409 : Forest of the dead
Ah ouais, tout faux, quoi.
Ahum ! 
Non mais c’est pas que j’ai pas aimé, hein ! D’ailleurs, je suis sûre que c’est le genre d’épisode qui mérite d’être revu à froid, avec son grand frère, et tout. J’ai juste été… étonnée. Et comme je m’apprêtais à devoir détester River Song, j’ai eu beaucoup de mal à m’attacher à elle. Et à adhérer au concept de la Madame Docteur.
Pourtant, comment nous présenter l’heureuse élue autrement que de cette manière ? C’est plutôt génial et super gonflé de nous la parachuter comme ça, limite envoyant les paluches au fessier inexistant de Ten. Non sérieux, c’est brillant.
En revanche, je ne suis pas archi-persuadée que ce soit le moment idéal pour le faire.
Aussi enthousiasmant que ce soit de découvrir qu’elle connaît le Docteur mieux que personne, au point de s’excuser de devoir prononcer son vrai nom à voix basse, j’ai toujours des réserves. C’est qu’il a une vie un peu compliquée, en ce moment, le Docteur.
Je me dis tout de même que c’est peut-être justement le moment idéal de faire passer le message : oui, il s’en remettra, de ce qu’il traverse maintenant, oui, il aimera à nouveau, et oui, cela se finira encore de manière dramatique, du moins pour lui. Parce que c’est comme ça.
(Grand, grand moment, quand même.)
Il ne fait aucun doute que cet épisode s’inscrira malgré tout parmi le top trois de la série. Plus tard pour moi, peut-être. Une fois que le cas de Rose sera réglé, ainsi que celui de Donna, car en ce moment, mes pensées sont bien trop occupées par ces deux nanas que j’adore. Et bon… clairement, c’était pas le week-end idéal, pour moi. Je l’ai passé avec un petit nuage noir au dessus de la tête, comme dans les BD.
Et s’il m’en souvient bien, même l’épisode de la Pompadour m’avait eue par retour de boomerang, à retardement. Oui, je suis longue à la détente, je sais.
Niveau « timey-whimey », c’est évidemment la perfection. Mais qu’attendre d’autre de la part de Steven Moffat ?
Toute la relation River/Doctor est superbement gérée. Elle se sacrifie pour lui, devant ses yeux.
Sachant cela, un jour, il lui offrira son tournevis amélioré (et des larmes !).
Et c’est cela qui lui permettra de récupérer l’empreinte de River et de l’envoyer auprès de Charlotte Luxe, petite fille mourante qui vivra à jamais dans le disque dur de la Bibliothèque, aux côtés des deux Dave, de Miss Evangelista, tous ceux qui sont morts ici. Mais sans mourir vraiment car le « Moff' » n’aime pas tuer.
La chanson du Docteur s’arrête. Pour lui du moins. Car de l’autre côté du miroir, River vivra heureuse… et sans se souvenir de quoique ce soit.
C’est à la fois beau et triste, simple et compliqué. C’est du Moffat, quoi.
Pauvre Docteur, qui lui va vivre pendant tout ce temps en sachant qu’il aimera River, et en sachant aussi comment elle mourra. Et quand.
Elle qui a tellement voulu lui épargner les spoilers n’aura pas pu l’empêcher d’apprendre le plus important de tous.
Foutue malédiction du Time Lord. Non seulement elle lui enlève tout ce qu’il aime, mais elle se met maintenant à lui enlever tout ce qu’il aimera.
River : When you run with the Doctor, it feels like it’ll never end. But however hard you try you can’t run forever. Everybody knows that everybody dies and nobody knows it like the Doctor. But I do think that all the skies of all the worlds might just turn dark if he ever for one moment, accepts it.
Bon, ce qu’il y a de casse-couille là-dedans, et de relativement nouveau dans le mode opératoire de Steven Moffat, c’est qu’on n’a pas toutes les réponses. Qui est vraiment River ? Finalement, on ne le sait pas. On ne fait que le deviner. Ce qui peut très bien vouloir dire qu’on a tout faux.
A quelle occasion Ten aurait-il pu lui révéler son illustre nom ? Devant l’autel ? (« Moi, Jean-Pierre Bourret, je te prends, River, pour épouse. »)
Sous la couette ? (« Chérie, avant que nous ne consommions, j’ai un truc terrible à t’apprendre : je m’appelle Rodrigo.)
