102 : 46 long
Ptain. Rappelez-moi de ne JAMAIS voler la voiture d’un prof. C’est que ça peut mal finir quand le prof enseigne au fils d’un ponte de la mafia et que ledit fils a de mauvaises notes.
J’ai pas forcément tout suivi à l’affaire des lecteurs de DVD malencontreusement « tombés du camion » comme on dit dans le jargon, mais bon.
Il faut dire que les affaires de famille de Tony me passionnent. Non parce que sa mère, dans le genre personnage de ouf, elle tient le haut du pavé.
Quelle vieille emmerdeuse !
Mais ce qui est génial, c’est qu’elle fait marrer, mais marrer bien jaunasse, quand même. Elle fout le feu à sa baraque, ne desserre pas les dents quand il s’agit de la flanquer à la maison de retraite (maison de retraite plaquée or, s’il vous plaît) et ma foi, elle travaille pas mal de la cafetière.
Et même si Tony fait quand même de sacrées bêtises, c’est difficile de ne pas fondre de tendresse quand on le regarde vider la maison de sa mère avec les larmes aux yeux…
Puis ce faisant, manquer de se refaire une attaque.
Moi, je l’adore déjà, ce personnage.
Grand moment aussi quand il emmène sa fille dans l’église construite par ses ancêtres. Même cette petite gourdasse arrive à fermer son bec dix secondes, par respect. Non, vraiment, il est génial Tony Soprano.
<mode Claude Barzotti ON> Ca donne envie d’être rital et d’en être fier !