308 : Flashes before your eyes

Je le savais. J’aurais dû regarder cet épisode hier soir quand j’étais bourrée (j’en ris encore, d’ailleurs)… Non parce que mater Lost, en ce moment, ça s’apparente à regarder un film d’auteur kazakh sous-titré en swahili.

Bon, définitivement, je crois qu’il faut que je renonce à ressentir quelque sentiment que ce soit à l’égard de ces crétins de personnages. Ils sont tous aussi lamentables les uns que les autres. Moi qui aimais pourtant beaucoup Desmond, je me suis presque fait chier. A un moment, j’ai même surfé sur MacBidouille en même temps. Néanmoins, je dois admettre certains trucs intéressants, dans cet épisode, par exemple la reconstruction que Desmond fait de sa vie d’avant (time travel… c’me oooon !) qui aboutit à cette terrible vérité : Charlie va mourir.

En même temps, on se dit (une fois de plus) : tout ça pour ça ? Etait-il bien nécessaire d’assister à cette très pénible demande en mariage avec choix de la bague et photo gnangnan sur faux décor pour le découvrir ? Et cette triste vérité cache un autre constat bien navrant : on ne sait TOUJOURS pas pourquoi Desmond voit l’avenir. C’est ça, Lost. On vous donne un gros bout de pain à rogner et on vous planque le paquet de Pépitos. Honteux.

La photo qui tue…

Beurk.

Dans la série je suis un bichon maltais :

Re-beurk.

D’ailleurs, mon Dieu on n’en voit pourtant pas grand-chose, mais qu’est-ce qu’ils font popote Claire et Charlie. Uh ! A leur âge si c’est pas un malheur !

C’est moi ou il fut une époque où Charlie était vachement marrant ?

Bon, le petit « voyage dans le temps » de Des’ qui finalement, présente une manière un peu plus originale d’exploiter les flashbacks.

Avec cette fois des allusions à l’île mais qui sont donc clairement perçues par l’intéressé. Ca corse un peu toute cette séquence très « quatrième dimension », qui cette fois, donc, n’est pas entrecoupée de scènes du « présent ».

Oh, un nours !

Oh, un Charlie. J’ai trouvé trop drôle qu’il chante « you’re my wonderwall » !!!

Sur le coup, je me suis dit tiens, pourquoi il ne chante pas « you all everybody » ? Eh bien parce que les paroles ont un sens, ma pauvre Sorcière ! Waouh, délire.

Hum.

Est-ce que c’est normal que toutes les blondes se ressemblent, dans Lost ?

Je pense qu’il y a un mystère, là-dessous, peut-être lié à des expériences génétiques menées par Dharma avec des ours polaires et beaucoup de whisky écossais… Non ?

Sinon, le petit rebondissement de fin est quand même marrant. Le pauvre Charlie à qui Desmond explique que c’est lui qu’il sauvait et non Claire et qu’après son petit voyage il a compris que Charlie devait mourir (déjà deux fois) et qu’il ne pouvait pas éternellement l’en empêcher…

Ouais, ça calme net !

On parie que Charlie ne mourra pas ? Ils ne peuvent se passer de Meriadoc Brandybuck, vous dis-je…

Evangeline ne s’en remettrait jamais !