Doctor Who confidential 407 (Nemesis)
Franchement, même quand l’épisode m’a paru un petit peu en dessous, c’est toujours un plaisir de s’offrir une grande tranche de rigolade en regardant les Confidentials. Je ne pourrais plus m’en passer.
D’abord, j’y ai appris un truc dément. Le père de David fait une apparition au début. On voit un monsieur à cheveux blancs et à gants immaculés qui joue les butler. Eh ben c’est Papa-David. Délire.
En fait, il descendait de ses Highlands pour rendre visite à son fiston, et il s’est retrouvé réquisitionné pour jouer les figurants.
Trop choupinou et sympatoche. Il a l’air tout intimidé, le monsieur.
(David doit beaucoup ressembler à sa maman… )
A propos de David, c’est donc lui qui a conseillé l’actrice pour jouer Agatha. C’est la première fois qu’on retient une de ses suggestions (arf), et il en est fier. En même temps, il y a de quoi. C’est vraiment le truc que je retiendrai de cet épisode. Elle est plus vraie que nature. Et en plus elle est très charmante.
Et… oh my Gawd ! J’adore son nom !!! Ca faisait longtemps que je n’avais pas entendu un nom aussi mirifique !!! Direct dans ma collection !
A part ça, j’ai trouvé excellent que Confidential nous ressorte des photos de la vraie Agatha… et nous déterre en plus le petit-fils de la dame !
Et mieux encore, je me rends compte que c’est très futé d’avoir exploité la mystérieuse disparition de l’auteur qui à l’époque semble avoir fait un raffut monstrueux. C’est vrai que c’est tellement Doctor-Whoesque que ça aurait été trop dommage de ne pas s’en servir.
Quand on voit les gros titres des journaux de l’époque, on comprend.
Pour changer totalement de sujet, j’ai failli me pisser dessus quand ils tournent la scène de « detox ». Ca, j’y ai pensé en voyant l’épisode : le costard. Eh ouais. David a deux costards. Pas quatre, pas six, deux. Tout pareils. L’ennui c’est que quand on se renverse du sirop dessus et qu’on crache des anchois, les costards, ça les ruine un peu. Moralité, vaut mieux être sûrs que la scène tournée est la bonne. Alors pour être sûrs, aussitôt que le moindre problème apparaissait avant qu’il ne commence à tout renverser, le réal’ se met à bramer des « CUUUUUUUT !!! ».
Ce qui est à mourir de rire, vous en conviendrez.
Et là, David de s’interrompre juste à temps pour ne pas tout renverser sur sa gueule.
Ooooouh, c’était moins une !
Et puis c’est juste trop craquant de voir le réal’, (Graeme Harper, on le connaît bien) se bidonner discrètement derrière sa caméra quand la Tate fait son superbe : « Milk ! Shake ! Milk ! »
Irrésistible.
A part ça, l’inévitable capture de David-I’m-cute-Tennant.
Des petites choses drôles à force d’être anachroniques…
Et puis une autre grosse rigolade : l’organisation d’une course-poursuite de vieilles caisses des années 20.
Palpitant. C’est sûr que quand on roule à trois à l’heure, il faut être un génie de la caméra pour que ça ait l’air un tout petit peu intéressant.
David et Fenella (rah, quel prénom charmant) ont donc dû apprendre à manier ces pièces de musée, sous le regard terrible du propriétaire.
Et apparemment, ce n’est pas super facile puisqu’à un moment, j’ai entendu David lancer qu’il avancerait certainement plus vite s’il conduisait une machine à coudre !
Et hourra pour la Tate.
En tout cas, je me suis bien bidonnée, devant celui-là !
Maintenant, ils peuvent balancer la suite, je suis fin prête !
En fait, à bien regarder "Last of the Time lord",(je l’ai revu hier soir) je trouve que David T. maquillé en "vieux" ressemble bien à son père !!
Ah ouais, y a de l’idée… Peut-être qu’en remplissant ces petites joues creuses…
PTDR merci pour ce compte rendu aussi délicieux qu’hilarant et ô combien instructif !
Ah, celui là il faut vraiment que je le voie ! (et hop c’est pour ce soir)