Qu’est-ce qu’il a donc de si terrible, ce nom, qu’il ne faille le prononcer ?
ET PUTAIN MAIS JE VEUX LE CONNA??TRE, MOI, CE NOM !!!
(Et c’est là qu’ils ont intérêt à ne pas se planter de nom, les Power That Be, parce qu’un nom, ça peut être très ridicule, surtout quand ça vient d’une autre planète.)
Connaîtrons-nous le nom du Docteur avant la fin de la saison ? Le connaîtrons-nous un jour ? Et assisterons-nous à la première rencontre entre River et Ten (enfin, première pour elle) ? Tellement de questions que c’en est tout à fait révoltant. 
(Mais pour ceux qui doutent du fait que la série peut vivre pendant encore vingt ans, té, méditez un peu là-dessus, sur tout ce qui nous reste encore à apprendre de lui.)
A part ça, pareil, les Vashta Nerada, la perfection. En fait, c’est même pas des méchants, les pauvres. C’est juste qu’on leur a piqué leur forêt où ils habitaient pour en faire des… livres. Pas étonnant qu’ils soient en pétard.
In the meantime, ça fait quand même un petit peu peur.
Iiiiik ! 
Et Donna… oh, pauvre Donna.
Ca me rend malade. Elle était tellement heureuse, au milieu de ses chimères.
Je n’en reviens pas qu’elle rate de si près celui qui aurait pu être l’homme de sa vie… à cause d’un simple bégaiement. C’est trop triste, trop frustrant. Alors qu’il la cherchait, lui aussi. 
Mais non, Donna Noble repart donc avec son Docteur, et rien d’autre. Sauf que lui s’en va avec la promesse de vivre un jour quelque chose de très fort. Ainsi qu’un nouveau petit truc.
Et elle, rien. Pffff. C’te déprime, quoi.
Pourtant, c’est tellement riche, tellement profond, à maints égards bien plus que tous les épisodes écrits précédemment par Moffat (ce qui est très très prometteur pour l’avenir, entre nous)… Je me demande jusqu’à quel point on ne vient pas d’assister à un grand tournant de la série. La question peut se poser. Ou pas. Ce qui est génial (et hyper énervant), c’est que ça peut être un « one-shot » comme ça peut être complètement déterminant pour le futur de la série. C’est à eux de choisir, en fait. C’est redoutablement futé car du coup, ça met un bon coup de jus à l’univers Who.
Non, franchement, c’est brillant. Que ce soit dans l’écriture ou dans ce que cet épisode peut impliquer.
A vous passer l’envie d’un jour vous mettre à écrire des scénarios.
Je ne trouve ça pas si mal, qu’on nous laisse jouer avec notre imagination aussi. Moi je ne veux pas revoir River Song de sitôt. Oui, je l’ai trouvée formidable, mais vu son sort, on en a fait le tour, à l’écran du moins. C’est là qu’intervient notre imagination, élargir la légende du Doc avec des aventures qui se déroulent hors-champs. C’est le meilleur cadeau que Moffat puisse nous faire.
Le nom, pareil. Il semble dorénavant qu’il sera retouché avant la fin de la saison, mais je doute que nous, les spectateurs, le lirons ou l’entendrons. Ce sera plus un murmure indistinct, ou autre procédé qui puisse informer le personnage (Donna ? Rose ?), sans que nous sachions de quoi il s’agit. Enfin, c’est ce que je suppose suite au podcast qui m’a bien rassuré sur ce point.
Bref, la richesse de ce zode est aussi dans ce niveau supplémentaire d’interactivité entre le spectateur et la série. La mise en abîme ultime ! 😀
(Moi je pense à Maurice…)
Abyme… 😉
Arf, j’ai la tête dans les nuages !!
Son vrai non c’est Robert !
mais c’est elisabeth Corday ???? (C’est vrai qu’elle est british)
Attention, lolaaa débarque 😉
Joli résumé… Vivement qu’ils rediffusent et diffusent à la TV (oui, oui, moi je suis une ringarde, je regarde les série à la TV…)!!! Toutes ces reviews des épisodes me mettent l’eau à la bocca…
bah, moi j’étais très frustrée qu’on ne sache pas qui était River!! Entre BSG qu’il va falloir attendre 6 mois la suite et Dr Who qu’il va falloir attendre une période indéterminée, ça me soûle!! trop de frustration c’est mauvais pour la santé!!
