306 : The real world
Tout d’abord, je suis super contente que Torri ait eu un épisode où elle navigue pratiquement en solo pendant la moitié du truc. Franchement, elle est superbe. Belle prestation de sa part. Ensuite, question originalité, mmmh… du vu et du déjà vu. Ce n’est pas très grave, cela dit, parce que l’exercice est sympa. Mais je ne peux pas m’empêcher de me souvenir de la jubilation éprouvée devant deux épisodes similaires de Farscape. Les deux où John croit être de retour sur Terre, dans la saison 1 et la saison 2 (je crois bien… ). Donc oui, l’exercice est sympa, ça change un peu de ce qu’on a l’habitude de voir dans Atlantis, il faut bien l’avouer. Et même si le dénouement est assez convenu, il faut bien avouer que c’est super mignon, quelque part. Et assez révélateur, non ?
En plus de ça, je trouve qu’ils font vraiment des efforts de réalisation, dans les derniers épisodes. Pas de quoi non plus sauter au plafond d’originalité, mais plaisant et moins planplan que d’habitude…
Evidemment, toute la première partie avec Elizabeth qui hallucine dans son asile de tarés est vraiment épatante. C’est tellement rare de la voir dans ce genre de situation, elle qui contrôle toujours tout avec un tel sang-froid.
En plus, Torri est une actrice vraiment gracieuse et classe… Un bonheur de la voir évoluer en solo comme ça…
Je savais déjà que Jack apparaissait dans cet épisode, donc pas de surprise. Comme dans l’épisode de la première saison où tous pensent être de retour sur Terre et où Hammond les accueille, je m’interroge quand même quant à la pertinence de l’apparition de ce vieux RDA, mais bon. Pourquoi pas, après tout. Et ça fait plaisir de le revoir un petit peu. Même si quelque part, c’est pas lui, quoi.
La lente décomposition du personnage qui croit sombrer dans la démence est assez géniale… Ouais, vraiment, Torri est béton…
L’occasion aussi de découvrir Madame Maman Weir… Ca paraît presque décalé, en fait. Limite on a envie de dire : « Wowoh ! Je voulais pas en savoir autant, moi ! »
Faut dire qu’on n’a pas franchement l’habitude, hein ?
Bon, le toub’. Très très bien, le toub’. Et en plus, c’est pas n’importe qui, s’il vous plaît. C’est Alan Ruck, et même qu’il a joué dans un Star Trek !
Le duo fonctionne à merveille…
Et juste au moment où on commence à râler parce que merde, on voudrait bien voir un peu Sheppi et les autres, qu’est-ce qui débarque ? La petite bouille rongée d’inquiétude de notre larron préféré. Uh uh uh…
Il est tout mignon Flanichou dans cet épisode. Blague à part, dès le début j’ai capté que c’était lui que Zaza voyait apparaître partout. Faut dire que je l’espérais assez fortement. Ahum.
Ben embrasse-la, pauvre crétin !
Ca a bien marché pour cette nouille de Belle au Bois Dormant… Ah je vous jure, les princes charmants, de nos jours…
Elle est pourtant bien jolie, la princesse Zaza enfermée dans son donjon…
Je dois bien avouer que j’ai trouvé la fin un poil facile… Certes, c’est chou que ce soit Shep qui vienne l’arracher à tout ça, mais bon… Et encore une fois…
Shep : « Mouhahahah, c’qu’on s’marre, hein, ma Zaza ? »
Zaza : « Ta gueule, ou je t’embrasse. »
Arrrrgllll…
(Vous pardonnerez les quelques ellipses de mon récit, mais ça fait trois jours que j’ai vu cet épisode, donc il y a moyen que je sois limite à côté de la plaque. Voilà. Gni. Uhuh.)