218 : The killer in the concrete
Ou le grand retour de Papa Max.
J’ai moins aimé cet épisode que le premier où il débarque, cela dit. Ce qui est intéressant, c’est de voir la réaction de Tempy qui n’écoute pas une seule de ses paroles et qui se rue sur son portable pour appeler les flics et leur vendre son père.
Finalement, ce qui va la pousser à accepter son aide et sa présence, c’est que Booth se fasse séquestrer et battre comme plâtre.
Ca, c’est avec une certaine satisfaction que je l’ai regardée perdre son sang-froid et balancer des coups de tatane à l’envi à tous ceux qui de près ou de loin sont mêlés à ça.
Au final, Max se fait encore la malle, il est doué, le bougre.
Et tout est bien qui finit bien, comme toujours ou presque.
J’ai un peu décroché en cours de route. Alors, il faut dire que sans les sous-titres (qui sont à se noyer avec la collection Bescherelle et le petit Robert attachés aux chevilles tellement c’est blindé de fautes), mine de rien, c’est pas évident de suivre. Et à un moment donné, en ce qui me concerne, il faut choisir entre la pollution grammaticale et la compréhension générale. Même si moi, je connais la différence entre cement et concrete.
Intéressant en revanche de voir Bones rendre la politesse à Booth qui lui a sauvé la peau une paire de fois. C’est bon pour elle, c’est clair. Et ça apporte beaucoup d’équilibre à leur partenariat. La conversation de fin, dans cet épisode, rappelle assez celle de Alien in a spaceship où c’est lui qui la sauve, mais à l’envers. J’aime bien cette idée que ça n’aille pas toujours dans le même sens.
Si je puis me permettre, en revanche, je trouve que les retrouvailles manquent de… chaleur…