Humeur du jour
En ce moment, je vis la vie idéale ou presque.
Je bosse le minimum syndical (pour parler un langage que tout le monde comprendra : un mi-temps… payé comme un mi-temps, s’entend). Deux jours par semaine. Je n’ai pas de boulot à faire à la maison ni ailleurs. Le mois de mai s’annonce d’ailleurs pour le moins… intéressant, financièrement parlant.
Je fais des nuits de huit heures… ça ne m’était pas arrivé depuis mmmmh… 1986 ?
Je pédale au soleil. Je fais les boutiques. Je me fais des demi-heures de Wii sans complexe. Je blogue un maximum sans avoir à m’inquiéter de l’heure. Pas besoin de me demander en matant un BSG encore bien rempli : « Mais comment je vais faire pour trouver le temps de reviewer ce machin ??? » (Une heure et demie, quand même, pour celui d’hier.)
Ma baraque est propre et rangée. Les fleurs bien arrosées. Le basilic est en pleine forme. La menthe se la pète un max.
Mes factures sont à jour.
Le frigo est plein.
Et je m’apprête à préparer un tiramisu aux fraises.
En ce moment, je vis la vie idéale ou presque. Je bosse le minimum syndical (pour parler un langage que tout le monde comprendra : un mi-temps… payé comme un mi-temps, s’entend). Deux jours par semaine. Je n’ai pas de boulot à faire à la maison ni ailleurs. Le mois de mai s’annonce d’ailleurs pour le moins… intéressant, financièrement parlant. Je fais des nuits de huit heures… ça ne m’était pas arrivé depuis mmmmh… 1986 ? Je pédale au soleil. Je fais les boutiques. Je me fais des demi-heures de Wii sans complexe. Je blogue un maximum sans avoir à m’inquiéter de l’heure. Pas besoin de me demander en matant un BSG encore bien rempli : « Mais comment je vais faire pour trouver le temps de reviewer ce machin ??? » (Une heure et demie, quand même, pour celui d’hier.) Ma baraque est propre et rangée. Les fleurs bien arrosées. Le basilic est en pleine forme. La menthe se la pète un max. Mes factures sont à jour. Le frigo est plein....
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