"Pas le moment"
Oui, et non. A mes yeux, cette saison est pour moi la saison des femmes (5 compagnes, qui dit mieux !), Moffat préparant les bases de son prochain règne.
Après, je n’ai pas été non plus ravi par une partie des développements : beaucoup de redite, et de gimmicks Moffat-esques qui reviennent trop souvent.
Jouer sur la temporalité, ok. Le 51ème siècle, ok. Mais Moffat doit vraiment peaufiner ses persos féminins, d’ici la saison 5.
Le sacrifice de River, nottament, faisait écho à celui du petit génie, 3 épisodes auparavant.
La sauvegarde des âmes par CAL, identique au principe des masques de Empty Child/Doctor Dance, qui ont également en commun, donc, leur "happy end".
Par ailleurs, même si j’adore le principe, le gimmick des ghost "who turned off the lights" se confronte à l’innénérable "Are you my mommy?".
Ce qui m’a le plus gêné, c’est la disparition subite des Vashta Nerada, au final peu nécessaires au récit. Dommage, il ne suffisait de pas grand chose. Cela dit, j’adore le principe initial qu’ils soient présents partout, même sur Terre.
Dépression, pour finir, concernant Donna, nottament le dialogue de fin concernant son ame-soeur qu’elle pense "inventé" et surtout le fait qu’elle l’ait fait bègue/muet ("Qu’est-ce que ça dit ?" "Tout").
Et puis, pour la petite histoire, heureux, au final qu’on n’ait pas eu de Rani (Ahum)…
(Mon "pas le moment était en fait une réponse directe au "En revanche, je ne suis pas archi-persuadée que ce soit le moment idéal pour le faire." Même pas foutu de quoter correctement, tout se perd…)
Saison des femmes, certes, mais ça n’empêche pas de trouver que ça fait beaucoup… de femmes. Entre les amoureuses, les futures Mmes, les bonnes copines et les pots de colle… bon.
Il faut VRAIMENT que tu regardes Sarah Jane.
Sinon je hais River Song. Je la déteste. Elle connait son nom et pas nous ! grrrrrrrrrrrr
Baba Yaga>…Et les filles (qu’on peut assimiler aux pots de colle)…!
Tant qu’on ne nous ressort pas Sarah Jane et son rouge à lèvres sonique du placard, ça me va.
Sarah Jane ayant sa place en spin-off; mais que je ne vois pas/plus fonctionner dans la série-mère.
Mais franchement, s’attendre à autre chose qu’un enchainement de rencontres éphémères de la part de quelqu’un qui porte des trenchcoat douteux, qui profère à qui veut bien l’entendre que c’est "bigger on the inside" et qui "Joue au Docteur" en tripotant son engin sonique à longueur de journée, hein…
Non mais quand je dis qu’elle DOIT voir Sarah Jane, c’est plus par rapport à sa remarque sur l’univers de Who. Parce que finalement, les trois séries se complètent vraiment à ce niveau là, et il y a des bribes sur le Doctor et des indices (ça c’est moi qui le dit) dans les deux spin off.
??a se trouve, on nous parlera de cette *bip* de River dans un des spin offs ?
Je trouve aussi le commentaire sur l’univers "féminin" autour du Doctor particulièrement intéressante. Cela est il du à Ten ? Peut on imaginer qu’ils auraient suivi cette voie avec Chris ? J’ai l’impression que la personnalité de Ten joue énormément pour cette orientation là. Après tout, ce saligaud les attire toute !
Par contre, ça ne présage rien de bien bon pour n’importe laquelle de ses futures compagnes. Quel dommage que Jack (oh mon Jack) n’ait pas pu être un compagnon plus longtemps ! Ca aurai un peu changer la donne à ce niveau là. Et puis nous autres pauvre femelles aurions pu baver à loisir sur ces deux specimen. *bave*
Pour Christopher, moi, il m’avait fait très peur avec sa Lynda with a Y et miss Jabe. Blanc bonnet et bonnet blanc. C’est juste qu’au début de la série réinventée, il y avait d’autres choses à placer…
Pitêtre mais je doute qu’on puisse avoir eu un bourreau des c? »urs avec lui !
Quoique. En y réfléchissant bien.
Et dire que j’en ai voulu à Ten d’être Ten. Rhalalalalalalala.
J’espère, quand même, qu’ils ne vont pas non plus continuer QUE dans cette voie là.
