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112 : Sofia’s choice

WHAT

A

BIIIIATCH !

?? joie, ô suprême félicité, j’avais raison. La mule asthmatique mexicaine est bien félonne. Arf arf arf, la chienne, j’en serais presque arrivée à l’aimer.

L’évacuation de Betty lors de l’émission télé m’a franchement mis la puce à l’oreille…

Et ceci, naturellement…

Alors pour commencer, un grand, énorme big coup de chapeau à Becki Newton qui de féroce Amanda se transforme en « Ugly Becki » le temps d’un épisode…

Magnifique, splendide, sublime, je l’adore.

WHAT A BIIIIATCH ! ?? joie, ô suprême félicité, j’avais raison. La mule asthmatique mexicaine est bien félonne. Arf arf arf, la chienne, j’en serais presque arrivée à l’aimer. L’évacuation de Betty lors de l’émission télé m’a franchement mis la puce à l’oreille… Et ceci, naturellement… Alors pour commencer, un grand, énorme big coup de chapeau à Becki Newton qui de féroce Amanda se transforme en « Ugly Becki » le temps d’un épisode… Magnifique, splendide, sublime, je...

La Suite

Posted by on Mar 13, 2007 in Ugly Betty | 7 comments

Humeur du jour

Voilà, donc ça, c’est la tête que je fais quand je suis à mon bureau, face à ma (mes !) fenêtre (s !) qui donne (nt !) sur certes, des arbres et quelques maisons plutôt sympas, MAIS également, sur UNE, que dis-je DEUX magnifiques GRUES de leur race, qui me flanquent une trouille bleue chaque fois qu’elles se meuvent, c’est-à-dire TOUT LE TEMPS entre 8h du mat’ et 17h, avec un répit salvateur pour mes nerfs entre 12h et 13h30. A chaque fois que ces engins du démon sont en branle, j’ai l’impression que c’est vers moi qu’ils viennent, pour me chercher, que sais-je. C’est immense, ça n’a rien d’humainement normal, et c’est comme les avions, ça me rend complètement DINGUE ! Heureusement, il n’y a pas de vent, sinon, après les journées sur les dents, je ne dormirais même plus.

Voilà, donc ça, c’est la tête que je fais quand je suis à mon bureau, face à ma (mes !) fenêtre (s !) qui donne (nt !) sur certes, des arbres et quelques maisons plutôt sympas, MAIS également, sur UNE, que dis-je DEUX magnifiques GRUES de leur race, qui me flanquent une trouille bleue chaque fois qu’elles se meuvent, c’est-à-dire TOUT LE TEMPS entre 8h du mat’ et 17h, avec un répit salvateur pour mes nerfs entre 12h et 13h30. A chaque fois que ces engins du démon sont en branle, j’ai l’impression que c’est vers moi qu’ils viennent, pour me chercher, que sais-je. C’est immense, ça n’a rien d’humainement normal, et c’est comme les avions, ça me rend complètement DINGUE ! Heureusement, il n’y a pas de vent, sinon, après les journées sur les dents, je ne dormirais même...

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Posted by on Mar 13, 2007 in Humeur du jour | 11 comments

Les coulisses de "Flesh and Bone"

Ron Moore : « The episode was obviously influenced by the Abu Ghraib incident and all the other examples of prisoners being tortured that were going on in the world. But we wanted to do an episode about the torture of prisoners that wasn’t just : ‘Hey, torture is bad !’ kind of show. We wanted to really make viewers think about the issue, without preaching to anyone about it. We wanted to do an episode that was complicated and also touched upon the larger sort of thematic and theological issues of the show. »

Votez Bartlet.

Ron Moore : « The episode was obviously influenced by the Abu Ghraib incident and all the other examples of prisoners being tortured that were going on in the world. But we wanted to do an episode about the torture of prisoners that wasn’t just : ‘Hey, torture is bad !’ kind of show. We wanted to really make viewers think about the issue, without preaching to anyone about it. We wanted to do an episode that was complicated and also touched upon the larger sort of thematic and theological issues of the show. » Votez...

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Posted by on Mar 13, 2007 in Battlestar Galactica divers | 4 comments

Les coulisses de "Six degrees of separation"

Oh, une petite anecdote tout à fait délicieuse que je connaissais puisque j’ai regardé la série originale ; le mot « frak » est en effet dérivé de 78. Et comme le dit Ron : « There was something elegantly lovely about ‘frak’. I salute Glen Larson for coming up with the word. »

Bien évidemment, la scène des toilettes est de lui. La chaîne était très inquiète et avait envie de tailler dans le vif mais Ron : « Nooo, I know how to do this and make it work. Just trust me ! » Le réalisateur a ensuite ajouté l’idée des visages entraperçus par l’entrebaillement des portes. Et ça a donné une scène mythique.

Oh, une petite anecdote tout à fait délicieuse que je connaissais puisque j’ai regardé la série originale ; le mot « frak » est en effet dérivé de 78. Et comme le dit Ron : « There was something elegantly lovely about ‘frak’. I salute Glen Larson for coming up with the word. » Bien évidemment, la scène des toilettes est de lui. La chaîne était très inquiète et avait envie de tailler dans le vif mais Ron : « Nooo, I know how to do this and make it work. Just trust me ! » Le réalisateur a ensuite ajouté l’idée des visages entraperçus par l’entrebaillement des portes. Et ça a donné une scène...

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Posted by on Mar 13, 2007 in Battlestar Galactica divers | 0 comments

111 : Swag

Honnêtement, j’ai fait une découverte hier soir (puisqu’il faut bien que j’avoue en être arrivée à l’épisode 13) et depuis, y a comme un truc qui s’est cassé. Ca me passe au-dessus, maintenant. Bref, je continue à reviewer tout de même, même si cet épisode est méga-frustrant (et limite chiant) puisque histoire de nous amuser encore dix secondes, on nous fait le coup du flashback.

Au moins cela nous permet-il de découvrir comment Betty a réussi à dégoter ses pilules pour le coeur à son père, ce qui restait un grand mystère depuis plusieurs épisodes : pour cela, elle a dû fourguer un sac Gucci à la pharmacienne…

Honnêtement, j’ai fait une découverte hier soir (puisqu’il faut bien que j’avoue en être arrivée à l’épisode 13) et depuis, y a comme un truc qui s’est cassé. Ca me passe au-dessus, maintenant. Bref, je continue à reviewer tout de même, même si cet épisode est méga-frustrant (et limite chiant) puisque histoire de nous amuser encore dix secondes, on nous fait le coup du flashback. Au moins cela nous permet-il de découvrir comment Betty a réussi à dégoter ses pilules pour le coeur à son père, ce qui restait un grand mystère depuis plusieurs épisodes : pour cela, elle a dû fourguer un sac Gucci à la...

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Posted by on Mar 12, 2007 in Ugly Betty | 6 comments

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