712 : Duck and cover
Allez, encore un épisode un peu branlette pour préparer la dernière ligne droite… Après ça, c’est badaboum dans la gueule jusqu’à la fin ou presque.
Alors, intérêt de cette histoire de centrale nucléaire défaillante ? A part la merde que ça fout à la Maison Blanche ? Eh bien c’est très simple : 25 ans plus tôt, un certain Arnold Vinick a fortement contribué à la mise en place de cette centrale. Et ça, la campagne Santos le réalise très très vite. Ce pourrait être formidable à exploiter pour foutre Vinick dans la merde à un mois du scrutin. Sauf que d’un commun accord, Josh et Matt décident de ne pas lancer l’info à la presse.
Josh : I say we go completely dark. Let the press go after Vinick on their own.
Motus et bouche cousue, donc. Côté républicain, c’est la panique, il faut bien le dire. Bruno déploie des trésors de stratégie et tente d’anticiper les actions de Josh.
Bruno : Trust me. Josh has the political equivalent of Tourette’s Syndrome. He can’t help himself… We wait for his next spasm and then we strike back.
C’est quand même pas très très gentil, ça.
Finalement, la presse trouvera toute seule l’implication de Vinick dans l’affaire de la centrale. Et celui-ci est bien obligé de s’exprimer à ce sujet.
Voilà comment la course à la Maison Blanche prend un nouveau tournant. Pauvre Arnie. C’est quand même vraiment la tuile.
Pendant ce temps, ça galère sec à la Maison Blanche. Il faut empêcher la centrale d’exploser…
Bartlet : I thought a degree in economics was plenty for this job. My kingdom for a plumbing license.
Sans oublier, bien sûr, qu’au Kazakhstan, c’est toujours la merde.
Enfin, ce n’est pas que je n’aime pas reviewer les épisodes purement politiques, mais là, j’ai comme une forte envie de m’arrêter là et de passer directement au prochain où il se passe quand même des choses nettement plus sexy. Zou !
(Et d’ailleurs, je viens de finir de le reviewer, un billet interminable, mais je ne le posterai pas avant demain. Hé hé hé, la méchaaaante. )
Un joli titre, Duck & Cover… Assez ironique.
C’est d’ailleurs une constante dans cette série. Les titres sont assez classieux.
Dans quelle autre série pourrait-on trouver des épisodes nommés "Post hoc ergo propter hoc", ou "Shibboleth"…
Oui, tout à fait, j’adore les titres, moi aussi…
So Coool le teasing, je passe mon tour pour aujourd’hui et attendrais donc demain LOL