Moi non plus car je ne crois pas que ce soit vraiment ça, le Docteur…
Marie > La référence à SJ était sur la concentration d’oestrogène et à une "réunion" dans le final ou un futur épisode, pas rapport à ta recommandation, ne t’inquiète pas.
Jack en compagnon, on en a déjà pas mal, il revient assez régulièrement en fin de saison, et avec les avancées de la s2 de Torchwood, son histoire est suffisamment explicitée et équilibrée, et sa présence dans le récit dépasse sa présence à l’écran (Face of Boe !), compensant ses apparitions occasionnelles.
Parce que c’est bien gentil de penser à vous autres femelles, mais il en faut pour nous, mâles !
Même si l’écriture des personnages féminins pose toujours un relatif problème à RTD et à certains scribes (cf Martha)…
Perso, je ne voudrais pas plus de Jack dans Doctor Who… son retour dans la saison dernière ne m’avait pas enthousiasmée outre mesure, et sans la big révélation et l’alchimie plutôt bonne avec Martha, ben… on n’aurait pas trop vu l’intérêt, quoi…
Non mais je veux dire imaginons un autre bô gosse comme compagnon plutôt qu’une femelle éplorée pour lui. Ca lui ferait du bien à notre bon vieux Doc !
En fait, je crois qu’il n’est pas très fan de la manière de fonctionner d’un cerveau reptilien… et je le comprends.
J’ai eu à peu près la même réaction à chaud. Il a vraiment fallu que je le revois pour digérer tout ce qui venait de se passer.
Pour le nom, j’ai rejeté un oeil au Confidential, et Moffat précise clairement qu’on ne saura jamais le vrai nom du Docteur sous peine de gâcher le mythe de la série…Un peu soulagée en fait !
Sinon oui les ombres n’étaient pas le plot principal en fin de compte….
En parlant de ça, j’en ai rêvé cette nuit de notre bon Docteur, et justement il révélait ENFIN son véritable nom, et c’était très décevant. Je préfère vraiment qu’on ne le sache pas. On sait un peu à quoi s’attendre, on avait essayé le bidule sur internet là, qui convertit votre blase en nom de Time Lord, et ce sont des noms ultra alambiqués et très longs.
J’ai quand même été surpris que River Song soit capable de dire le petit nom du Docteur parce que j’avais lu (je ne sais plus où) que les noms des Time Lords étaient si complexes que les humains ne pouvaient pas les prononcer, physiquement ça leur serait impossible.
Je suis quand même désolé pour toi Sorci, vraiment désolé que t’ai pas pu profiter pleinement de cet épisode. Pour moi, c’est un épisode fondamental qui aura forcément des répercussions. Rien que le coup du claquement de doigts, c’était ultime, la preuve physique qu’un tournant s’est produit (et après un tour pareil, pour ma part impossible de ne plus considérer cet homme autrement que comme un dieu, un vrai dieu).
Je suis un peu surpris par ta réaction, mais pas tant que ça je l’avoue, je connais ton attachement à Rose. C’est vrai, c’est la saison de son retour, et c’était peut être mal venu de nous coller une nouvelle accompagnatrice maintenant (même si je doute encore un peu qu’elle soit sa future femme). Mais pourtant tu as toi même tilté sur cette réplique très forte, "everybody dies". Et même si je suis persuadé qu’une fois réunis le Docteur et Rose vont vivre quelque chose de très fort (si on leur en laisse l’occasion bien sûr), quoi qu’il se passe et à moins que le Doc ne fasse d’elle une Time Lady, il lui survivra toujours. C’est obligé. Et quand River a connu Tenth, il était très vieux, et pour quelqu’un qui a déjà 900 balais, pour accuser physiquement les effets du temps il doit falloir des décennies et des décennies.
Donc life goes on quoi, il faudra bien qu’il retrouve le sourire après Rose. Et c’est un réconfort de se dire que tout ne finira pas avec Rose, que le Docteur est éternel et aussi difficile que ce soit il doit apprendre à gérer ses sentiments pour ses compagnes. Curse of the Time Lord, tout ça… Ca ne te fait pas plaisir de savoir que (si River est effectivement sa femme) il sera un jour capable d’aimer passionnément et de faire confiance à une humaine au point de s’engager dans une relation à long terme ? Quelle révolution par rapport au Ninth résolument solitaire qu’on a connu, qui refusait toute attache. Et ça, on le doit à Rose. Si elle ne le rendra pas heureux personnellement, au moins elle lui aura permis de l’être par la suite.
