible, mais oh combien brillant.
    Je me sens presque sale de le trouver supérieur à Blink… Mais les deux jouent sur des tableaux différents, je pense que je vais plutôt les mettre ex-æquo, côte à côte. 🙂

  4. Pour moi c’est quand même difficilement comparable à Blink. Dans l’esprit, c’est plutôt du Gridlock mais sans l’action…

  5. Mêmes à priori, j’attendais un épisode cheap, un filler classique qui détend l’atmosphère avant la fin de saison.

    Par Crom, que c’était bon, et que nous avions tort !
    Comme quoi le show, dans toute son avalanche de FX démesurés, fonctionne on ne peut mieux dans un cadre limité, sans artifices (enfin, un peu quand même, merci les munchkins de The Mill pour les CGI), en se consacrant uniquement à ses personages.
    Episode mature, intelligent dans sa manière de retourner tous les presupposés qui, entre la méfiance que le Doc’ peut susciter, les accusations d’"immigrant" (alors que la perfide Albion étudie en ce moment même quelques nouvelles lois qui peuvent être étendues abusivement en ce sens, c’est troublant), son intelligence désinvolte qui passe pour de l’arrogance…
    "Fantastic", comme dirait l’autre.

    Enormes félicitations concernant le travail du son.
    ça m’a purement estomaqué, le travail, ici, est titanesque.
    Le travail habituel des ingé son, des foley est une chose, mais de telles synchronisations, c’est autre chose, bonjour le travail en doublage,, autant que l’enfer qu’à dû être le tournage à ce niveau.
    C’est déjà coton en temps normal, mais là, j’étais bouche bée une bonne partie de l’épisode, tellement j’imaginais le travail accompli au fur et à mesure.

    Comme quoi, les passagers n’étaient pas les seuls qui s’attendaient à un voyage classique, pour faire face à un retournement de situation renversant.

    "Par contre, non, le Docteur ne s’en va pas à la recherche du Magicien d’Oz (ben quoi, un peu de peinture verte et on aurait pu y croire, non ?)"
    Va falloir t’y faire, Dorothy, on n’est plus au Kansas désormais !

    Ne reste plus maintenant qu’à suivre la route de briques jaunes, celle qui mène à la Terre et que la Galactica est sensé nous montrer…

  6. Qu’il est bon cet épisode!!! 🙂

    Cette monté progressive de cette tension de cette peur quasi viscérale que je pense nous avons tous face à un mouvement de foule… qui par définition presque incontrôlable.

    Le dispositif mit en place dans l’épisode est simple (en apparence car je ne parle pas technique ici) mais permet un éclairage peu flatteur sur les parties les plus sombres de notre propre humanité. Impressionnant !!

    (Bon je paraphrase des chose déjà dites… je m’en va dormir.)

  7. David, c’était quoi déjà, les décimales de Pi ? 😀 (Quelle belle torture, RTD :))

  8. Comme beaucoup, j’ai eu l’impression que cet épisode était ultra court *shock*.

    Et dieu sait que j’ai attendu hier soir pour le regarder, me disant qu’il n’en vaudrait pas le coup.
    Puis finalement, un épisode sans le compagnon n’est pas SI désagréable que ça.
    Comme si on voulait nous habituer à ça qui sait ?

    Et cette obsession sur le nom gruuuuuuuuh. Plus les images pour la semaine prochaine….

    Rosie ! Quel plaisir de la voir derrière hurler "DOOOOOCTOOOOOOOOOOOR" 🙂
    Surtout quand je me suis tapée sa série sur la call-girl, qui n’est pas si mal que ça.

  9. Honnêtement, je ne crois pas qu’on veuille nous habituer à quoi que ce soit. C’est surtout qu’exceptionnellement l’accompagnatrice joue un rôle central dans l’épisode « Doctor-Lite » et qu’il faut bien trouver du temps de tournage sur son emploi du temps à elle… simple effet de balance puisque l’épisode « Doctor-Lite » est souvent tourné en même temps que les autres.

  10. Moui. Moui moui moui.
    Pourtant, les indices qu’on a pousse à nous dire que non?

  11. Tout seul, le Docteur a quand même peu d’intérêt, non ? Evidemment, la question est de savoir s’il va se trouver une accompagnatrice pour les épisodes spéciaux de l’an prochain, ou s’il faudra attendre 2010 pour le voir de nouveau accompagné pendant une saison ou plus… A mon avis, ça doit se gratter drôlement la tête, du côté de la Beeb.

  12. Cet episode m’a tout simplement fascinée. Je l’ai trouvé magnifique. La douleur du docteur m’a envahie, c’etait superbe.
    C’est fou ce qu’on peut faire avec un concept si simple. Une leçon que beaucoup de gens devrait recevoir dans ce monde de la surenchere où il faut toujours plus gros, plus grand. Ici, c’est petit mais puissant. Quelle bel episode.
    Finalement, j’ai beau adorer Donna, j’etais contente qu’elle ne soit pas dans l’episode pour qu’on puisse explorer cela.

  13. On est vraiment sûrs que Donna ne revient pas ?? C’est dommage, je l’adorais! Pourvu qu’ils nous refoutent pas Martha!!

