318 : Stirred
Ouhlà, je suis de mauvais poil, aujourd’hui !
Bon ! Que Leo et Hoynes assistent à des réunions d’alcooliques anonymes, ça, on le savait déjà… depuis longtemps… mais il était temps d’approfondir la chose, surtout au sujet du vice-président qui reste un homme assez mystérieux (but soooo sexy !)
Première scène, donc : « I’m John. I’m an alcoholic. »
Vlan !
Ca fait un choc, tout de même.
Sam a pour mission de sauver un projet de loi qui tient très à coeur au vice-président et dans lequel il s’est beaucoup investi.
On the other side, des estimations montrent que Bartlet a plus de chances de gagner les élections SANS John Hoynes sur sa liste ! Aïe aïe aïe, ça pue ! Pire encore, il risque de perdre le Texas et la Floride alors que Hoynes y était très populaire. Et encore pire, paraît que Fitzwallace serait un meilleur vice-président potentiel…
Et attention, en y réfléchissant, on pourrait même envisager Leo à la vice-présidence. S’il n’y avait pas l’histoire de l’alcoolisme. Et là, Leo, il tique. Parce que lui il sait que Hoynes est un alcoolique repenti. Mais ça, personne ne le sait. Et encore moins l’opinion publique. C’est énervant…
Bon sang, mais qu’ils fassent un sondage ! Mais que fait Joey Lucas ???
Ce qui est marrant aussi, c’est que Hoynes croyait dur comme fer que Leo avait vendu la mèche à Jed. Point du tout ! Leo a toujours gardé le secret ! Du coup, Hoynes, qui vient quand de renoncer à enlever son nom du projet de loi pour qu’il puisse passer, fonce tout droit jusqu’au bureau ovale pour déballer le truc.
Et quand il le dit au président :
« Is there anybody who is not ??? »
D’ailleurs, Hoynes a arrêté de boire à l’âge de 22 ans (ô sweet lord, ce qu’il devait être craquant à cette époque !!!), et depuis il n’a JAMAIS retouché un verre. Ptain… Et plus encore, il a très bien compris qu’on envisageait de le remplacer. C’est un brave, Hoynes, pas un grand, mais un brave.
Oui mais non… Jed ne veut pas se passer de lui.
Pourquoi ? Quatre mots qu’il griffonne sur un papier…
Pendant ce temps, dans l’aile ouest, Donna casse les miches de Josh à longueur de temps. Pourquoi ? Parce que sa prof préférée prend sa retraite et qu’elle aimerait que le président lui décerne une distinction particulière…
Oui mais Josh, il estime que ce serait mal d’offrir ce genre de distinction à cette dame parce que son ancienne protégée bosse à la Maison Blanche. Donna est dépitée…
Seulement Josh, même s’il l’envoie sur les roses, parce que bon, y a des choses plus urgentes à gérer, en plus de ça, ben sans rien dire, il fait passer un petit papier au président… qui finit par faire venir Donna dans le bureau ovale… De là, le président prend une communication. C’est justement la prof qu’il a fait appeler. Et là, Donna lui explique qu’elle téléphone depuis le bureau ovale, à côté du président des United States of America. Et là, le prés’ commence à papoter avec la prof, tout ça, lui pose plein des questions… Trop mignon… Et trop sympa… Merci Josh…
J’avais très peur qu’on ne sache pas quels sont les quatre mots inscrits par Jed sur le papier. Mais lorsque Leo va annoncer à son équipe que Hoynes reste à bord, il leur montre aussi le papier qui explique pourquoi : « Because I could die ».
Ah !… ha ha !… Je savais bien qu’elle te plairait, la scène des 4 mots sur un bout de papier…
Moi ça m’a marqué. Bien entendu, je ne crois pas une seconde que Bush Jr a pu un jour faire quelquechose de semblable avec Cheney, mais dans une série, c’est joli.
Quant à ce brave Hoynes, si tu savais ce qui va lui arriver !!!!!!!
T’es méchant !!!!