105 : Okay awesome
Ouaaaaarglll. Je baille. Non sérieusement, je baille. C’est quand même moyen intéressant, tout ça. Alors, pour vous, j’ai tenté d’analyser le phénomène soporifique que cette série provoque chez moi à ce stade de la chose. Enfin, par analyse, je veux dire que j’ai passé quelques secondes à y réfléchir alors que j’attendais que le feu passe au vert tout à l’heure. En fait, les personnages sont sympathiques, mais sans plus. Rien ne me pousse vers eux, je ne me reconnais en aucun, ils sont trop superficiels. D’autre part, on ne les voit pas assez chez eux. Je me souviens que Friends, au début, se passe beaucoup chez Monica et Rachel, et ce n’est pas pour rien. On a besoin de les voir évoluer dans leur intérieur, pour mieux les comprendre. Là, ils sont toujours barrés je ne sais où, dans des aéroports ou des boîtes de nuit, c’est nul. Ca craint. Bref, je me suis fait chier. J’ai ri une fois : quand Ted raconte n’importe quoi à la nana parce que sa voix est couverte par la musique, et que d’un coup, la musique s’arrête au moment où il hurle qu’il a pissé dans son froc. C’était super drôle. Le reste, bof.
Ouaaaaarglll. Je baille. Non sérieusement, je baille. C’est quand même moyen intéressant, tout ça. Alors, pour vous, j’ai tenté d’analyser le phénomène soporifique que cette série provoque chez moi à ce stade de la chose. Enfin, par analyse, je veux dire que j’ai passé quelques secondes à y réfléchir alors que j’attendais que le feu passe au vert tout à l’heure. En fait, les personnages sont sympathiques, mais sans plus. Rien ne me pousse vers eux, je ne me reconnais en aucun, ils sont trop superficiels. D’autre part, on ne les voit pas assez chez eux. Je me souviens que Friends, au début, se passe beaucoup chez Monica et Rachel, et ce n’est pas pour rien. On a besoin de les voir évoluer dans leur intérieur, pour mieux les comprendre. Là, ils sont toujours barrés je ne sais où, dans des aéroports ou des boîtes de nuit, c’est nul. Ca craint. Bref, je me suis fait chier. J’ai ri une fois : quand Ted raconte n’importe quoi à la nana...
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