C’est ma manière de positiver on dira 😉
Sinon, excellent double épisode, très intense, j’avais le coeur qui battait à cent à l’heure, une histoire complexe par ses multiples niveaux, le meilleur "matrix-like" scénar depuis longtemps (avec la réalité virtuelle), et très très fin dans le timey-wimey (Moffat quoi…). Brilliant, tout simplement. Et quelle interprétation de la Tate, son aventure était vraiment trop triste, j’étais démoralisé à la fin.
Moi là je dirais que dieu il est juste bon à nettoyer les chiottes du Tardis …
C’était magnifique. Sublime. Etc paske yen aura jamais assez. C’est tellement superbement écrit et joué que ça aurait limite pu servir de season finale moi je dis.
Et évidement, River=pas Rose.
Personnellement, je pense qu’il ne peut révéler son vrai nom qu’à sa mort.
Et je pense également que c’est pour ça qu’il veut toujours être accompagné, pour être certain qu’il y aura quelqu’un qui pourra préserver sa mémoire, mais aussi surtout, surtout, pour que le dernier des Time Lords ne meure pas seul, et que leur légende soit propagée au fin fond de l’univers jusqu’à la fin des temps.
Yop, j’ai pensé comme Tiwow et peKa sur ce coup-là : que c’était le spoiler de sa mort d’où le "i’m sorry".
Si c’est ça, alors elle lui survit (les boules, niveau timey whimey, c’est suprême).
Il est clair que la révélation de son nom à sa mort aurait un impact dramatique considérable, et expliquerait quelques points passés sous silence.
Cela dit, ça contredirait en même temps l’arrivée de River Song, qui aurait probablement été plus choquée de le voir vivant dans "Silence", en spécifiant qu’il accourait à chaque fois.
River attendait un Docteur plus agé, après leur relation, du moins quand il la connaissait.
Elle n’aurait pas eu ces attentes s’il était mort devant ses propres yeux !
Tiwow> Cela dit, il a toujours été accompagné, même quand il n’était pas le dernier TimeLord…
River n’est d’ailleurs pas la seule à connaître le nom du Docteur depuis la nouvelle série, Madame de Pompadour l’avait appris, si je me souviens bien…
Pour revenir dans les gimmicks Moffat, excepté le everybody lives et autres points déjà énumérés, il manquait un truc pour avoir le label "Moffat intégral" : à la différence de Girl & The Fireplace et de The Doctor Dance, ça manquait de bananes !
J’avais beau me souvenir de la référence aux bananes dans "The Girl…", de la bananeraie établie après la destruction de l’usine à squareness gun, mais absolument plus de l’irruption totalement absurde d’une banane dans les mains de Jack, à la place de son squareness gun dans "The Doctor…".
Dernier point, intéressant, comment Donna rencontre son "âme soeur", à côté d’une… River.
"Cela dit, ça contredirait en même temps l’arrivée de River Song, qui aurait probablement été plus choquée de le voir vivant dans "Silence", en spécifiant qu’il accourait à chaque fois.
River attendait un Docteur plus agé, après leur relation, du moins quand il la connaissait.
Elle n’aurait pas eu ces attentes s’il était mort devant ses propres yeux !"
Correct, Sowey, c’est ce que je me disais aussi. Je pense pour ma part que "son" Docteur n’est pas forcément Ten, mais une régénération suivante. 11, 12, 13, ou plus (peu importe la limite, un jour viendra forcément ou il trouvera de nouvelles régénérations après la fin de son cycle).
J’aime l’idée qu’il soit toujours reconnaissable après ce temps, mais qu’il soit so much more…
Cela dit, cette quiche de Sarah Jane a mis le temps avant de percuter…
Ouais mais il était incognito, non ?
Là il a bien gueulé copieusement pour les accueillir, sa première réaction, c’était de les faire repartir… Et puis c’est aussi le seul hurluberlu dans la Bibliothèque !
Mailky> Le problème reste entier. Le "tell me you know who I am" reste, et pose son lot de sous-entendu.
Halliwell> SJ mets le temps à percuter, alors que Jack, lui, comprenait immédiatement il me semble (à vérifier)…Cela dit Jack doit plutôt reconnaître les gens par sécrétions d’hormones que de visu, ou en leur reniflant le postérieur, à croire qu’au 51ème siècle ils ont tous un "horny-meter" intégré 😉
On est d’accord, le concept de "quiche" lui colle bien. Non, mais le rouge à lèvres sonique, quoi.
