219 : Bad Moon Rising

Mon Dieu. Encore un épisode sur lequel j’ai tartiné des pages et des pages.

Bon… j’apprends que Bartlet a reçu un prix Nobel ? Tranquille, Basile ! D’économie, je suppose ? Puisque son rayon, à la base, c’est l’économie.

Là, surtout, pépère, il a rencard avec le nouvel avocat et conseiller de la Maison Blanche, Oliver Babish… Dommage que Tribbey soit parti, il était terrible ! Mais Oliver Platt, il est plutôt classe aussi !

Donc, Jed va trouver Babish, accompagné du fidèle Leo, pour faire le tour des risques juridiques qui entourent son état de santé. Evidemment, le but du jeu étant d’essayer de chercher la faille avant que la presse ou les républicains ne le fassent. Tout document signé, donc, de la main de Bartlet, où il aurait menti ou omis de mentionner sa maladie.

Ca ne l’amuse pas beaucoup, le président, mais c’est indispensable. En tous cas, pour le moment, tout est clair. Pas de document controversé en vue… pas d’assurance-vie ou de truc de ce genre qu’il aurait signé sans mentionner son état de santé.

Du côté des conseillers, il me semble qu’il va commencer à être temps de déballer la chose, parce que depuis la salle de réunion, Josh observe Toby qui s’énerve grave après ses assistants. Et il sera sûrement le prochain à découvrir le pot aux roses si Bartlet ne l’annonce pas sous peu.

(J’adore compter les rides sur son grand front… )

Réunion de crise menée par Josh, en fait, parce que le Mexique est en plein crash boursier, et qu’il faut prêter main forte. De préférence avec des dollars… « Let’s find some money ! »

Sam est tout mignon en ce moment. Pas forcément plus intéressant que d’habitude, mais tout mignon.

Ca me fait toujours délirer que ce soit son nom qui apparaisse en premier au générique, mais bon. On va dire qu’il fallait une belle tête connue pour lancer le truc…

Moi je trouve quand même qu’il va souvent voir Ainsley dans sa cave… ouaip… Mallory McGarry a intérêt de mettre le turbo si elle veut pas se le faire souffler par la blonde républicaine casse-couille…

Je trouve ça cool tout de même qu’il s’entende bien avec elle. D’autant qu’elle l’a mouché plus d’une fois, et je crois que c’est quelque chose qu’il apprécie, chez les femmes… qu’elles soient capables de le moucher. Et en la matière, je crois qu’Ainsley est sacrément forte. D’ailleurs, c’est comme ça que Leo l’a repérée. Lorsqu’elle a mouché Sam sur le plateau de télé. Et Sam se fait rarement moucher de la sorte. Commence à faire son trou, la miss.

Ce que j’aime bien avec Josh et Donna, hors les moments de complicité qu’on leur connaît, ce sont les explications des différents dossiers. C’est souvent quand ils en débattent que ça les met à notre portée. Généralement, Donna arrive avec un « oui, mais… » et Josh contre-argumente. Parfois l’inverse. Donna m’épate. Elle a peut-être pas fini sa fac pourrie du Wisconsin, mais franchement, elle percute assez vite. Et je suppose aussi qu’en osant en débattre avec Josh, elle cherche aussi à lui prouver qu’elle capte tout ça, et à l’impressionner un petit peu…

De son côté, le petit Charlie remplit ses inscriptions à la fac… Et d’un seul coup, en remplissant les dossiers, bam… il percute…

Il demande tout de suite à Margaret d’interrompre Leo, peu importe ce qu’il est en train de faire, pour le voir en privé.

Sapristi !!! Charlie est au courant de la maladie du président !! Leo est sur le cul ! En fait, Charlie lui explique que quand on n’est pas majeur, pour entrer à la fac, il faut la signature d’un parent. Et il y a toute une partie sur les antécédents médicaux de la famille ! Et comme Zoey n’était pas majeure en entrant à la fac, Jed a signé le dossier !!!! C’est mort !

Bon, une petite scène rigolote pour détendre un peu l’atmosphère. C.J. interroge un peu tout le monde pour savoir qui est à l’origine d’une fuite à la presse. Pas très grave mais sérieuse, et il faut savoir qui a cafté sur je ne sais plus quel dossier. Et c’est au tour de Donna d’être interrogée…

Donna : « I can’t lie like this anymore. »
C.J. : « Are you saying it was you ? »
Donna : « I feel horrible. I should’ve said something before, but I was afraid of what you’d… »
C.J. : « No, it’s okay. »
Donna : « No, let me get this off my chest. It was me. I called Terry Cashin. »
C.J. : « Why ? »
Donna : « I don’t know. Why does anybody do anything ? »
C.J. : « What are you talking about ? »
Donna : « I’m a madwoman, C.J. And it doesn’t stop with the leak. »
C.J. (horrifiée) : « What do you mean ??? »

Donna : « Call the authorities. Send them to my parent’s house in Madison. »
C.J. : « Why ? »
Donna : « They’ll find the Lindbergh baby in the basement. »
C.J. (qui percute qu’elle se fait balader) : « Okay… »
Donna : « Also some post-its reminding me where I put Jimmy Hoffa. »
C.J. : « Get out ! »
Donna : « I framed Roger Rabbit !!! »
C.J. : « Get out ! »

loooooooooooool ! Pauvre C.J. ! Souffre-douleur !

Bon, pour en revenir à Charlie. Le président découvre donc que Charlie est au courant, et trouve que sa plus jeune fille aurait pu être plus discrète. En fait, Charlie avoue que c’est la première dame qui l’avait chargé de veiller à la santé de Bartlet.

Pauvre Charlie, tout cela a tellement l’air de lui peser…

Et pauvre Jed qui sait maintenant qu’il existe une faille…

Bartlet : « We won’t discuss this any more for the time being. It’ll be public soon enough. And the more conversations you have with me, the more lawyers you’re gonna have to talk to, and they bill in an hour what you take home in a week, so we won’t discuss it except to say this you’re gonna be subpoenaed. I’m confident in your loyalty to me. I’m confident in
your love for me. If you lie to protect me, if you lie just once, if you lie just a little, if you lie ’cause you can’t stand what’s happening to me and the people making it happen, if you ever, ever lie… you’re finished with me, you understand ? »

🙁

Zou, direct chez Babish… qui déclare que maintenant, la première chose à faire est d’annoncer au staff la chose… puis de la rendre publique.

Nom de Zeus !!!!!