121 : Milk
Ah ben bon, les lunettes roses, ça ne dure pas longtemps, dites donc. J’ai retrouvé mon état naturel à savoir la grinchitude. Du coup, j’ai encore moins envie de me montrer compatissante face à la détresse sentimentale de ce pauvre Ted Mosby. Détresse qu’il s’invente, d’ailleurs, tellement il est monomaniaque, le pauvre garçon. La femme parfaite, non mais il faut qu’il arrête de lire Cosmo en douce, hein ? Oh hé, il va pas nous faire chier avec ses 28 ans, en plus du reste ???
Bon bref, Ted Mosby, c’est pas ma tasse de thé. Sa quête est touchante, mais quel benêt, mes enfants ! Cela dit, entre le couple d’ados en fin de vingtaine, le psychopathe terrifié à l’idée de passer deux soirées de suite avec la même gonzesse et la journaliste glacée, comment peut-il entrevoir autre chose ?
C’est donc d’un oeil désintéressé que je l’ai regardé une fois de plus aller chercher la femme parfaite dans son agence matrimoniale. Et bien sûr, après avoir payé les 500 dollars indispensables à la transaction et avoir procédé à une séance d’eyefucking des plus prometteuses avec la frigide…
… le voilà qui se remet à gamberger.
Peut-on logiquement espérer que cette fois, ça ne se finisse pas par un énième délire de persécution de l’un ou de l’autre ?
Bref, et pendant ce temps, Marshall et Barney s’amusent avec des souris blanches, et ça, ça m’a bien fait rigoler.
Il n’empêche que Ted Mosby se traîne la loose de Ross, Joey et Chandler réunis !