Alors là, attention, ça se complique.
(Ca se complique tellement que ça m’a sortie du lit. Je voulais me coucher tôt et ce foutu billet tournait dans ma tête, il fallait que je l’écrive.)
Replaçons la chose dans son contexte.
2002, vlan, je me case. Ce sont des choses qui arrivent.
Nous nous convertissons mutuellement à un tas de choses (je résiste à The West Wing, on est bête quand on est jeune) mais surtout, pendant les mois qui précèdent la sortie des Tours, nous procédons à une préparation digne des plus grands athlètes. Relecture des bouquins, revisionnage intensif de la version longue de la Communauté, avec les commentaires, l’intégrale des bonus, bref, on en bouffe, de l’Anneau.
Et là, c’est le drame. On va voir les Deux Tours. On se retrouve deux heures et quelques plus tard à la terrasse surchauffée d’un bistro voisin, et on se regarde la mine déconfite : c’était quoi donc, ce truc ?
Je vous dis pas l’ambiance.
Alors là, attention, ça se complique. (Ca se complique tellement que ça m’a sortie du lit. Je voulais me coucher tôt et ce foutu billet tournait dans ma tête, il fallait que je l’écrive.) Replaçons la chose dans son contexte. 2002, vlan, je me case. Ce sont des choses qui arrivent. Nous nous convertissons mutuellement à un tas de choses (je résiste à The West Wing, on est bête quand on est jeune) mais surtout, pendant les mois qui précèdent la sortie des Tours, nous procédons à une préparation digne des plus grands athlètes. Relecture des bouquins, revisionnage intensif de la version longue de la Communauté, avec les commentaires, l’intégrale des bonus, bref, on en bouffe, de l’Anneau. Et là, c’est le drame. On va voir les Deux Tours. On se retrouve deux heures et quelques plus tard à la terrasse surchauffée d’un bistro voisin, et on se regarde la mine déconfite : c’était quoi donc, ce truc ? Je vous dis pas...
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