302 : Anomaly

Porthos !! Ben quoi ? Ca faisait longtemps qu’on avait pas vu chti’ pépère !

Ptain, moi ça me fait toujours bizarre de les voir tous tranquilles s’habiller dans la même salle, mecs, nanas, capitaines… Je sais que ce sont des situations d’urgence, mais je crois que ma nature de mateuse prendrait le dessus malgré tout !!

N’empêche, je trouve Jonathan bien sombre. Limite obsessionnel. Enfin bon, c’est bien pour le développement des personnages.

Mmmh, le vaisseau est envahi par des pillards. Sympa l’Etendue Delphique, on y rencontre des gens charmants, polis, des crèmes !

‘Tention, Trip, quand on touche à ses réacteurs, il aime pas !
Sauve-toi, ma biche !

Pauvre Jonathan. C’est pas bon pour son ulcère.
Encore des morts à bord de l’Enterprise.

Eh ben vous savez quoi ? Même pas je savais qu’il y avait un gnouf à bord de NX01.
Ca, celui du Galactica, on le voit tellement souvent que limite on se demande ce qui se passe quand Adama ne nous sort pas son « get that thing into the brig ».
Ben là…

Jonathan qui s’occupe lui-même d’interroger le prisonnier. J’en rigolerais presque s’il ne me faisait pas sursauter chaque fois qu’il se retourne, depuis quelques épisodes…

En fait, Delphic Expanse me fait un peu penser à Uncharted Territories dans Farscape. Un vrai coupe-gorge, quoi.
En gros, quand on se pointe là, vaut mieux s’adapter rapidos si on veut pas y laisser sa chemise… voire sa couenne.
Visiblement, les E.T. qui ont plumé l’Enterprise étaient des gens bien sous tous rapports… avant…
Ca promet pour nos petits Terriens quand ils vont trouver la sortie. S’ils la trouvent un jour.

Lol, très mignonne la petite scène entre Trip et Malcolm, à la cantoche. Pas très prudent, Trip de parler de sa petite expérience avec Paulette. Visiblement, Malcolm est plutôt prêt à interpréter ça à sa manière. Certainement un poil jaloux.
En parlant de trouver un jour la sortie, c’est marrant le revirement de situation. A une époque, c’était Malcolm le plus pessimiste de la bande. Or là, c’est Trip qui plombe l’ambiance avec son histoire de « one-way trip ».
D’ailleurs, il dort toujours aussi mal, pépère. Ben ouais, gros nul, une séance ça suffit pas ! (ça nous arrange…)

C’est vrai qu’il a une petite mine, choupi…
Oh, ça lui va trop bien cette petite bouille inquiète.

Fuck ! Mais quelle est cette chose ronde et mystérieuse ??

Bon, Trip, mon gars, tu ne fais pas tellement d’efforts. Ah ça, c’est plus facile de venir réclamer une piquouze à Phlox que d’aller se faire manipuler les côtelettes par les mains expertes de Paulette ! Du coup, pour le ramener à des considérations plus amènes, Phlox propose à son patient de mettre des lézards dans son lit, ça favorise l’endormissement. Bon ben finalement, il préfère Paulette. De deux maux…
D’ailleurs, il est temps qu’il s’y remette parce qu’à force de pas dormir, il se blesse au taf, ce malin. Pff… ptite chose, va.

Ils sont bien mystérieux, ces Xindis, quand même.

Nandidiou !! Jonathan !! Pincez-moi, je rêve ! Il va le tuer !!

Fiou ! J’aurais jamais cru que Captain America aurait pu flanquer un type « through the airlock » et le regarder suffoquer en attendant qu’il se décide à causer !

Le mot de la fin pour ce brave monsieur qui en réchappera de justesse :

« Mercy is not a quality that will serve you well in the Expanse. »

Non non, Jonathan ne nous fait pas du tout une fixation sur les Xindis…
Ca promet s’ils nous pètent tous un câble. Bientôt T’Pol va chialer comme une fillette si ça continue.