312 : There’s got to be a morning after pill

Ok. *se fait craquer les doigts*

J’ai quatre reviews de retard étant donné qu’hier, sur mon lit de douleur, j’ai fini tous les épisodes diffusés, donc jusqu’au 315. Et je dois reconnaître que le niveau est bien remonté. Evidemment, il vaut mieux éviter de penser à la saison 1 (oh so shiny), mais ça reste très très agréable à regarder. Même si la main me démange furieusement quand je regarde Veronica se débattre autant pour les autres en se laissant de plus en plus de côté, ou peut-être pour éviter justement de penser à elle. Ce serait intéressant de se pencher un jour là-dessus. Parce que très honnêtement, quelles sont les relations de Ronnie avec ses potes cette saison ? Quasi-nulles. C’est comme ça qu’on se retrouve avec un Wallace au vestiaire, avec un cast secondaire inexistant et même un Logan miteux. Veronica n’existe plus qu’à travers ses enquêtes. Et autant ça pouvait se comprendre dans la première saison, autant depuis j’y vois une sorte d’addiction qui doit lui faire penser qu’elle existe, quelque part. Enfin bref. Quand je la vois se démener après sa rupture, pendant que Logan végète, le contraste est frappant et probablement volontaire. Je pense vraiment que dans son cas, elle se débat pour ne pas crever. A quand le retour de bâton ? Ce serait logique. S’il ne vient pas un jour, je crois que je serais déçue. Enfin bon, on est à Neptune, royaume de l’improbable et de l’inconsistant. Peut-être Veronica échappera-t-elle à la règle…

Retour à l’épisode 312, donc.

Et pour appuyer ce que je disais juste au-dessus, c’est amusant que ce soit l’inconscient de Veronica qui s’exprime à travers ses rêves. Ca veut dire beaucoup de choses, je pense. Jeune fille, il faut arrêter de refouler.

Chouette, ce rêve en plus. La Californie sous la neige…

Et Madison Sinclair dans le lit de Logan…

Forcément, ça jette un froid.

Et dans la série « flawed hero », cette info, Veronica ne va pas pouvoir s’empêcher de la balancer à la gueule de Dick (ex-boyfriend officiel de Madison).

Oui, enfin bon, il l’a pas volé, il est insupportable, ce garçon. Ranafout’ de mettre les gonzesses enceintes, le gros balourd…

Veronica : You do your hair like that to cover up the three sixes on your scalp, right ?

La chienne !

Bref, cette enquête du jour, waouh, dur dur. L’ex-copine de Tim (l’assistant du prof de crimino que jusque là je vois coupable de tous les maux) est enceinte d’un des deux (Dick ou Tim) et quelqu’un lui a refilé discrétos une pilule abortive. Sympa comme tout !!!

Entretemps, naturellement, Veronica dégage Logan en arguant que de toutes les meufs, non, il fallait qu’il se tape celle qui a écrit « slut » sur sa bagnole le lendemain de la nuit où elle s’est fait violer. Effectivement, Logan, sur ce coup-là, je veux pas dire, mais c’est pas super malin, quoi.

Logan, quoi.

Mais voilà, même au trente-sixième dessous, non, il faut que Veronica donne le change, qu’elle nous fasse partager ses petites remarques cinglantes. Ainsi en entrant dans la chambre de Bonnie, l’ex future maman…

Veronica : Wow. Raiders of the lost dorm room…

Finalement, même si j’aurais été ravie que ce soit Tim qui ait provoqué la fausse-couche de la dame, que dalle, c’est sa coloc.

De beaux moments, d’ailleurs, avec le père de Bonnie, pasteur de son état, prônant le pardon, et Veronica, en pleine rage vengeresse, prête à faire écrabouiller la voiture de Madison par les bons soins d’un Weevil toujours rendant service. Finalement au dernier moment, Sainte Vero lui demande de ramener la voiture…

Weevil : You’re going soft, Mars !

Encore un très bon épisode, bien agréable à regarder.

Et ceci était ma première note postée depuis Bucky2 !