214 : Stigma

Si vous avez raté le début :
A l’occasion d’une conférence médicale interplanétaire, Phlox espère en apprendre plus sur la mystérieuse maladie dont souffre T’Pol. Il en profite également pour retrouver l’une de ses trois épouses.

Bon, on va fonctionner par intrigues, là, ce sera plus simple que de faire du ping pong entre les deux.

On apprend donc dans cet épisode que T’Pol souffre d’un mal mystérieux dont elle n’a parlé à personne excepté au toubib.
En fait, il s’agit d’une MMT (maladie mentalement transmissible, ouarf ouarf ouarf) qu’elle a contractée quand elle a fusionné avec Averell Dalton… Remember ?
Une énigme vivante, cette nana.
Et évidemment, ça empire et elle serre les dents, et elle ne dit rien de peur qu’on lui retire son job.
Malheureusement pour elle, Phlox, il est bien gentil, mais pas super discret, et les Vulcains captent vite que l’ami atteint de cette maladie, c’est Paulette. Et il se trouve que les Vulcains qui souffrent de cette maladie sont considérés comme des parias, car il semble que la fusion mentale soit reconnue comme une pratique obscène.
Ptain… quand je pense à Spock… et Sarek… et Picard…
Faut croire qu’en plusieurs siècles, ça s’est démocratisé…

Bref… évidemment, quand Archer l’apprend, il est fou de rage. Et super déçu que ni T’Pol ni Phlox ne lui aient dit. Bref, furieux de l’apprendre par des tiers.

Et surtout, ce qu’il veut, c’est que T’Pol dise au Haut-Commandement vulcain qui va certainement vouloir la démettre de ses fonctions que c’est Averell qui l’a forcée et que c’était contre son gré…

Ouais mais voilà, Paulette, pour une raison inexplicable, elle refuse catégoriquement…

Et même qu’elle fait ses bagages… Bouhouhouhouh !!

J’aurais jamais cru écrire ça quand j’ai vu le premier épisode, mais y a des fois où je la trouve vraiment très très belle.
Jolene Blalock a su donner un truc en plus au personnage, malgré… Enfin bref…

(M’énerve, elles sont vraiment toutes pourrites, mes caps… )

J’en reviens pas de la réaction de Jonathan. Il est vraiment vraiment furieux. Je commence à me dire qu’il faudrait peut-être lui trouver une copine parce que là…
Enfin bref, je ne dévoilerai pas la totalité de l’intrigue et la résolution du problème. Sur la fin, j’ai été un peu frustrée. J’espère qu’on reviendra plus longuement sur cette histoire de maladie, parce que c’est hyper important. Et T’Pol ne peut pas s’en sortir aussi facilement. Je suppose que ça lui reviendra dans la tronche à un moment ou à un autre…
En attendant, on la voit perdre son calme une fois (waouh !) et limite au bord des larmes…

Je me demande à quand le hug entre elle et Jonathan ? Ca paraissait être pas loin…

Bref…
Seconde intrigue, alors là, j’ai vraiment failli me pisser dessus.

Monsieur Phlox a donc trois épouses, qui ont chacune plusieurs autres maris…
Et lorsque l’une d’elles débarque à bord de l’Enterprise, elle se met à lorgner amoureusement sur un des membres de l’équipage… et pas forcément le docteur…

Freaky !!

Et malheureusement, cette brave dame n’est pas du genre à cacher son… inclination…

Dès ce moment, j’ai commencé à penser à l’épisode où Frufru se fait « molester » par Ellen Tigh !!

Pauvre Trip… il ne sait plus comment se mettre…

Evidemment, il est très gêné, le pauvre chéri, et il ne sait plus quoi faire pour éviter Mme Phlox… Qui elle ne se décourage pas aussi facilement…

La tronche qu’il tire… absolument priceless !!

Il va donc demander à Malcolm ce qu’il en pense. Car tout le monde sait que Malcolm est un grand connaisseur en la matière. C’est d’ailleurs pour cela qu’il est si cool, comme garçon… Hum…

Allez, du nerf, les jambes poilues, pédalez, vous dormirez mieux ce soir !

A bout d’argument, notre foudre de guerre finit par aller déballer son petit sac auprès de l’époux trahi, avant que Mme Phlox ne finisse par le coincer dans un petit coin bien sombre…

Regardez l’admirable décontraction du cow-boy qui s’en va dire à son pote que sa femme lui fait du gringue !

Sauf que Phlox, il trouve ça très bien. Ca ne le dérange pas, limite, il regretterait presque que ça n’ait pas mieux marché entre eux !

Je suis très fan du concept « petits malentendus entre cultures différentes », déjà je baigne là-dedans au quotidien.
Ajoutez-y un peu d’extra-terrestre et du bon gros lourdaud texan indécrottable qui n’écoute pas bien quand les copains parlent de leurs coutumes locales et là ça devient délectable ! J’ai bien rigolé !