117 : J-Cat
Rien de tel qu’une énorme journée de travail pour goûter le bonheur d’un bon verre de vin, d’un repas au calme… et de la perspective de parler un peu de Prison Break…
Nous avons quitté notre Fish fort marri d’avoir perdu une partie de son plan… Mais ce n’est pas la seule emmerde que sa brûlure a provoquée… Sara a trouvé un morceau de tissu d’uniforme incrusté dans sa peau… et elle en déduit immédiatement que Michael s’est fait molester par un des gardiens. Direct le bureau de Pope…
Mais Michael n’a pas l’intention de parler. Moralité, il se retrouve au trou…
A propos de trou, c’est la merde aussi du côté de nos travailleurs… Ils ont laissé une ouverture béante sous le tapis dans le local où ils bossaient, et sans Fish pour aller la combler habilement et discrètement avant que les poseurs de moquette ne débarquent, il n’y a que Susucre qui puisse y avoir accès. Il décide d’aller relever le défi. Mais pour cela, il faut que T-Bag aille se taper une drag-queen. By the way, j’adore trop sa démarche et son : « Hey sister, your bloomers are showing ! »
looool !
Mission accomplie, le voilà avec la culotte de madame dans sa poche…
Tout ça pour qu’une fois pincé, Susucre, qui n’a pas la malice de Fish mais qui n’est tout de même pas le dernier des crétins, puisse pleurer misère en disant que sa copine voulait simplement lui balancer sa petite culotte par-dessus le mur. Trop fort !
Au fond de sa cellule d’isolement, Fishounet commence à péter un câble, à cogner les murs, avant de devenir un vrai légume…
L’occasion une fois de plus pour Sara de montrer une sollicitude certes adorable, mais de plus en plus gnangnan…
Sauf que cette fois, elle l’envoie chez les loufdingues. Limite on le plaint, on le comprend de s’effondrer maintenant, après tout ce qu’il a fait pour faire évader son frère et…
Attendez une minute ! Dis donc, garçon ! Tu te serais pas foutu un peu de notre gueule, non ?
Et siiii ! En fait Fish vient chercher le seul mec qui a compris tout seul à quoi servait son tatouage… Et qui en avait fait une obsession au point de le dessiner sur des milliasses de feuillets volants…
Problème…
Haywire : « Who are you ? »
Ouarf ouarf ouarf !
Bonne chance, gamin !