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321 : E²

Purée, encore un EXCELLENT épisode ! Franchement, elle déchire cette fin de saison. Ahlala, il n’y a bien que dans Star Trek qu’un équipage entier va rencontrer ses descendants tous embarqués à bord du même vaisseau !

En tous cas, m’y attendais pas, à celle-là !

Bon bref… ça commence avec la bougie, tout ça, m’attends donc à voir Paulette sur les genoux de Trip ou un truc du genre… Pas du tout ! On a une Paulette version ancêtre qui cause avec un autre Vulcain. Bon, ok, très bien… Attendons la suite.
D’autant que nos potes de l’Enterprise sont supposés se rendre au conseil xindi.

Ah, après le générique, on a de nouveau le coup de la bougie… Ah mais cette fois, c’est la vraie T-Pol qui est dérangée par Trip qui a encore des insomnies. Elle lui annonce froidement que ce serait peut-être mieux d’arrêter les séances, gnagnagna, qu’il se débrouille très bien… Alors forcément, Tucker, il déballe sa salade. Qu’en fait il dort très bien mais qu’il est un peu inquiet pour elle, tout ça, qu’elle passe beaucoup de temps dans sa chambre, qu’elle mange toute seule, bref, il est inquiet. Vlan, Paulette se trouble.

Oh my god, Trip est inquiet pour elle, it iz zi end of ze haricots.
Sérieux, on croirait qu’elle est sur le point de se faire dévorer vivante !!

Quelle dinde…

Bon, du coup, Trip lui dit que ben euh, il se rend compte qu’elle l’évite depuis que euh… euh…

Paulette : « We had sexual relations. »
Trip : « Sounds romantic when you put it that way ! »

Ptain, il a de la constance, Trip, moi je l’enverrais bouler proprement, Miss Frigo !!
Enfin bref, et la chanson repart, que de toute façon, c’était juste pour voir, que c’était pas le début d’une relation de quelque genre que ce soit, gnagnagna. Pas de souci qu’il dit, Trip, mais bon, il veut juste l’aider parce qu’elle lui a été d’un grand secours quand il avait besoin, qu’il est reconnaissant, bref, il veut lui renvoyer l’ascenseur parce qu’il voit qu’elle est pas en forme…

Tsss, il est vraiment trop gentil avec elle, elle le mérite vraiment pas.
Couillonne… Elle est gênée, c’est à mourir de rire.

T’Pol : « I am fine. »

Bon… Eh ben on n’est pas dans la merde !

Paulette, ma fille, tu mérites des claques, tu sais ?? Regarde-moi ce beau gosse, là, tout gentil, qui demande qu’à s’occuper de toi… hinhin ! Un pas en avant, deux pas en arrière…

Bon, donc le Vulcain qu’on a vu au début, ce serait le capitaine d’un Enterprise euh… venu du futur ou du passé, moi les histoires de timeline, j’y comprends rien. Là, en fait apparemment, c’est l’Enterprise d’Archer qui s’est paumé dans un couloir de la nébuleuse de je sais pas quoi et qui a reculé de cent ans. Du coup, l’équipage de cet Enterprise est composé des descendants de l’équipage originel. Et sa mission était d’empêcher, cent ans après ce retour en arrière, l’envoi de l’arme qui a détruit la Floride. Râpé. Donc là, ils viennent donner un coup de main, et surtout empêcher Archer de se paumer dans ce couloir. Le problème c’est que s’il ne passe pas par là, il ne sera jamais au conseil xindi dans les temps.

Ca fait quand même tout drôle !

Donc depuis cent ans, les descendants de l’équipage sillonnent l’Etendue Delphique, quoi. Forcément, ils ne peuvent pas rentrer sur une Terre qui n’a même pas encore rencontré d’extra-terrestres et qui est encore loin d’avoir développé la technologie de distorsion. Alors ils ont attendu leur heure.

Et là, T’Pol émet des doutes quant à la véracité de cette histoire…
Et le Vulcain, Lorian, lui sort :

« You’ve hardly changed, Mother. »

LA SALOOOOOOOPE !!

T’Pol : « I beg your pardon ? »

Et là mon cerveau qui va à cent à l’heure est en train de se demander de qui ce gus peut bien être le fils. Et pas un instant l’évidence ne me frappe !

Han ! Sacrément beau, le fiston…
J’aime trop les Vulcains…

Et c’est comme ça que Jonathan rencontre son arrière-petite-fille qui est mâtinée d’on ne sait pas trop quoi et qui est l’officier en second du fils de T’Pol. C’est pas beau, ça ?

Mais tout de même, Jonathan demande à Phlox de jeter un coup d’oeil sur le ptit ADN de ces gens-là, histoire d’être sûr. Et ça correspond parfaitement, d’ailleurs, il découvre que Lorian est à moitié humain… et que le papa n’est autre que Trip !
Bien entendu, T’Pol est au bord de la syncope.

Daaaaallaaaaaas, ton univeeeers impitoyaaaaableuh !

Je me demandais comment Trip allait prendre la chose…

Trip : « It’s a strange thing. I look at you and I see my father… right here, around the eyes. Now the ears… those are your mother’s ! »

looool ! Il m’épate, ce garçon, il est tellement cool ! D’ailleurs son fils a l’air de trouver ça drôle aussi, et Trip s’émerveille de le voir sourire à sa blague.

Ouch, apparemment, Trip est mort quand son fils avait quatorze ans… Han, c’trop triste !

