312 : The baby in the bough
Aaaah ! Le fameux épisode au bébé. Mettre un bébé dans les bras de Bones Brennan, c’est un peu comme confier un chien à Gregory House. Une constellation improbable mais qui fait bien rigoler et qui au final finit par vous émouvoir.
(Cela dit, je vous rassure tout de suite : le bébé ne se prend pas de coups de canne et ne repart pas en traînant la patte.)
Ici, ce serait certainement moins drôle si Booth ne se penchait pas sur l’affaire de toute sa hauteur de père modèle. On le sent amusé, l’animal. Et il n’hésite pas à en rajouter un maximum.
Nous avons donc là un lardon volant retrouvé dans un arbre près de la voiture accidentée de sa mère.
Une fois Clark Kent décroché de son perchoir, Booth propose tout naturellement à Bones de lui faire un petit câlin pour le rassurer, c’t’enfant-là.
La réponse fuse.
Bones : Just because I have breasts doesn’t mean I have magical powers over infants !
Bien dit !
La scientifique est méfiante. Sait-on jamais, avec des dents pareilles, ça a vite fait de vous couper un doigt.
S’ensuit une kyrielle de tableaux tous plus drôles les uns que les autres. Bones change l’enfant, manque de le flanquer par terre, ne le voit pas avaler la clé d’un coffre de banque. Booth est naturellement catastrophé.
(Tonton Booth, il est très gentil. Mais ouin quand même.)
Bref, ça se refile cet enfant qui est maintenant la pièce à conviction numéro une. Il faut veiller dessus jusqu’à ce qu’il nous ponde la fameuse clé.
Booth : Why don’t you say hi to your grumpy old auntie Bones ?
Au Jeffersonian, ça fait gouzi-gouzi et areuh-areuh un maximum. L’un des Squints fait remarquer qu’il n’a jamais rien vu d’aussi vivant sur cette table…
Zack : Prodigious saliva production.
Et Angela en profite pour faire passer un important message à Hodgins.
Angela : Get used to it. I want like a million of these.
Hodgins : Cool.
(Tiens, ce serait amusant, ça… Angela, en cloque ! Angela, en cloque !)
Bref, hop, papa Booth et maman Bones récupèrent le petit monstre pour enquêter. Et entre nous, l’enquête, on en a un peu rien à péter. C’est juste tellement drôle visuellement et décalé de voir un siège bébé dans la bagnole et les deux loulous avec un troisième minuscule larron aux basques que c’est difficile de se concentrer sur autre chose.
Bones : Nononononono !
Et puis bien entendu, Bones finit par s’attacher terriblement au mini-troll et lorsqu’elle empoigne le meurtrier pour lui hurler qu’il y avait un bébé dans la voiture de la victime et qu’il aurait pu mourir par sa faute, c’est quand même super mignon. C’est pas souvent qu’elle s’énerve comme ça, Bones.
C’est sûr que ça fait un petit pincement au coeur de la voir s’en séparer…
Mais la fin est tellement chouette. Hein, ma Bones, que t’as un peu craqué pour le mouflet et que tu trouves plus ça si dégueu, les gnenfants ?
(Ca, c’est le regard qui dit : « You ? Me ? Baby ? » )
Oué, bon, n’exagérons rien.
Ah, c’était tout à fait frais et charmant ! Malgré le machin rose et braillard.
Et à propos de chair fraîche, comment va ce vieux Gormagon ?
Moi j’ai beaucoup aimé cette épisode. Surtout Brennan, Booth et le bébé.
Et si finalement le défaut des épisodes précédent c’était pas Sweet (d’ailleurs rien que le choix du nom est bizarre). Non parce que la psychothérapie de couple c’est marrant sur 1 ou 2 épisodes après c’est juste lassant.
Mais bon ça reste au dessus de beaucoup de séries policières quand même.
On était déçu parce que dès qu’on a vu que le mec c’était Biff Tannen on a su que c’était lui le bad guy.
A part ça, on a bien ri, c’était bien fun.
Chouette épisode aussi du point de vue Michael Moorien de l’histoire des Etats-Unis et des crises industrielles qui frappent les petites villes.
Ou oui, Biff, reconnu instantanément, snif, c’t’enorme…
C’est rigolo comme il ressemble à ce qu’il était dans le futur.
*je me comprends*
Non, non, moi aussi je te comprends !!! 😀
Etant une fan de retour vers le futur je comprends aussi !
Alors pour moi l’épisode est de bonne facture, mais bon sang, qu’ils arrêtent de se regarder comme ça, ils vont faire fondre mon écran. Et coup de coeur à mon Angéla que j’adiore.