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119 : Punch out

Ah. J’ai encore FAILLI m’ennuyer. Tout étant dans le « failli ». Puisqu’à chaque fois, les scénaristes trouvent le moyen de nous amuser avec un twist qui va mettre notre mocheté préférée dans une situation inhabituelle. Aujourd’hui, la situation du jour, c’est : « Oh mon Dieu, je suis accro à mon boulot (à moins que ça ne soit à mon patron, allez savoir, à force), au point que je me fais envoyer sur les roses. »

Clair que Betty, elle commence à ne plus exister en dehors de Mode, ou plutôt en dehors de Daniel Meade. Intéressant que la demoiselle s’en rende compte. Etonnant qu’elle ne se pose pas plus de questions quant au pourquoi de cette dépendance. Parce qu’à la voir surveiller d’un oeil sauvage Daniel qui fricote avec tout ce qui traîne et qui commence par « top », franchement, hum… Et alors, que même Daniel finisse par s’énerver et l’envoyer bouler, arf arf arf, c’est qu’elle doit se faire soûlante, sérieusement.

Dur dur, mais nécessaire.

Sinon, autre truc très drôle, mais également très pathétique : Ignacio qui se fait prendre en otage par Constance, bien décidée à l’épouser pour qu’il l’ait, sa foutue carte verte !

Finalement, l’extraction de Constance est finalisée grâce à Hilda et à une petite photo souvenir.

Mine de rien, elle nous aura bien fait rigoler, Constance.

Autre comique toujours au rendez-vous, l’inimitable Amanda, qui nous avait caché ses dons en arts plastiques…

Et qui a légèrement zappé la case « soupe » quand elle était hum… petite…

(On n’a pas idée de mesurer deux mètres cinquante, aussi… )

Mais qui a toujours de la ressource quand il s’agit d’aller piller le placard en l’absence de Christina…

Sinon, pas mal non plus le petit numéro de Willie pour s’envoyer Bradford… ah ça, le coup de la pédicure, ça le renverse, le vieux…

Prochainement, on peut donc s’attendre à une nouveauté, pour Betty : l’isolement total dans son environnement professionnel. Avec la rupture consommée avec sa copine de toujours à Mode, Christina…

Et en faisant la sourde oreille aux appels de ce grand serin de Daniel qui n’a rien trouvé de mieux que se taper un mannequin de seize ans, clairement, ça s’annonce moyen. Tant mieux. Une bonne dose de drama, ça finit toujours par rapprocher tout le monde. Et Daniel qui fait des bêtises, ça a toujours le don de susciter des petites scènes copain/copine, au final.

Posted by on Avr 22, 2007 in Ugly Betty | 8 comments

8 Comments

  1. Je commence à avoir peur que Betty ne se satisfasse plus de la relation copain/copine avec Daniel, qu’elle le veuille ou non. Ca sent pas bon, surtout si on nous fait ce coup bas en fin de saison.

  2. Franchement, je le sentais venir depuis très longtemps. De toute façon, ça tourne un peu en rond entre eux, depuis qu’ils se font des karaokés, non ? Alors j’imagine bien une Betty foudroyée par l’atroce vérité et tentant de le cacher tant bien que mal… Daniel, lui, ça fait super longtemps qu’il craque pour elle… avant elle, même, je pense. Mais ça ne lui vient pas à l’idée parce que physiquement, elle ne ressemble à rien de ce qu’il connaît. Je pense que depuis la fameuse nuit blanche, il suffirait de pas grand-chose. Et puis entre nous, je pense que la série est, depuis le début, vouée à ça. C’est mimi de ne pas avoir joué cette carte tout de suite, mais ça deviendra probablement nécessaire.

  3. On verra bien… Même si je trouve ça un peu dommage, il y a la façon de le faire qui compte aussi.

  4. Grr jveux pas du ship Daniel/Betty moi, veux paaaaas ! Sont bien mieux en potes snif

  5. On verra bien, je me trompe peut-être, ce ne serait pas la première fois.

  6. Ca aurait été bien mieux si cette adaptation de la série originale ne suivait pas ses consoeurs, parce que sinon, bonjour l’intrigue a deux balles !

    au passage, Heroes recommence ce soir gniiiii !

  7. Moi, je n’y crois pas une seconde à Daniel/Betty.

  8. Le fait est que le loustic se casse quand même grave les dents sur toutes les nanas avec lesquelles il tente un truc. Le fait est qu’il se passe exactement la même chose pour Betty. Perso, je n’ai pas d’opinion sur la question, juste que dès le début je me suis dit que ça tournerait tôt ou tard comme ça. Voyons, voyons. Le syndrome Cendrillon est encore bien ancré dans notre société. Sauf qu’aujourd’hui, Cendrillon, elle met des coups de pied au derche du prince charmant quand il fait un peu trop le con.

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