112 : Isabella
Bon, bon, bon. C’est pas la joie, hein, on va pas vous le cacher. Pas de bol, chez Tony Soprano, c’est pareil, c’est la grosse déprime. Du coup, à le voir s’enterrer sous la couette, le regard paumé, blindé de médocs (oui, euh, moi non, hein ?), j’ai un peu l’impression de me voir.
Pauvre Tony. Décidément, la disparition de son copain Pussy l’a complètement anéanti.
Pauvre Tony, tellement sensible sous sa grosse carcasse d’ours mal léché…
Bon, bon, bon. C’est pas la joie, hein, on va pas vous le cacher. Pas de bol, chez Tony Soprano, c’est pareil, c’est la grosse déprime. Du coup, à le voir s’enterrer sous la couette, le regard paumé, blindé de médocs (oui, euh, moi non, hein ?), j’ai un peu l’impression de me voir. Pauvre Tony. Décidément, la disparition de son copain Pussy l’a complètement anéanti. Pauvre Tony, tellement sensible sous sa grosse carcasse d’ours mal...
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