Sam et Rodney sont dans un jumper…
… et le jumper tombe à l’eau.
J’ai revu « Grace under Pressure » avec beaucoup de plaisir…
J’ai pleinement apprécié le jeu d’acteur de David Hewlett, son air ahuri, ses monologues hystériques…
De toute façon, s’il y en a un qui sait occuper l’espace même lorsqu’il est tout seul, c’est bien lui.
Mais bon, comme je l’ai déjà dit, c’est le manque d’évolution par la suite qui me frustre. Finalement, on n’a pas franchement l’impression que McKay a plus confiance en ses compagnons qu’avant… Alors que malgré ses doutes et la certitude que personne ne peut le tirer de là, son pote Sheppi fait l’impossible pour le sauver. Pas bravo à Radek qui n’est pas chaud pour se mouiller, d’ailleurs…
A part ça, j’ai également réussi à apprécier le rôle de Jiminy Carter… Disons que ça change de la Mamie Sam de SG1. Le côté un peu casse-burnes, taquin, de l’apparition est plutôt sympatoche. Et ça donne quelques vrais moments « Nutella » entre les deux…
Pis pour une fois on frôle aussi la sensibilité d’un Rodney auquel on n’est pas habitués et qu’on avait peut-être vaguement entraperçue dans Letter from Pegasus. C’est assez fugace, mais ça donne de jolis flashes…
Bref, coup de chapeau au sieur Hewlett. C’est un excellent acteur.
Quel dommage qu’il ait tendance à être enfermé dans ce rôle de scientifique insupportable. J’aimerais bien qu’il se lâche plus « socialement » dans la saison 3. Qu’il s’amuse avec les autres, qu’il ne soit pas toujours celui dont on se moque gentiment (même si on a vu un peu la réciproque entre lui et Shep), le ringard, le coincé, le cliché du geek, quoi…
Amen, j’adore Hewlett (tiens donc…) depuis longtemps avant SGA et je suis ravie de lire un aussi bon commentaire, je te salue !