Si River est sa femme, elle connaît plus ou moins ses anciennes régénérations, surtout qu’elle fait un report de toutes ses aventures, s’il avait une autre apparence.
D’autre part, elle a l’air de juger à son niveau de vieillesse/faciès quelles aventures il a déjà fait.
Je pencherais plutôt sur Tennant, mais bien, bien plus âgé, que ça soit physiquement ou en termes temporels (200,300 ans plus tard ?). Ce qui poserait un problème prosthétique/budgétaire s’il devait être vieilli la prochaine fois que River sera de la partie, si leur arc durait plusieurs épisodes (mais pas insurmontable s’il s’agit d’un special ou d’un double episode seulement).
Si ça n’était pas Tennant, elle aurait immédiatement tilté qu’il ne la connaissait pas encore (bien que ça ne soit pas un argument bétonné : ça reste à la base, un des nombreux dispositifs d’écriture pour rendre compte de la force du lien qu’ils aient pu avoir).
Bref, on peut continuer longtemps à imaginer/tergiverser sur ce point, on se mordra toujours la queue, avant d’avoir quelque chose de concret…
Et puis peKa, concernant son statut de dieu, pas étonnant que dans la s2 il ait été taxé de "Lonely god"… Et qu’il soit dans l’autel des dieux de la maison de la famille de Caecilius !
Bon dieu, je comprends pas la moitié des commentaires, il me manque une case ou c’est parce que je ne regarde ni Doctor Who Confidentials / Torchwood / les anciennes séries de Doctor Who ?!
Quoi qu’il en soit, encore un épisode que j’ai adoré ! Le nom du Docteur, pour rien au monde je ne voudrais l’apprendre ! On serait forcément déçus ! Enfin sans rire, quel prénom pourrait-être à la hauteur ?!
Oh, bon sang, je vais ENFIN te rattraper, Sorcière !
Même si je cours très très vite ??? 😀
"A vous passer l’envie d’un jour vous mettre à écrire des scénarios."
C’est clair c’était prodigieux! double épisode absolument géniale et malgrè le scas rose et donna pas résolu j’ai aodré…Et je trouve même que le courant passe très bien entre River et le docteur! Et franchement dans le top trois des épi mais absolument directement quoi!
Pfiou Génial…Allez maintenant il faut m’aborder le cas Rose et plus que ça! non mais!
Je pensais que je n’avais pas tout compris de cet episode parce que je l’ai vu dans de "mauvaises conditions" (a 5h du mat’ chaque episode), sur mon iPhone (le son n’est pas genial) et sans sous-titre, ce qui parfois ne me gene pas mais la si… mais en lisant les 2 review, je me rends compte que… c’etait de toute facon un double episode complique 😀
Merci pour la superbe review Sorciere (qui comprendrait le pourquoi du comment 😉 )
Bon Dieu, Moffat est un génie. Ce double épisode était absolument extraordinaire!
Comment est-ce que je pourrais décrire en quelques mots la richesse et la profondeur foisonnantes à tous les niveaux de cette histoire à la fois poétique, surprenante, palpitante et souvent bouleversante?!
Comme si la révélation de la véritable identité de la petite fille, la vérité sur les Vashta Nerada et Dona qui perd brutalement et amèrement sa vie de rêve, que dire du sacrifice de River?!
Des larmes de sang, les gars, des larmes de sang que ça m’a fait verser!
Et encore autant au moment où on réalise que le Docteur a une ultime chance de la sauvegarder!
Sérieusement, j’étais en transe, j’avais mon téléphone portable dans la main j’ai failli le broyer, en répétant « vas-y, sauve-la, vas-y, sauve-la, vas-y, sauve-la, vas-y, sauve-la, put…!!! »
Non parce que vraiment, en ayant déjà vu la saison 7 avant le début et en sachant qui est River, la voir mourir et voir le Docteur refuser sa mort, ça n’a juste plus de prix, ça dépasse tout, quoi…
Pfiouh… cet épisode m’a bouleversée et enchantée, fait jubiler et fait pleurer comme une fontaine… je me sens vivante! Vivante, mais lessivée au moins pour une semaine!
Raaah, Doctor Who, je te hais!!! (d’amour)