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216 : It’s the end of the world

OH… MY… GOD…

Alors là franchement, je crois qu’on peut sans hésitation considérer cet épisode comme le meilleur de la série. Du moins jusqu’à présent. C’est impeccable… Un sans-faute…

Déjà, le début nous prend totalement à contrepied. Quelle serait la dernière chose qu’on aimerait faire avant de mourir ?

Clairement, pour le petit George, y a pas photo…

Uh uh uh…

C’est plutôt tout marrant. Et quand de retour dans la réalité, Meredith fait des histoires parce qu’elle ne veut pas se lever et qu’elle a un mauvais pressentiment (genre qu’elle va mourir), on a juste envie de lui tirer une paire de claques pour la mettre debout et de lui dire d’arrêter un peu ses conneries. Ah ben d’ailleurs, c’est exactement ce que fait Cristina…

A l’hosto, le tableau des patients est bien vide. Mauvais signe. Et comment. Voilà une ambulance qui débarque et tout le monde de tirer une tronche de trois pieds de long. On en extrait un mec avec le torse complètement déchiqueté, et sa femme, hurlante… Tellement hurlante que pendant vingt minutes, plus personne ne s’entend. Jusqu’à ce qu’Alex se mette à hurler plus fort qu’elle. Malgré la situation, j’ai trouvé cette scène férocement hilarante.

Alors qu’Alex prend en charge l’épouse au bec enfin cloué, le docteur Burke (looooove) s’occupe du pauvre type qui devrait déjà être saigné à blanc si une brave petite « paramedic » n’avait pas fourré sa main dans sa poitrine pour bloquer l’hémorragie…

Mais pendant qu’il interroge sa femme sur l’origine de ce carnage, Alex découvre un truc pas possible (et que je n’avais PAS DU TOUT vu venir) : en fait avec son pote, ce bon monsieur s’amusait à fabriquer des reproductions d’armes de guerre… Et la dernière en date ne lui a pas porté chance puisque le pote en question lui a tiré dessus par erreur. En se renseignant, Alex découvre aussi qu’en fait, il n’y a pas eu d’explosion. Le blessé a encore un morceau d’explosif qui n’a pas sauté à l’intérieur de la poitrine. J’adore la scène où Alex traverse tout l’hosto en courant comme un fou pour empêcher Burke et son équipe, sur le point de commencer l’intervention, de dégainer le scalpel. C’est palpitant.

(Et j’ai même trouvé Alex très beau, dans cette scène, c’est dire… )

Et voilà, c’est ce qu’on appelle un Code Black. Evacuation totale de toute l’aile chirurgicale. Et les petits bleus n’y comprennent rien. C’est vraiment la panique.

Sauf que voilà, pendant ce temps, l’amie Bailey, rentrée chez elle depuis un moment pour préparer son accouchement (Bailey enceinte, c’est vraiment fameux) revient là pour mettre bas. Et ça se passe pas tout seul. Mieux encore, son mari venir lui prêter main forte (et sans doute se prendre quelques baffes dans la gueule) se fout en l’air je ne sais comment (accident de bagnole ?) et se retrouve lui aussi sur la chaise de torture pour se faire drainer la cervelle sanguinolente. Le cas échoit à McDreamy qui bien sûr tremble dans ses braies d’assassiner le mari de Bailey.

De son côté Madâme McDreamy n’ose pas annoncer ça à Bailey. Et celle-ci refuse d’accoucher tant que son bonhomme n’est pas là, quitte à serrer très fort ses petites cuisses dodues.

Du côté de chez Burke, on a renvoyé tout le monde sauf la « paramedic » qui malheureusement ne peut pas retirer sa petite main qui touche l’explosif (Christina Ricci, mon dieu, ma chérie, mais qu’as-tu fait ? On ne t’a jamais dit que ne pas manger, c’était mauvais pour la santé ? Moi qui te trouvais si belle, avant… ) et l’anesthésiste…

Et surtout, on a appelé une équipe de déminage histoire de faire un truc.

Donc pendant que Burke s’entretient avec ces braves gens pour savoir quoi faire, Christina se retrouve face à l’anesthésiste, qui, si je ne m’abuse, est le même qui avait déjà fait un coup de trafalgar un peu plus tôt.

Cette scène est terrifiante. L’anesthésiste a tout débranché histoire de faire respirer à la main le blessé, avec le petit ballon. La gosse a la main à l’intérieur du gars. Ils discutent un peu. Pas très gai, d’ailleurs, le coup de la « bloody rain ». Et d’un coup, sans autre forme de cérémonie, l’anesthésiste lui demander d’appuyer sur le petit ballon, sans doute pour se reposer un peu. Croit-on. Et là, ce bougre de gros enfoiré fout le camp. Il sort tranquillement, se retourne vers la petite avec ces mots : « I’ve got kids », et se barre.

Horrible…

En passant par là, Meredith et Cristina (qui décidément n’ont rien à foutre ici) aperçoivent la jeunette toute tremblante et toute seule, et dans une grande confusion, la petite pète un câble, enlève sa main, au risque de faire péter le truc et de faire crever le malade, et se barre en courant.

Et qui se retrouve avec la main à l’intérieur du gars qui risque d’exploser ?

Cette connasse de Meregourde. Argh !

Rudement efficace, tout de même. Eh bien je m’en vais mater la suite…

Posted by on Sep 22, 2006 in Grey's Anatomy | 8 comments

8 Comments

  1. ta pas reconnu le démineur ? C’est Kyle Chandler de "Demain à la une" (ouais le journal du lendemain)

    C’est grave tendu cte épi, j’espère que les dvd de la s2 vont vite sortir pour que je puisse me rematter ça, parce que c’est un truc de fou…C vrai que c’est le meilleur de la série !

  2. Si je l’ai reconnu, mais j’aimais pas Demain à la Une, je l’ai surtout reconnu parce qu’il a joué dans King Kong, récemment…

  3. oui c vrai, je l’avais adoré dans ce film, il me faisait bien rire (le coup du peigne mdrrrr)

  4. Ah mais ce zode, il est cultissime ! La suivant aussi, je l’aime beaucoup. Bon, bine sur, l’intrigue retombe un peu, mais y’a des scènes qui sont vraiment très bonne (mais j’en reparlerai quand tu l’auras vu ^^)

    Et pour le coup du rêve de O’Malley… bon, ok, c’est sympathique mais perso, me retrouver sous la douche avec ces demoiselles… bof bof quoi… heureusement qu’il existe une autre version 😉

    http://www.youtube.com/watch?v=l...

  5. XD ! Mais c’est trop fort arf !

  6. Haaaaaa, je connaissais pas, excellent 😉

  7. Ca mérite un billet !!!

  8. Ah, je savais que ça plairait ça !… Espèces de petites perverses voyeuses va ! ^^ (enfin, ça c’est mon côté moraliste qui parle, parce que la lucidité me dit qu’on a bien le droit à un peu de rêve dans ce monde de brutes !)

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