Trip : « It couldn’t have been easy growing up without the old man around. Sorry I wasn’t there. »
Lorian : « You were a good father. It’s strange being able to tell you that. »

Pendant ce temps, Jonathan se balade à bord de l’autre Enterprise avec sa descendance, et s’amuse de voir passer un petit Dénobulien…

« Many of our crew are descendants of Phlox. »

Selon les scènes coupées, ils sont même une trentaine !

Bizarre. Autant j’arrive à voir T’Pol et Trip en Lorian, autant je ne vois pas du tout Jonathan chez cette petite demoiselle.

Jonathan va rendre visite à la vieille T’Pol.
Trop drôle de voir tout le monde se renseigner sur son futur statut marital !!!
Hoshi qui apprend qu’elle a deux enfants.
Travis qui découvre qu’il épouse une MACO.
Et ce pauvre Malcolm qui bien sûr reste célib’ et qui du coup se dépêche de draguer la première blonde qui passe !

Han !

L’est trop chouette !

Mais apparemment, avec sa manman, ça se passe pas tout seul… Pas très réussie, d’ailleurs, la vieille T’Pol… Franchement, Jolene a trop un visage impossible à vieillir…

Bon, et nos amants terribles, alors ? Que pensent-ils de tout ça ? lol, attention, encore une scène d’anthologie…

Trip : « Who’d have thought… you and me, uh ? »

(je suis déjà explosée de rire… pas à dire, il a de l’estomac, tout de même…)

Il commence à raconter à Paulette tous les détails concernant leur mariage, le voyage de noces et tout. Et c’est limite si on voit pas de la vapeur sortir des naseaux de Madaaaaame Tucker !!

Ben n’empêche, Trip il y voit clair. Il lui dit qu’elle a peur de s’avouer que dans des conditions normales, elle pourrait avoir des sentiments pour lui… et que peut-être même que c’est déjà le cas !
Aïe, ça, Paulette, elle risque de pas aimer… Et voilà, contre-attaque en dessous de la ceinture, naturellement…

T’Pol : « I should have known this was a mistake. »
Trip : « What ? »
T’Pol : « Exploring human sexuality with you. You’re obviously unable to have a physical relationship without developping an emotional attachment. »

(Je pense que si elle pouvait disparaître à l’intérieur de ce mur, elle le ferait… )

Trip : « You know, all the other women on board must’ve been taken ! Cos’ I can’t imagine why I would marry someone as stubborn as you !! »

Mais rendez-nous notre Paulette qui fait péter le peignoir et les bisous baveux, bordel !

Bon, mais tout ne se passe pas pour le mieux dans le meilleur des mondes… Et l’équipage de l’Enterprise-bis décide de passer à l’action parce que Lorian ne veut pas risquer de rater sa mission, à savoir empêcher Jonathan de se planter une seconde fois dans le couloir. Et du coup, nom d’un chien, il descend son vieux d’un coup de stunner.

Aïe ! J’ai mal à mon Oedipe !

En fait le brave garçon se sent totalement coupable d’avoir raté la mission qu’il était voué à accomplir depuis toujours : empêcher la première attaque. Mais il a manqué son coup. Et au dernier moment, il a été incapable de jeter son vaisseau contre l’arme pour l’arrêter, incapable de sacrifier son équipage.

Brrr… en plus il explique à Jonathan que sur son lit de mort, celui-ci lui a fait promettre d’empêcher la catastrophe…

Bon, T’Pol va rendre une petite visite à sa version vieille. Qui lui conseille naturellement de se lâcher.

Et qui lui fait comprendre qu’elle va devoir apprendre à vivre avec ses nouvelles émotions. Et que Trip peut lui être d’une grande aide et qu’elle doit lui faire confiance. Elle est bien, cette mémé…

Evidemment Paulette nous fait le coup de l’effarouchée. A vrai dire, Paulette ne sait pas trop ce qu’elle veut.

Rah pitain ! L’Enterprise-bis qui se sacrifie pour sauver l’Enterprise, pour l’aider à traverser la nébuleuse sous l’attaque des vilains contre qui Degra avait mis Archer en garde ! Naaaan !

(Crotte, c’est juste impossible de faire des caps des batailles, bordel !)

Et maintenant, rendez-vous au conseil xindi ! Plus que trois épisodes !
En tous cas, c’était bien, drôle, palpitant, et émouvant…

Deux scènes coupées, celle où Phlox est ravi de se savoir à la tête de trente descendants et où on a une petite allusion marrante à l’Enterprise du futur qui abritera l’équipage et leurs familles, et l’autre qui est la suite de la conversation entre Trip et son fils, où il en profite pour demander comment T’Pol et lui en sont arrivés à se marier. Lorian lui dit qu’il ne sait pas trop, que sa mère ne parle pas souvent de lui parce que c’est trop douloureux. Et là :

Trip : « Doesn’t seem like we’re talking about the same T’Pol. »

Ben c’est peut-être pas le cas, en fait. Le fait d’être resté bloqué cent ans en arrière a peut-être changé beaucoup de choses… Enfin bon, la saison 4 nous le dira, je suppose. Mais je ne les vois pas terminer « happily everafter ». Nan, ça, ça m’étonnerait bien…

Encore trois épisodes, bordel, j’en verrai jamais la fin de ce truc !!

Posted by on Mai 7, 2006 in Star Trek : Enterprise | 0 comments

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