Mais après tout, rien ne m’empêche de vous la faire partager.
Ca remonte à une bonne année et demie et « Dead man’s chest » venait de sortir. On y était, la Chech’, Labell’A et moi-même. Vers la fin du film, cette lopette d’Orlando se fait étaler par je ne sais plus qui. Il se réveille quelques secondes plus tard sous les yeux de sa mocheté toute prête à aller galocher Johnny. Et là, d’un coup, dans cette salle de ciné sur le point de périr d’ennui, il s’est produit une chose que je n’ai vécu qu’une autre fois : un instant de communion parfaite. Nul doute qu’il devait y avoir un paquet de gonzesses car un immeeeeense soupir de tendresse a soulevé l’assistance émue par la vision en très gros plan de ce gros bébé ouvrant ses beaux yeux noirs. Unbeliefuckingable.
En revoyant le fameux « Dead man’s chest » hier soir (on ne se refuse rien, mais je viens d’acheter le troisième opus), je suis loin d’avoir ressenti la même chose, apparemment, ça ne marche que sur grand écran.
Mais après tout, rien ne m’empêche de vous la faire partager. Ca remonte à une bonne année et demie et « Dead man’s chest » venait de sortir. On y était, la Chech’, Labell’A et moi-même. Vers la fin du film, cette lopette d’Orlando se fait étaler par je ne sais plus qui. Il se réveille quelques secondes plus tard sous les yeux de sa mocheté toute prête à aller galocher Johnny. Et là, d’un coup, dans cette salle de ciné sur le point de périr d’ennui, il s’est produit une chose que je n’ai vécu qu’une autre fois : un instant de communion parfaite. Nul doute qu’il devait y avoir un paquet de gonzesses car un immeeeeense soupir de tendresse a soulevé l’assistance émue par la vision en très gros plan de ce gros bébé ouvrant ses beaux yeux noirs. Unbeliefuckingable. En revoyant le fameux « Dead man’s chest » hier soir (on ne se refuse rien, mais je viens d’acheter le troisième opus), je suis loin d’avoir ressenti la même chose, apparemment,...
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