220 : Spaceman in a crater
Excellent épisode en ce qui me concerne, pour plusieurs raisons. D’abord, un cadavre aplati comme une crêpe, dont il apparaît très vite qu’il a légèrement raté une marche. Haute, la marche. Postulat de départ qui permet notamment à Hodgins de déployer toute sa parano et ses théories extra-terrestres. Si Booth était Mulder, Hodgins serait son Lone Gunman. D’ailleurs, si je ne m’abuse, Hodgins cite pratiquement une phrase récurrente de Mulder qui passe près de dix ans à essayer de convaincre les gens que les extra-terrestres ne sont pas verts.
Zack : « Little green men ? »
Hodgins : « Grey. They’re grey, not green. Grey. Being as you are half alien yourself, you should know that ! »
Ensuite, à travers cet épisode, c’est encore une exploration qu’on suit. Celle de Bones qui s’interroge sur le mariage. Sur ce qu’un époux serait prêt à faire pour protéger celle qu’il aime. Ce qu’une femme serait prête à faire pour rendre son mari heureux.
En parallèle, on suit bien entendu l’évolution de la relation entre Hodgy et Angela, qui aboutit à une demande en mariage.
Refusée.
Hodgins : « But you love me ? »
Angela : « More than you know. »
Oui, ben c’est Angela, quoi.
Et puis aussi, c’est si rare… Bones qui découvre avec émerveillement l’apesanteur. Toute petite scène mais excellente.
D’autres petits moments sympas, dans le désordre :
– Talia Winters !!!
– Bones et Booth qui semblent maintenant n’avoir même plus besoin de parler pour se comprendre. Un interrogatoire, quelques regards furtifs. J’adore.
– Hodgins qui demande à Booth s’il devrait demander la main d’Angela et la réaction de Booth.
– Zack et Hodgy au labo. Ca m’a tellement rappelé O’Neill, dans SG1 !
– Cet astronaute qui explique à Bones que cette photo représente le plus beau moment de sa vie, mariage et naissances compris, et qu’il donnerait tout pour pouvoir le revivre. Suscitant sans doute pas mal de réflexions pour une personne aussi dépassionnée qu’elle.
– Et la fin, franchement tristoune. Même si encore une fois je ne suis pas fan des fins en musique.
Et toujours cet air un peu étonné de constater ce que la vie peut réserver, quand Booth lui, se montre beaucoup plus empathique. On a vraiment l’impression d’assister à un apprentissage. Clairement, Bones avait vraiment besoin de toutes ces expériences sur le terrain.
MDR le meuh étonné de la vache au début, j’en souris encore.
La sorcière, je te le dis souvent et je me répète volontiers, tes caps sont de toute beauté.
Merci, moi aussi je les aime bien ! 🙂