510 : The stormy present
Excellent épisode ! A la fois couillu et people, j’aime !
Première séquence sur une lettre rédigée à la main et dans laquelle on entraperçoit les mots « America », « islamists » et autres joyeusetés.
On s’imagine déjà avec une belle menace terroriste sur les bras et j’en frémis d’anticipation… surtout que du côté de l’Arabie Saoudite, ça bouge, avec des émeutes et tout ça…
Et comme si ça ne suffisait pas, vlà-t’y pas que l’ancien président Lassiter casse sa pipe sans prévenir ! Et vlan, c’est parti pour la réunion des anciens élèves de la Maison Blanche, le deuil national, etc etc…
Première chose, donc, sauter à bord d’Airforce One avec Toby chargé de rédiger l’éloge funèbre de ce grand homme, ce qui l’enchante…
(Non, Toby, ce n’est pas parce que tu regardes ailleurs que tu pourras te soustraire à cette noble tâche.)
… puis, ramasser les anciens présidents encore en vie à ce jour, c’est-à-dire deux. Le président américain est une denrée rare et en voie d’extinction. Surtout qu’avec l’actuel atteint de sclérose en plaques, le précédent qui boîte bas et l’entre-deux qui fait un bon mètre cube, ça peut se passer très vite.
Bonne surprise, le prédécesseur de Jed, c’est…
George ! George de Six Feet Under ! Autrefois appelé Zefram Cochrane dans Star Trek. Décidément, il est partout.
Bref, pendant que ça pulse à la MB étant donné les évènement à Riyad, Jed en profite pour consulter ses collègues sur la situation. Naturellement, Walken, qui n’a guère changé depuis son mandat provisoire, est d’avis de tous les atomiser… en gros.
Newman, lui, c’est l’opposé parfait. Bref, c’est intéressant.
Pendant ce temps, Toby, très en forme, cherche réconfort, inspiration et compréhension au fond de sa bouteille de scotch. Sur ordre de C.J., Charlie lui supprime son inspiration. C’est très drôle. J’ai hurlé de rire. Toby est excellent.
Les funérailles sont presque décevantes. Pas de Helmut Kohl qui larmoie. Pas de chapeaux et de voilettes stupéfiants de ridicule. Pas de Bernadette pomponnée, bref, ça sent l’arnaque.
On découvre cependant grâce à la veuve que la lettre du début, c’est l’ancien président qui l’a écrite pour Jed. Jed qui avait du mal à le saquer, d’ailleurs.
Mais voilà, aujourd’hui, Jed, il le comprend, et il donnerait un peu n’importe quoi pour qu’on l’éclaire sur sa mission. Alors sur le conseil de feu ce superbe emmerdeur, il part demander conseil à un autre de ses collègues disparus.
Impressionnant…
Ca me rappelle que George il était aussi le prince Philippe dans The Queen… Il est plus que partout !!
En plus d’être le méchant papa de Jack Bauer 😉
TA TA TA TA je ne veux rien savoir sur 24 !!!
Ah ben tu vois qu’il te reste des trucs à regarder, finalement ! :p
Ouais, enfin en tout dernier, quoi… enfin peut-être avant Prison Break, tout de même.