    Très bon épisode sinon, qui explore la paranoïa et la nature violente des humains les plus banals…

  14. Non, non, la Tate a bien précisé qu’une saison, ça suffisait, qu’elle avait d’autres projets, et même qu’elle avait annoncé en même temps que David se cassait, ce qu’il avait nié en disant que la série ne s’arrêtait pas avec son départ à elle. 😀

  15. Dites, c’est moi mais juste avant le moment où ils se décident de jeter le Doctor (à 0:30:20), la musique ne ressemble t’elle pas un peu a une musique de LOST ?

  16. Déjà que ***on n’a pas fini d’en baver cette saison…

  17. Hein ??? Spoiler ????

  18. Arf, ben pour moi c’était un épisode assez moyen, le truc qui s’oublie vite (pas complètement mauvais mais pas terrible non plus). L’histoire en elle même est pas mal et le huit-clos plutôt bien rythmé mais le thème de la paranoïa a tellement été utilisé dans d’autre shows et films que je me suis quand même un peu ennuyé face à certaines redondances dans les comportements et réactions. Pas beaucoup de surprises et un peu trop de déjà-vu. (en même temps je me suis maté " Mist" il y a pas longtemps, alors forcément je suis pas très objective).

    Deux trucs positifs : le son plutôt bien géré en effet et l’idée du Doctor sans compagnon… et sans défense.

    Commentaire intéressant que j’ai lu sur un LJ (celui d’Alohomora pour ceux qui connaisse) et qui m’a fait tiquer parce que c’est très très juste et peut servir de bon résumé au zode:

    " L’humanité qui s’unit et se retrouve dans le pire et prend tout ce qui fait le Docteur, tout ce qui fait son unicité et son identité, et le retourne contre lui, s’en sert comme une arme : sa curiosité, son nom ineffable, son intelligence, son besoin de protéger la vie ?EUR » toute forme de vie…"

  19. C’est ce que j’ai lu sur la Wikipédia anglaise. Je prie les Lords of Kobol pour que ce ne soit pas le cas…

  20. Des envies de génocider les humains pour leur connerie infinie, des envies de ramper en se fouettant devant David tailmenkiljoubien, une Donna peu présente mais pourtant totalement efficace à chacune de ses apparitions…
    Il dépasse peut-être pas Blink mais en tous cas c’est un épisode génial.
    Vivement la suite ! Par contre s’ils nous remettent Rose en accompagnatrice pour une saison je les bute. Même si la saison en question ne fait que quelques films. Mais je pense pas que ça arrive…

  21. Merci pas du tout pour les spoilers madame grey.

    Ca m’agace là.

  22. Tout le monde parle du retour de Rose depuis des semaines, comme quoi ça arriverait maintenant. Je pensais que tout le monde était donc également au courant ***… Désolée.

  23. Nope, moi non plus. J’édite.

  24. « Même si je cours très très vite ??? »
    ahahah oui, il semblerait 😀

    Alors, dites-moi tout, c’est quand, le prochain épisode ?

    C’est marrant, moi aussi j’ai entendu la musique (enfin, pas la musique, plutôt un jingle d’une note) de LOST dans cet épisode ^^

  25. C’est samedi ! Samedi en fin de soirée pour nous. 😉

  26. Et bien j’ai revu cet épisode et c’est toujours un véritable plaisir… j’aime voir le Docteur souffrir, réaliser que les humains sont souvent de sales c*** dès qu’on érafle le brillant qui les recouvrent… ils sont mêmes pas méchants ils sont juste normaux c’est ça qui est terrifiant autant pour le Docteur que pour nous, spectateurs, vu que ça nous renvoit bien dans la face ce qu’on est capable de faire (la réaction des touristes me semblant parfaitement transposable dans une situations moins "Outerspace"). C’est limite malsain mais voir Ten véritablement incapable de réagir, lui la grande crevette bondissante toujours à courir dans tous les sens en parlant super vite, j’adore ça…
    Sans compter les décors, la tension qui monte peu à peu, la musique… bref du grand Doctor Who.

  27. 4 knocks 😮

  28. Cet épisode était absolument… Terrifiant. Vraiment.
    Il m’a complètement happée du début à la fin, je ne crois pas avoir détourné mon regard de l’écran une seule seconde pendant l’épisode. C’est facilement explicable dans la mesure ou il est la parfaite représentation de ma peur la plus primaire, mais cela reste… absolument terrifiant.
    Dans une certaine mesure, il m’a rappelé The empty child, qui m’avait pas mal chamboulée aussi dans le même genre.
    Donc voilà, autant Blink m’a valu très récemment quelques sursauts pour le moins agréables, autant Midnight serait exactement le genre d’épisode à me donner des cauchemars.
    Cette série me tue chaque jour un peu plus…

  29. Mince, pas de caps de Merlin… 🙂

  30. Je vais finir ma saison 4 beaucoup trop vite malheureusement. Dire que j’ai pris plein d’episode pour le "okaou"…

    Enfin juste pour dire : j’ai vu Merlin dans Doctor Who !!! *fiere*

  31. Hi hi, j’y ai pensé en voyant ton commentaire. 😉

  32. Ce qui est intéressant dans cet épisode, et que personne ne semble avoir relevé, c’est que le Docteur se retrouve sans sa seule arme, la plus puissante qu’il ait (et non ce n’est pas le screwdriva !) : la parole.

    Pour ce personnage se faire voler sa propre parole c’est le comble quoi, le pire qu’il puisse lui arriver… Et ça le laisse sans aucun moyen de réagir, comme un pantin…

    Terrifiant.

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