Les coulisses de "Six degrees of separation"

Oh, une petite anecdote tout à fait délicieuse que je connaissais puisque j’ai regardé la série originale ; le mot « frak » est en effet dérivé de 78. Et comme le dit Ron : « There was something elegantly lovely about ‘frak’. I salute Glen Larson for coming up with the word. »

Bien évidemment, la scène des toilettes est de lui. La chaîne était très inquiète et avait envie de tailler dans le vif mais Ron : « Nooo, I know how to do this and make it work. Just trust me ! » Le réalisateur a ensuite ajouté l’idée des visages entraperçus par l’entrebaillement des portes. Et ça a donné une scène mythique.

Alessandro Juliani raconte que James Callis et lui se sont vraiment éclatés à tourner cette scène. « You can imagine the outtakes from that scene. They hit the cutting room floor but they made it into our gag reel. » Oui, je crois me souvenir effectivement que le bêtisier de cette scène est très… vivifiant.

Sinon, le « No more Mister nice Gaius » est signé James Callis. « It just seemed obvious to me ». David Eick avait des doutes, mais finalement, ça passe très bien.

Et pour finir, le sort de Shelly Godfrey sur lequel on s’est tous interrogés (voire engueulés, hum) : eh bien Ron reconnaît que le flou laissé par sa disparition est tout à fait intentionnel. « I thought it was nice to end it on a very disquieting : « What the hell just happened ? » kind of note. You know Shelly was physically there but I wanted to leave what happened to Shelly a mystery at the end of that episode. »

(En plus ça évite de devoir se casser la tête pour lui faire quitter la flotte… )