318 : Liaisons
C’est bizarre, je suis de plus en plus partagée quand je regarde DH. Parce qu’il y a des moments vraiment géniaux (et c’est le cas dans cet épisode), et des passages vraiment chiantissimes. (Susan, Susan, Susan… Lynette, Lynette, Lynette… )
D’autre part, Marcia Cross manque vraiment. Ce n’est pas réellement DH, sans Bree. Et de plus, je trouve que finir l’intrigue Orson/Monique et compagnie aussi tôt ce n’était pas très heureux. Mais bon. J’imagine qu’avec Marcia enceinte, ils n’avaient pas trop le choix. Moralité, c’est un peu bancal.
Et ça sent parfois un peu trop le raccommodage.
Sinon, j’aime bien quand il y a une ligne continue, dans un épisode. C’est à la mode de décliner un thème autour de différents personnages, et pour le moment, je ne m’en lasse pas. Grey’s fait ça très bien (c’est à peu près la seule chose que Grey’s fait de bien, d’ailleurs) et le plus souvent, DH excelle dans ce petit jeu. Jusqu’à la découverte finale.
Bon, à part ça, j’ai adoré le twist autour d’Edie et Carlos. Ces deux-là sont juste IM-PO-SSIBLES ! Et c’est génialement fait parce qu’on ne s’y attend pas du tout à ce qui va se passer après le cirque de la semaine dernière.
Comment est-ce qu’on pourrait imaginer que leur nuit a été atroce ?
Alors quand ils font les hypocrites et que Mary-Alice dit qu’une chose est sûre, ils ne sont pas près de remettre le couvert, on se dit ok, on est étonnés, mais ok. Et finalement, ça n’en est que mieux. (Pas de frak-buddies, donc… hé hé hé… )
Et après une rencontre encore ratée, finalement, j’adore le fait qu’ils se rendent compte que ce n’est peut-être pas par là qu’il faut commencer. Mais plutôt en envisageant les choses différemment.
Et curieusement, ça marche, aussi étonnant que ça puisse être pour nous et pour eux.
Je suis sûre que ça peut marcher. D’autant qu’il paraît évident que Gaby est en train de refaire sa petite vie, elle aussi. Mignon quand son homme politique lui balance du tac au tac qu’il est amoureux d’elle. Elle n’avait juste absolument pas envisagé que ça puisse être possible. Son étonnement est super charmant. Elle voyait ça tellement comme un jeu, une compète.
Sinon, j’ai beaucoup aimé le gros plouf de la voiture de Susan…
(Il aurait quand même pu faire l’effort de mouiller son pull jusqu’en haut, le rosbeef, tout de même… )
Ah, et pure félicité quand sa seigneurie avoue qu’il ne sait pas nager et que Mike, passant par là comme par hasard, arrache son t-shirt et se jette à l’eau pour le traîner jusqu’à la rive.
Hautement divertissant et jubilatoire.
Par contre, il est temps que Mike reprenne ses esprits et redevienne le lascar « on the edge » qu’on a connu en saison 1 parce que là, moi, j’en peux plus.
Dans la foulée, hop, la petite panne qui va bien…
Et une partie de la manip qui est découverte par Susan. Ouf, il était temps, je redoutais vraiment qu’elle s’enfonce dans sa bêtise, cette pauvre fille. Non parce que Ian qui veut partir vivre à Londres et vendre la maison de Susan, ahum.
Ce qui nous emmène à ENFIN :
Hop, le doute est dans la place, et même si Susan retourne chez son rosbeef, je suis bien sûre qu’il n’y en a plus pour longtemps. Tic tac tic tac !
Concernant les Scavo, maintenant. Hé bé, il fallait un pépin de cette taille pour faire ressortir le côté tyrannique de Tom Scavo. Même moi avec ma cheville, je n’étais pas comme ça. D’ailleurs j’étais toute seule, donc bon.
Même la terrible McCluskey jette l’éponge.
Et la pauvre Lynette est au bord de l’effondrement.
Bah, si vraiment elle en a marre, elle pourra toujours demander à Mme McCluskey de s’occuper de Tom pour qu’il aille tenir compagnie au cadavre de son congélo.
Déliiiiiiiire !!!
J’voulais pas, j’voulais pas, j’voulais pas… mais je t’ai lue. Et non, je ne regrette pas!
Hi hi désolée. Si vous voulez que je cache certains épisodes, demandez, hein ? Ca ne me coûte rien de le faire. J’aime bien faire comme ça excepté quand il y a un enjeu de fin de saison (genre qui meurt ou qui a tué la vieille dame), mais je peux m’adapter.
Non, ne change rien… j’avais envie de lire… sinon, en général, j’arrive à me contrôler 😉
Alors que moi je me retiens encore 😀 (oui oui, j’arrive même à poster un comm sans lire l’article au-dessus, je suis trop forte !)
Hier j’ai regardé les cinq premières minutes, mais j’ai trop de mal à suivre sans sous-titres. Cela dit, si je veux faire des progrès en anglais, faudrait peut-être que je me mette à suivre les séries sans ST, parce qu’en plus ça me gêne pour être vraiment attentive aux images???
je crois que j’ai loupé un truc, c’est qui dans le congélo ?
!!!!!!!!!!!! SPOILER !!!!!!!!!!!!!!!!! (je pense que c’est le mari de Mrs McCluskey, Gilbert… )
Alexandra > regarde d’abord sans sous-titres un épisode que tu as déjà vu, pour te mettre dans le rythme et dans les voix (vu que tu sais ce qu’ils se disent, c’est plus facile), et enchaîne sur un inédit.
Je lirai pas, je lirai pas, je lirai pas.
Ptain c’est tentant… ;o)
En fait, ça y est, on l’a regardé sans sous-titres 😉 Bon, dans les grandes lignes on a tout compris, hein 😉 Et qu’est-ce qu’on a rigolé ! Edie et Carlos qui finissent aux urgences, j’ai cru que j’allais me faire pipi dessus ! 😀
Je pense qu’on le regardera à nouveau avec les ST pour piger certaines subtilités, parce que quand il faut suivre ce que raconte McKluskey, j’ai du mal, pareil avec le débit mitrailleuse des Scavo !
Elle a bien grandi, la petite P. d’ailleurs ! (Polly ? j’ai un doute)
Penny !
Euh, j’veux pas dire, mais y a quand même un pourcentage de cadavres dans le placard (ou dans le congélo) assez aberrant dans cette banlieue ! On en est à quoi, là ? Une maison sur deux, en gros ?
mmm, vais me méfier de mes voisins, moi !
A peu près, oui !!! Sans compter les baraques qui brûlent incendiées par les copines !