507 : The silence
Ouch, le mort du début est assez terrible… C’est un couple qui va au théâtre, et là, en plein pendant la pièce, le mec se met à tousser, à suffoquer, au point que les comédiens se demandent quoi faire…
Finalement, l’importun décide de passer l’arme à gauche… ça la fout vraiment mal…
Peuvent pas crever chez eux, les gens ???
Nate fait des rêves super bizarres… Où Brenda et Maya ne sont plus dans la maison…
C’est super flippant. Et lui aussi flippe à mort…
Nate : « Where’s my daughter ? Where’s my wife ??? »
Alors POURQUOI, GROS CONNARD ??? (Oups, pardon, j’ai glissé !)
Alors, mauvaise nouvelle :
Nate et Brenda apprennent que le bébé qu’ils attendent (enfin, surtout que Brenda attend) pourrait souffrir de certaines anomalies, genre trisomie et tout ça… Le toubib insiste pour que Brenda fasse une amnio mais elle refuse. Elle s’en fout, de toute façon, elle veut ce bébé et point barre.
Nate est tout de suite beaucoup moins enthousiaste.
Alors forcément, ça clashe. Heureusement, quand tout va mal, on peut toujours compter sur Margaret Chenowith pour vous remonter le moral !
« You think i didn’t want to abort you and Billy ??? »
Du coup, Nate en cause avec cette m’as-tu-vu de Maggie Sibley (qu’on flanquerait bien par la fenêtre), puisqu’elle aussi a eu à gérer un enfant malade…
Et évidemment, Sainte Maggie lui dit que malade ou pas, ces deux années avec son fils, c’était le bonheur, blablabla…
Ah oui, Maggie est une Quaker. Ouarf ouarf ouarf.
Mais alors la suite, attention, c’est trop bon.
Ruth va voir George pour je ne sais quelle raison, s’assurer sans doute qu’il ne s’est pas jeté sous un train. Que nenni ! George veut divorcer illico presto…
Ah bon, qu’elle dit, Ruth. Et pourquoi donc ? Ben parce que George est fiancé et qu’il aimerait bien se remarier de suite !
Ruth : « Boy, I am some fool all right !!! »
Pauvre Ruth. Elle doit se dire que décidément, elle n’était qu’une épouse parmi les 72 que George aura usé pendant sa vie. Et en même temps, on se dit que c’est pas « juste », en fait. Personnellement, je ne pouvais juste pas y croire…
Du coup, enragée, elle cherche à entrer en contact avec la fiancée, et y parvient…
Et elle déballe toute l’affaire, les sept mariages et l’internement de George. La nana a un peu de mal à la croire… Ben oui, qu’est-ce qui lui dit que Ruth n’est pas une folle ?
Ruth : « Do I look like a mad person ??? »
Joy : « Uh… yeah. You look so angry. »
Ruth (chopant un vase et le fracassant par terre) : « I am not angry ! »
Voilà ce que j’aime dans cette série. C’est qu’il y a des sursauts parfaitement vaudevillesques alors qu’on nage dans la tragédie. Super réussi.
A part ça, il y a au moins une personne qui s’épanouit dans sa vie professionnelle et privée…
(Man, I love that kitchen… )
Claire rayonne, en ce moment.
Bon, elle vient de rencontrer Ted, un avocat à son taf. Mignon, mais bon…
A part ça, David tente de se dépêtrer de ses deux gamins adoptifs. Et c’est pas gagné. Le plus grand est une vraie bombe à retardement. Et il est tellement content d’être là qu’il n’a même pas dit à ses deux nouveaux papas que c’était le spectacle de l’école… Du coup, David s’y invite de force et y traîne Keith. Et il est tellement fier, c’est trop mignon.
(L’occasion de nous taper un petit délire spécial David… )
Ce que je trouve génial, c’est qu’à la base, David avait grave craqué pour Anthony, le plus jeune. Au final, c’est avec Durrell, le plus âgé qu’il établit un lien privilégié et totalement inattendu. Je trouve ça admirable de la part de David de parvenir à équilibrer le coup de foudre qu’il avait eu pour Anthony. En fait, ces gamins deviennent les siens instantanément, c’est vraiment très touchant.
David, quoi.
Sinon, je crois qu’il est en train de se passer des choses, chez Nate. Ptain, ce personnage commence à grave m’échauffer.
Qu’est-ce qu’il peut se regarder, ce mec… Sérieux, il se regarde vivre, non ? Tsssss…
non mais franchement, mourir en plein théâtre….
pfffff les gens sont d’un impoli….
En plus, ça coûte cher au contribuable, ça, à tous les coups !
lol!!!!!!
et puis c’est sale, et après il faut consoler la veuve qui chouine, qui empêche d’entendre les dialogues, et qu’on connaît même pas!!!
grmblrmblrmbl
*se rend compte que la série l’a rendue un poil cynique*
Vaut mieux rester chez soi, comme ça, ça risque pas de nous arriver !
Et la fiancée de George, c’est aussi sa mère !