Succession (saisons 1 et 2)
Tiens, la rev’là, celle-là !
Ouais. Qu’est-ce que vous croyez, moi aussi je suis en confinement ! ????
Toutefois, je pense qu’un grand billet « vérité » s’impose concernant ce qui m’est arrivé cette dernière année, mais il me semble que je ne suis pas tout à fait prête à l’écrire. Cela ne saurait tarder, ça mûrit tout doucement mais je vous avoue que ce n’est pas facile.
(Mise à jour : le billet est écrit, reste à savoir si j’aurai l’impudeur de le poster.)
Donc me rev’là à peu près entière après une année franchement à chier, je vous dirais. (En vrai, ça pourrait être pire, mais sachez que ça peut toujours être pire, donc ça ne veut pas dire grand-chose.)
Du coup, je vais vous parler d’une série qui correspond parfaitement à l’état d’esprit que j’ai eu pendant ces 360 derniers jours et des brouettes, à savoir « Succession ».
L’un dans l’autre, 2019 était une bonne année, tout comme « Succession » est, sur le papier, une très bonne série.
Mais putain, pourquoi t’en chies comme ça, alors ??
Laissez-moi vous expliquer. T’en chies parce que nous vivons dans un monde de merde, les enfants. T’en chies parce que nous vivons dans un monde où la meilleure série du moment est forcément la série la plus cynique de ces dernières années, la série où le fric t’est jeté à la gueule au moindre plan, où la famille dégueule de jalousie, de ressentiments et de persécutions, où les gens qui nous dirigent sont tous des gredins (pour ne pas dire de gros enculés), où t’as juste, juste, juste aucune chance d’être heureux, où t’es obligé de t’envoyer un demi-kilo de coke dans les naseaux pour anesthésier ta souffrance alors que sur le papier… ben t’as tout, et même largement plus. Et voilà le monde dans lequel nous vivons. Et voilà les séries qui sont acclamées aujourd’hui. Et voilà les séries qu’il faut voir sinon t’es un gros has-been.
(Apparemment, être une grosse has-been en plus du reste m’était insupportable, hi hi hi.)
Bref, ne vous méprenez pas : « Succession » est une EXCELLENTE série. Vraiment excellente. Bien gaulée de bout en bout, rien à jeter. Les acteurs sont extraordinaires, notamment (surprise) (pas du tout, en fait) Jeremy Strong.
Honnêtement, si j’ai eu la force de regarder la saison 2, c’est uniquement pour lui. D’ailleurs c’est aussi un peu pour lui que j’ai commencé la série. Je n’ai pas été déçue, il est formidable. Paye pas de mine, comme ça, je l’avais même cordialement détesté dans la dernière saison de « Masters of Sex » (mais entre nous, qu’est-ce que je n’avais pas cordialement détesté dans la dernière saison de « Masters of Sex », hein ?), mais là, il est extrêmement bien exploité et le parti de centrer une grande partie de la première saison sur lui est génial.
Dans la deuxième saison, il est plus en retrait, mais il y a une raison à cela, on s’en doute. *hinhinhin*
Alors, ça parle de quoi, « Succession » ?
Facile, de succession.
Vous voyez, la meuf est en forme, n’est-ce pas ??
Allez, venez donc vous spoiler, je ne faisais que m’échauffer.
Tiens, la rev’là, celle-là ! Ouais. Qu’est-ce que vous croyez, moi aussi je suis en confinement ! ???? Toutefois, je pense qu’un grand billet « vérité » s’impose concernant ce qui m’est arrivé cette dernière année, mais il me semble que je ne suis pas tout à fait prête à l’écrire. Cela ne saurait tarder, ça mûrit tout doucement mais je vous avoue que ce n’est pas facile. (Mise à jour : le billet est écrit, reste à savoir si j’aurai l’impudeur de le poster.) Donc me rev’là à peu près entière après une année franchement à chier, je vous dirais. (En vrai, ça pourrait être pire, mais sachez que ça peut toujours être pire, donc ça ne veut pas dire grand-chose.) Du coup, je vais vous parler d’une série qui correspond parfaitement à l’état d’esprit que j’ai eu pendant ces 360 derniers jours et des brouettes, à savoir « Succession ». L’un dans l’autre, 2019 était une bonne année, tout comme « Succession » est, sur le papier, une très bonne série. Mais putain,...
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