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112 : Clash of the Tritons

Ptain, dites-moi ! C’est la saint chouchou !!!!

Bon ben tout couillon qu’il soit, le ptit Logan, il était quand même sacrément accro à sa Lilly… Et on sait maintenant pourquoi il était tellement après la peau de Ronnie… Connerie d’histoires d’ado. C’est émouvant de voir ça, tout de même… Pauvre biquet qui s’en veut… Bouh… 🙁

Sinon, ben dites donc… y en avait un autre qui en pinçait pour la Lilly !!!

Et Veronica qui dégringole de très haut en écoutant tout ça… Oui, ma vieille, vlan dans tes dents aussi que si Lilly est canée, c’est un peu ta faute… Eh ouais… Si t’avais pas cafté que Logan (du reste très amoureux de sa Lilly) avait égaré sa langue dans la bouche d’une autre gonzesse, ben Lilly n’aurait pas été toute seule ce soir-là… uhuh.

C’est bizarre… Logan n’est pas un connard… du tout… et d’ailleurs, pinaise, comment il défend sa mère, c’est… waouh… Ca doit être absolument horrible d’entendre toujours les réflexions des mecs de Neptune High sur sa bonnasse de reum…

Sans compter le père qui est un sinistre abruti méchant comme une gale… Aaron Echolls, vlan dans ta gueule… T’arrête de traiter ma mère comme ça ou je te tue ! (Euh, chou… carrément ?)

J’adore les bad boys au grand coeur, moua…

Mais au final, chouchou n’a pas fini d’en chier… parce que n’en pouvant plus de cette life de ouf, mom décide de planter là la Corvette et de faire le grand plongeon…

Pauv’ choupi qui visiblement, malgré tout, aimait beaucoup sa maman… 🙁
Me demande comment il va gérer ça… Et avec qui ?

En revanche, Duncan est toujours aussi con. Voire encore plus, ce qui est assez remarquable pour être souligné…

Très bien cet épisode… Plein de révélations…

Posted by on Juil 5, 2006 in Veronica Mars | 3 comments

3 Comments

  1. Gnégnégné !!!

    Bien ouej, le coup du bilan émotionnel un an après… Et pis ça avance à grand pas…

    Et à noter une incohérence énorme puisqu’on voit Logan dans l’intro alors qu’après le générique on le voit revenir au lycée…

  2. Pauvre Logan, on aurait envie de le prendre dans les bras et de la cajoler, pauvre petit coeur !

  3. Rhalala, quel abruti ce Aaron Echolls…

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